Cadre de scène

Livre premier : Anthime armand-dubois c'est le titre du chapitre, le roman s'ouvre donc sur un nom et l'attendue du lecteur serait d'avoir par la suite une présentation du lieu, du cadre et surtout du personnage éponyme, mais le personnage ce dérobe littéralement sous la multiplicité des point de vue , et n'est décrit que par son statue sociale et sa maladie . C'est un personnage inexistant dont on devine l'image uniquement par ses relations a autrui . Ce constat nous pousse a remettre en question

D’AVIGNON OPÉRA-THÉÂTRE19 20 21 • 22h 23 24 25 26 • 17h OPÉRA-THÉÂTRE durée estimée 2h50 entracte compris • création 2008 texte et mise en scène Joël Pommerat avec Saadia Bentaïeb, Agnès Berthon, Gilbert Beugniot, Hervé Blanc, Lionel Codino, Eric Forterre, Ruth Olaizola, Marie Piemontese collaboration artistique Thomas Boccon-Gibod assistant à la mise en scène Matthieu Roy scénographie et lumière Eric Soyer assistants lumière Gwendal Malard, Jean-Gabriel Valot costumes Isabelle Deffin assistante Claireline

tricheries. Multiples trajectoires semées de pièges facilement transformables en gags/Chute de corps, d’objets. Aller-retour incessants. L’omniprésence de la locomotive > source de l’action, du burlesque. /Le thème de la poursuite • • Mise en scène géométrique • Intrigue construite sur deux parties parfaitement symétriques/Situation inversée > le poursuivant devient le poursuivi. Lignes figuratives/ligne principale> la voie ferrée, lignes de fuites, lignes verticales, horizontales, lignes

On ne badine pas avec l’amour Scène d’exposition I- Une scène d’exposition dynamique a. Une scène d’exposition - Présentation du cadre spatio-temporel o « une place devant le château » (l.1): conventionnel pour la tragédie o « Bluets fleuris » (l.1) ; « colline » (l.27) : cadre champêtre o « Au temps de la vendange » (l.4) : temporalité charnière ( Passage de l’insouciance de l’été à des jours moins heureux (Annonce

d'abord, la parole révèle ce que l’œil ne perçoit pas. En effet la parole est dans un premier temps nécessaire pour présenter les personnages, particulièrement s'ils sont nombreux. Par exemple dans Tartufe de Molière, lors de la scène d'exposition, sept personnages sont sur scène : Madame Paternelle la mère sa servante Flipote, Elmire la femme d'Orgon, Mariane et Damis, fille et fils d'Orgon, Dorine la servante et Cléante, frère d'Elmire et donc beau-frère d'Orgon. Madame Pernelle s'apprête à quitter

Commentaire littéraire I- Un poème descriptif Le cadre spatial est défini dès la première phrase du poème La Pluie : la fenêtre trace un cadre et délimite la description qu'elle annonce. On tend vers un hyper-réalisme car la description va être précise. • Le jeu des contraires (les antonymes) - le grand et le petit : la nue / la goutte - l'élémentaire et le familier : pluie, eau, terre / plume, encrier... - le haut et le bas: terre / nue - le vertical et l'horizontal

on ne voit pas à travers les yeux d’un personnage. Seule la caméra nous informe de ce qu’il ce passe, des événements sans pour autant porter un jugement sur les protagonistes comme par exemple lorsque Steve bat sa mère, le spectateur assiste à la scène qu’il le veuille ou non, il n’y a aucunes censures. Les personnages principaux: Steve est un jeune adolescent impulsif et violent. Il vit seul avec sa mère excentrique et extravertie, Diane. Il l’aime tellement qu’il serait prêt à la tuer. On voit

leur passion restera sans issue. Nous verrons en quoi consiste la rencontre entre ces deux personnages exceptionnels. I) Le cadre et les circonstances de la rencontre 1) Un cadre brillant Il s’agit d’un événement mondain de la plus haute importance : les fiançailles de la seconde fille du roi au Louvre avec les plus hauts personnages de la cour. Un cadre brillant qui va accueillir une rencontre extraordinaire 2) Des circonstances romanesques - Le bal est un moment social, on y

l’armée « armée ; soldats ; dégradées ; bagages ; tente », et de la métaphore «  ces lourdes et pesantes voitures de bagages qui passent » qui représente les canons. Les adjectifs péjoratifs «  dégradées ; pourris, obscurs et profonds ; » dénotent un cadre sinistre, lugubre où la mort semble présente. Le terme « précipices » exprime cette idée d’abyme et le délabrement de l’édifice « ce vieux château, des antiques tours dégradées qui le composent » laisse supposer qu’une bataille a eu lieu. Toutefois

de Clèves, 1678. Commentaire oral Problématique possible : En quoi cette scène de rencontre laisse-t-elle présager un jeu de sentiments complexes ? I- Un cadre valorisant. Cadre propre à faire émerger les sentiments amoureux, faste et richesse qui favorise l’idéalisation. On tombe ici amoureux de ce qui est beau, brillant, unique. C’est d’une richesse matérielle, sociale et morale dont il est question. A- Un cadre fastueux et brillant - Le monde de la cour encadre cette rencontre. Dans la