Calembours

progression d'intrigue, (" En attendant Godot " ( le gérondif indique un état et non une action) B) Un langage sans logique 1) Les mots ne se suivent pas pour donner du sens logique. Ils se suivent par - association phonétique et calembour - association inconsciente - association sérielle ( bout rimé ) - un principe de discontinuité ( coq à l'âne) - un principe de rupture ( sérieux pas sérieux, banal insolite) Intrusion brutale de mots savants et de mots obscènes ou argotiques

association, le symbolisme traditionnel ou psychanalytique, l'analogie, l'allusion, la citation, la confusion des niveaux de signification, le jeu de mots, le calembour le plus pesant… Pour justifier la présence de ces derniers dans une œuvre « sérieuse », Joyce avançait que la Sainte Église catholique apostolique et romaine était bâtie sur un calembour (« Tu es Pierre et c'est sur cette pierre que je bâtirai mon Église »).« Pourquoi n'en ferais-je pas autant ? » À toute allégation de trivialité, il répondait :

des mots presque homonymes, voisins par la sonorité mais non par le sens (Entremont c’est autrement bon). (Légal, le goût) Café Légal. Rapproche des mots très semblables en apparence mais de sens différents (BHV l’âge du faire) Figure voisine du calembour, mais permettant la polysémie (plusieurs sens) du sens de la phrase (Le père Noël a mis le paquet ). (Cutty Sark : le scotch qui préfère un établi en désordre à un ordre établi.) C’est le mot formé par imitation du son naturel (Crack, Boom, Snif

à rapprocher dans une même phrase, des mots presque homonymes, voisins par la sonorité mais non par le sens (Entremont c’est autrement bon). (Légal, le goût) Café Légal. Le calembour Rapproche des mots très semblables en apparence mais de sens différents (BHV l’âge du faire) L’antanaclase Figure voisine du calembour, mais permettant la polysémie (plusieurs sens) du sens de la phrase (Le père Noël a mis le paquet ). (Cutty Sark : le scotch qui préfère un établi en désordre à un ordre établi

réduplication, réitération, dérivation, parallélismes, métaphores, synesthésies, personnifications, métonymies, antithèses… Des effets humoristiques, tels que les gags, les parodies, mais aussi tous les jeux de mots, les devinettes, blagues et calembours, qui permettent de décliner dans le registre linguistique les nuances de l’humour. Les publicistes savent que le rire met les gens de leur côté. Ex : « fêlés des pâtes » de Lustucru, le slogan machiste pour sous-vêtements masculins « Dim, ça va

vers est unie à la fin de l’hémistiche suivant : Nymphes des bois, pour son nom sublimer Et estimer, sur la mer sont allés : Si furent lors, comme on doit présumer, Sans écumer les vagues ravalées (Marot) La rime équivoquée fait de la rime un calembour 2 Bref c’est pitié entre nous rimailleurs Car vous trouvez assez de rimes ailleurs (Marot) La rime couronnée répète deux fois, la rime empérière trois fois le même son à la fin d’un vers : Ma blanche colombelle, belle, Souvent je vais priant, criant

d’amoureux déjoue les obstacles dressés par des parents abusifs à l’aide de rusés serviteurs. Molière s’inspire de la commedia dell’arte et de nombreux procédés comiques: La farce : coups de bâton, grimaces, exagération, frénesie. Le comique de mots : calembours, interruptions régulières, tics, langage bouffon. Le Comique de situation : déguisements, personnages cachés. Le Comique de caractères : personnages monomaniaques et extravagants, dirigés par une obsession (argent, la maladie). Personnages typés

figures de son portent sur les phonèmes, des syllabes ou des mots : *sur les phonèmes , c'est l'allitération *sur les syllabes, c'est la paronomase *sur les mots, la figure porte sur l'homonymie, soit sur la polysémie. Sur les homonymies, c'est le calembour ; sur les polysémie, c'est l'antanaclase Les figures de mots tirent leur force de persuasion de l'attention et du souvenir qu'elles facilitent. Les figures de mots portent sur les signifiants. • Les figures de sens portent sur les signifiés

des correspondances de lettres et de mots. Leur résonance compose une manière de poème lettriste. Courant dont les artistes sont proches notamment Hains. Alors que Raymond Hains prend ses distances avec le Nouveau Réalisme pour se consacrer aux calembours et autres jeux de mots Jacques Villeglé poursuivra sa recherche sur l’affiche pendant près de 40 ans démontrant l’intarissable source d’inspiration qu’offre la rue. b- L’éphémère société consacrée, voyage sociologique de l’œuvre dans le temps

autres contextes. Par exemple le mot ignoble. Il décrit le corps de Camille mort comme ignoble (page 92, lignes 190 à 191), mais aussi le portrait de Camille déssiner par Laurent ( page 50, ligne 96). Zola joue avec des petits détails et il fait des calembours. J’aimais bien cette façon d’écrire. E) Extrait significatif Page 98, lignes 63 à 78 „La nuit, seule dans son lit, elle se trouvait heureuse; elle ne sentait plus à son côté la face maigre, le corps chétif de Camille qui exaspérait