Cabinet fantôme

transperce la tapisserie de son épée et le tue. Le prince informe la reine que son père a été assassiné par Claudius, et l'accable de reproches. La reine ne supporte pas ces propos et le fantôme du roi apparaît, mais il lui est invisible. Elle pense que son fils plonge de plus en plus dans la folie. Le fantôme s'éclipse, alors qu'Hamlet tente de le montrer à sa mère. Il s'apaise et tente de convaincre la reine de s'écarter de Claudius. Elle lui assure qu'elle ne parlera pas de tout cela au roi (elle

du Commander, le père de Donna Anna, qu'il a tué en duel. Leporello : Valet de Don Giovanni. Il Commendatore : Père de Donna Anna. Pour défendre l'honneur de la sa fille, il provoque Don Giovanni en duel, qui le tue (au premier acte). Le fantome du Commandeur revient néanmoins au second acte de l'opéra de Mozart (sous la forme forme d'une statue de marbre vivante) pour solder ses comptes - moraux avec le séducteur.  Donna Anna : Fille du Commandeur et fiancée de Don Ottavio, Donna Anna

on peut en conclure qu’il est soit un fantome soit un héros, il semble fort et courageux. Sur la partie inférieur on peut voir un abri avec des cadavres de soldats, on ne voit pas s’ils dorment ou sont morts. On n’a pas d’expression des corps Utilisations de couleurs froides : gris, marron et ternes cela montre une ambiance froide. Le rouge en fond est pour montrer la puissance du feu et l’idée du chaos. Le survivant en blanc, représenté tel un fantôme, la lumière blanche venant du coin supérieur

long du livre III, la manifestation de cette inquiétude est visible. Elle est aussi identifiable dans le malaise d’exister de François-René. L’isolement de François-René provoque chez lui une ambiance très fiévreuse et une excitation pour le « fantôme amoureux » qu’il se crée. Sa ferveur a duré quelques temps, mais finalement s’est éteinte car il n’avait pas de réelle passion. L’inquiétude grandit et son envie de ne plus vivre se fait ressentir. François-René déclare qu’il serait malgré tout heureux

seule dans sa chambre, elle entendit des pas lourds dans l'escalier. La porte de sa chambre s'ouvrit, le spectre de son mari, le front entaillé par une profonde blessure et dans son uniforme de soldat, entra. Elle fut effrayer par l'apparition, et le fantôme lui dit que, lorsqu'il reviendrait lui rendre visite, elle entendrait chaque fois un glas, puis ces mots seraient murmurés distinctement à son oreille: "Mina je viens." Après des recherches, on trouva que son mari était tombé à la bataille le jour

rythmé. Les dialogues ont de l’importance et sont incrustés à la narration, de sorte qu’on ne sait trop s’il s’agit d’un récit interne ou externe. L’histoire est fascinante et hallucinante. On est comme pris au piège des mots de l’auteur. Les « fantômes », la magie du récit sont ici bien réels. C’est en effet un roman plein de sincérité, écrit avec beaucoup de poésie et d’onirisme. Les personnages quant à eux sont exceptionnels, taillés pour leur rôle. Arthur est pris pour un fou. Et pour cause

Ruben-C’est une bonne idée -Mais vous ne savez pas ce qui vous attend ! Là-haut c’est plein de fantômes qui dansent la sarabande Solène -La sarabande ? -Ils font des parties de boule avec leur crâne Solène -C’est affreux Ruben-Il n’y a rien d’affreux la dedans. Tu as quelque chose contre le jeu de boule ? Allez venez on y va Solène -Je crois que je vais rester ici moi Ruben -C’est imprudent, si jamais un fantôme venait faire un tour par ici, il vaudrait mieux ne pas être seule Anika Solène -Si tu

ATELIER SUR LE HORLA Vidéos visionnées: #1, #2, #4, #7, #9, #18, #22, #27, #36 et #47 1. Dans certaines versions, le narrateur-personnage et/ou le personnage du Horla sont incarnés par des femmes. Pourquoi? Est-ce que ce choix a un impact sur l'histoire originale? Est-ce que ce choix a transformé votre perception de la nouvelle de Maupassant? Bien que le narrateur principal, c'est-à-dire le propriétaire du manoir, soit bien représenté comme un homme dans la nouvelle le Horla, il n'en est rien

chose d’invisible le guide décida de le sortir dehors. Le père pensant apercevoir quelqu’un par la fenêtre, tira un coup de fusil à travers. Le lendemain quand le jour commençait a apparaître ils découvrirent qu’ils avaient tuer le chien et non le fantôme du braconnier. C’est au moment ou le coup de fusil est partit que le narrateur se sentit envahit une 2ème fois par cette peur. La peur « La peur (et les hommes les plus hardis peuvent avoir peur), c’est quelque chose d’effroyable, une sensation

il voit une rose se soulever dans les airs, comme si on la cueillait, un vase se brise tout seul, des portes s’ouvrent, du lait est volé. Plus tard, il voit les pages d’un livre se tourner toutes seules. Enfin, un jour, il surprend le fantôme : il se tourne vers son miroir, mais ne se voit pas dedans. A la place, il distingue une sorte de brume. b) Son état d’esprit évolue au fur et à mesure de ces évènements. Au moment de l’épisode de la rose, le malade a peur (« saisi