Calchas

______________________________ “Iphigénie en Aulide” (-405) Tragédie La flotte des Achéens est en Aulide devant Eubée, prête à partir pour Troie. Mais les vents s'opposent mystérieusement à la navigation. La cause en est dévoilée par le devin Calchas : la déesse Artémis exige, pour rendre la liberté aux navires, qu'auparavant lui soit sacrifiée la fille d'Agamemnon, Iphigénie. Ainsi que le roi le raconte lui-même à un vieil esclave, après avoir vainement tenté d'empêcher l'expédition, il a résolu

apulien à figures rouges du Peintre d'Athènes 1714, v. 360–350 av. J.-C., musée du Louvre Agamemnon, le chef des Achéens, retient prisonnière Chryséis, fille d'un prêtre troyen d'Apollon et le dieu a envoyé une peste meurtrière sur l'armée. Le devin Calchas révélant la cause du mal, Achille adjure Agamemnon de rendre la prisonnière. Le roi finit par y consentir, mais décide de prendre en dédommagement Briséis, une belle Troyenne captive d'Achille. Furieux et se sentant spolié, ce dernier décide de cesser

(Troilus and Cressida) : écrite certainement vers 1602. Le texte fait cependant référence à des concepts que Shakespeare n'a pu connaître qu'en 1608. Pendant la guerre de Troie, un fils de Priam, Troïlus, tombe amoureux de Cressida, la fille du prêtre Calchas passé au parti des Grecs. Cressida cache son amour, mais finit par céder au jeune Troïlus, poussée par son oncle Pandare, qui sert d'entremetteur. Le conseil de Troie demande à Troïlus de rendre Cressida à son père en échange d’un prisonnier troyen

lorsqu’elle serait vectrice de comportements fanatiques et superstitieux (cf. par exemple dans la pièce Iphigénie de Racine : lorsque les Grecs se préparent à attaquer Troie mais que les vents ne permettent pas à leur expédition d’avancer, le devin Calchas ordonne le sacrifice d’Iphigénie pour apaiser les dieux qui retiendraient les vents nécessaires). Une deuxième critique a pu aussi se faire à l’encontre de la religion elle-même, en la dénonçant comme illusion. Dans son ouvrage L’essence du christianisme

mort prochaine de son époux qui fut tué par Achille. Après la chute de Troie, malgré sa protection, son fils unique, | |Astyanax, fut tué par les Grecs qui craignaient qu'une fois adulte, il cherchât à venger sa famille comme le prédisait Calchas. | |[pic] | |Andromaque protégeant Astyanax

Plan de cours 101-automne 2018Lecture 1 Homère, Iliade, chant 19 Question pour le rapport de lecture: Quels sont les principales caractéristiques du héros homérique? Consignes générales : Préparer quelques notes pour le groupe de discussion Écrire une courte réponse d’environ 10-20 lignes en classe Le texte doit être rédigé en police Times New Roman, en point 12, 1.5 interligne Vous trouverez dans ce dossier : - Des cartes et généalogies pour vous permettre de vous situer

voyiez ceint du bandeau mortel Votre Fils Télémaque approcher de l’autel, Nous vous verrions troublé de cette affreuse image Changer bientôt en pleurs ce superbe langage, Eprouver la douleur que j’éprouve aujourd’hui, Et courir vous jeter entre Calchas et lui ! (I, 3, v. 321-328) Nouvelle vision projetée où Télémaque à son tour est « ceint du bandeau mortel » réservé aux victimes expiatoires, cet adynaton est une hypothèse impossible qui demeure sans réponse. En effet, alors Durand J. Habert

Dans Iphigénie, Racine reprend à Euripide le thème du sacrifice d’une fille par son père. (p.77) Argument d’Iphigénie : prête à partir faire la guerre à Troie, l’armée grecque est immobilisée dans le port d’Aulis par l’absence de vent : le devin Calchas révèle que les dieux exigent qu’Agamemnon, roi des Grecs, sacrifie sa fille Iphigénie. Agamemnon fait venir Iphigénie au camp, avec sa mère Clytemnestre, sous prétexte de la marier à Achille. (p.77) Dans les tragédies grecques et latines, la fatalité

Chapon) La négation indique avec force que le chien était loin d’être « bête » et qu’il s’est comporté en chien prudent et finaud. Autre exemple de litote cité par Fontanier Iphigénie Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m' avez donné. Si pourtant ce respect, si cette obéissance Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense, Si d'une mère en pleurs vous plaignez

autres déesses, raconte comment Aphrodite s'est comportée dans ce tournoi pour le prix de beauté : La troisième, ah! la troisième... La troisième ne dit rien. Elle eut le prix tout de même... Calchas, vous m'entendez bien ? Nous décidons-nous à voir les particularités de la troisième concentrées dans le « mutisme », la psychanalyse nous le dira : le mutisme en rêve est une représentation usuelle de la mort [8]. Il y a plus