Caleçon

celui qui la porte. Les esclaves la portent seule et les romains n'ayant pas de statut important. Au IIIè siècle ap. J.C. La dalmatica​ , tunique avec manche longue, remplace peu à peu la toge. Les romains qui travaillent dans les champs portent des caleçons et des tuniques en laine. 1) La toge Elle est mixte jusqu'à la République où elle devient masculine, destinée au plus riche. A part pour les femmes accusées d'adultère ou les prostitués. La porter est un signe de respect mais pour les femmes c'est

accepte le fait de ne marger qu’à 35% alors que ses autres canaux de distribution sont plus rentables. Note : 3/5 Produits de substitution : Les principales nouveautés sur le marché des sous-vêtements masculins sont les boxers moulants et les caleçons à bandes élastiques. Ils sont déjà sur le marché mais n’ont pas encore substitué le produit car ils touchent pour l’instant une cible de clientèle plus âgée. . Note : 1/5 Pouvoir de négociation des fournisseurs Deux composants principaux

que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. " Eh ! mon Dieu! lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? - J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. - Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? - Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année

esclave Candide et son valet Cacambo, hommes libres, rencontrent un nègre, immobile, étendu par terre. La présentation du nègre est faite sans apitoiement. D'abord à travers des détails vestimentaires " la moitié de son habit", "pauvre Homme", "caleçon de toile"(qui était à l’origine fait pour emballer les marchandises) puis à travers les indications de sa mutilation "Etat horrible» « il manquait à ce pauvre hommes la jambe gauche et la main droite ». Elles montrent aussi la cruauté des négociants

du corps ® habits ® mutilations. Dénuement souligné.(ne…que). Mais 3 observations données de manière relativement impersonnelle. Tout est mis sur le même plan. Dans la réponse du nègre : reprise des 3 points qui ont éveillé la pitié de Candide : caleçon, main jambe. Crescendo dans l’horreur. C. Les deux protagonistes Candide : Sollicitude émue, pitié généreuse. Cf tournures exclamatives. Mon ami : se place en situation d’écoute. Le nègre : Résignation passive : j’attends mon maître (soumission)

(=soumis). * Découverte progressive de l'horreur : Masse du corps > Habits > Mutilations + Dénuement souligné par la négation restrictive « ne … que ». - Dans la réponse du nègre → Reprise des trois points qui ont éveillé la pitié de Candide : Caleçon – Première mutilation à la jambe – Deuxième mutilation au bras => Crescendo dans l'horreur. * Émotions de Candide : « état horrible » l. 4 ; « abomination » l. 21 ; « versait des larmes » l. 24 ; « en pleurant » l. 25 => Montre l'indignation

bedonnants, niais, et dociles, il est possible de leur faire croire ou faire n’importe quoi. Les règles du camp sont : Interdictions : de s’approcher à plus de deux mètres des barbelés ; de dormir avec sa veste, ou son calot ; de dormir sans caleçon ; d’entrer dans les lavabos ou les latrines « nur für Kapos » ou « nur für Reichdeustche » ; de ne pas aller à la douche les jours prescrits et d’y aller les jours qui ne le sont pas ; de sortir de la baraque avec la veste déboutonnée ou le col relevé ;

pour chaque époque que les personnages traversent. Il y a environ 10-15 costumes différent par personnage, les costumes sont peu élaborés, en effet, les personnages ont un vêtement qu’ils gardent tout le long qui est un short pour Eve et un caleçon pour Adam ; ces deux vêtements servent juste à cacher partiellement leur sexe. Outre, ces deux accessoires, ils portent des haut plus varié (chemise, t-shirt, veste). Mais Eve le personnage féminin change plus souvent de vêtement qu’Adam surement

les cérémonies, le bal, la messe... En hiver, elle se double de fourrure. Les dessous féminins se composent de chemises de coton, de toile ou de chanvre et de brassières portées sous le corsage en satin ou en futaine. Les " calessons", cousins des caleçons, serrés à la taille, sont faits de damas. Les bas sont pratiquement toujours de couleur rouge, bleu ou vert clair. Les souliers à hauts talons en harmonie avec les bas, sont souvent en satin. La pointe de la mode est surtout dans l'ornement

statuette --> péjoratif Pas de regles que la chrétienté prône. II- Dénonciation du commerce Champ lexical du commerce: "négociant" (s'appel Vanderdendur) --> Vendeur dent dure: homme sans pitié "marchand", "prix", "piastres", "fortune", "caleçon de toile", "fameux négociant", "maître", "nos Seigneurs les blancs". "vendit" --> "ma mère me vendit" : ces gens sont obligés de vendre leur enfants pour pouvoir survivre. C'est pour dénoncer la toute puissance des blancs sur les autres peuples