Calligrammes Lyrisme

La poésie est un moyen pour le poète d'extérioriser ses sentiments, notamment par le biais du registre lyrique. Elle lui permet d'exprimer l'authenticité de ses émotions, de sa sensibilité, de son intimité. Tout, d'abord, le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. Or, la poésie prend son origine dans le mythe d'Orphée qui ancre

qui sous le regard du poète d’un autre siècle ont du succès. Victor Hugo intitule ainsi son recueil Odes et Ballades (1822-1827) alors que ces formes avaient étés méprisés pendant deux siècles. Apollinaire présente ses poèmes-dessins qu’il nomme calligrammes tels que «  La cigarette qui fume » comme un poème très innovateur mais qu’il a en fait repris à Rabelais qui les avait crées sous ne nom de « dive bouteille » au XVIè. La poésie de la Pléiade montre l’envie d’imiter les anciens en de reprenant

quelque sorte le désespoir amoureux. L'univers se fane et se rétrécit à l'approche de l'hiver. Spontanéité, émotion contenue ou épanchée s'expriment à travers la diversité des rythmes, le choix du vocabulaire et des sonorités. Il s'agit bien ici du lyrisme le plus intime.   2/ L'évocation d'une saison malade   Apollinaire ne fait pas de concession au pittoresque qui est des plus discret. Les flamboyantes couleurs de l'automne ne le retiennent pas : il ne s'attache qu'aux signes qui, en cette saison

comme l’acte de naissance de la modernité poétique. Par la nouveauté du regard qu’il pose sur le monde, il fait jaillir la puissance poétique enfouie dans les objets les plus quotidiens de la modernité. De plus, il met en place une nouvelle forme de lyrisme, qui donne une tonalité intime à cette déambulation dans les rues de Paris, et ce poète par ses libres associations, ses images insolites, il transfigure le monde et se rapproche des peintres cubistes (ex. Picasso) I. Polyphonie

à ne pas suivre, c’est une sorte de démonstration moins par l’absurde que par l’horreur des erreurs du passé, et le ton est très clairement moral : l’ « orgueil », « la gloire », la « puissance » achèvent de nous prouver que l’heure n’est plus au lyrisme mais bien à l’argumentaire. Chez Queneau enfin, la persuasion, à coups d’anaphores (« si tu crois ») et de répétitions (« cueille », « fillette » ou le verbe « se gourer ») joue non pas sur un argumentaire mais sur un procédé vieux comme le monde

Sommaire 1. Biographie de V. Hugo 2. A la découverte de l’œuvre (thèmes , structure, nombres de poèmes …) 3. la poésie engagée (poésie de V.H qui relate l’engagement) 4. photographie 5. la poésie lyrique 6. le romantisme et le lyrisme 7. Romance sans parole de Paule Verlaine (lecture cursive ) 8. Notion sur la poésie La poésie est l’un des genres littéraires les plus anciens, utilisé déjà dans l’Antiquité grecque, par les orateurs et autres comédiens. Car, la poésie

prose La poésie moderne s’affranchit des notions de versification. Le texte est poésie grâce à ses thèmes, à son rythme ou à ses sonorités. Petits poèmes en prose, Baudelaire Chansons, Prévert Le calligramme Le poème est écrit de façon à représenter ce qui est évoqué. Calligrammes, Apollinaire Quelques élément d’analyse particuliers à la poésie Le rythme Le rythme peut concerner le nombre de mètres dans un vers ; le nombre de vers dans une strophe ; la symétrie des strophes ; l’utilisation

lecteurs comme vous et moi sur la destruction de l'enfance et de faire réagir les hommes. Il existe aussi les fables de La Fontaine qui sont un moyen de dénoncer l'attitude des Hommes à travers les animaux de manière implicite comme le Héron. Le lyrisme est l'un des registres les plus courants dans la poésie dans différents siècles. Ainsi dans un poème de Pierre de Ronsard et un autre de Pierre de Marbeuf les poètes mettent en relation l'amour et la nature. Aussi bien par sa beauté que ses ''épines''

siècle a permis à la sensibilité de mieux s’exprimer, au « moi » de l’écrivain de s’exalter et de revendiquer sa place dans une société souvent contestée. Tout naturellement, la poésie lyrique reprend ses droits avec Lamartine, Musset, Vigny. Le lyrisme personnel trouve son inspiration non seulement dans l’amour mais aussi et surtout dans une société qui n’accorde pas sa place au poète, comme l’éprouve Baudelaire. L’amour souvent non partagé (Musset), le temps qui fragilise l’existence, la nature

a sa place à côté des hommes qui travaillent et il a droit au pain et au vin ». Mais cette recherche de l’harmonie à tout prix ne s’arrête pas à la recherche de sonorités parfaites, elle s’illustre également par la naissance et l’utilisation de calligrammes, comme ceux d’Apollinaire. La recherche du beau et le privilège du visuel, du rythme et de la sonorité prennent ainsi le pas sur la recherche du sens. La poésie se transforme en un art que l’on ressent sans pouvoir le comprendre. D’autre part elle