Camisole de force

Texte : À peine arrivé, des mains de fer s'emparèrent de moi. On multiplia les précautions ; point de couteau, point de fourchette pour mes repas, la camisole de force, une espèce de sac de toile à voilure, emprisonna mes bras ; on répondait de ma vie. Je m'étais pourvu en cassation. On pouvait avoir pour six ou sept semaines cette affaire onéreuse, et il importait de me conserver sain et sauf à la place de Grève. Les premiers jours on me traita avec une douceur qui m'était horrible. Les

ne me permettrai pas. Père Non, pas vous docteur. C'est ma femme qui me parle. Où en étions-nous? Le psychiatre Une télévision de 120 cm de diagonale à affichage à cristaux liquides avec antenne satellite. (à sa secrétaire) Passez-lui la camisole de force en attendant que je finisse avec le client au téléphone. Je tiens un gros poisson en ligne. (bruit d'alarme) Les trente secondes sont écoulées, monsieur. Voulez-vous une nouvelle période? Père (contrarié) Oui, donc, nous lui avons acheté la

|débattait elle aussi. Ce qui, dans ce déchaînement, fascinait Katow, ce n'était pas la mortelle soûlerie dans laquelle sombraient | | |les hommes du train, c'était le frémissement des rails qui maintenaient tous ces hurlements ainsi qu'une camisole de force : il | | |fit un geste du bras en avant, pour se prouver que lui n’était pas paralysé. Trente secondes, le fracas cessa. Au-dessus de | | |l'ébranlement sourd des pas et du tic-tac de toutes les horloges de la boutique, s'établit

13) FAUX DILEMME (OU CAMISOLE DE FORCE) : Consiste à faire croire qu’une situation présente seulement deux alternatives parmi lesquelles l’une des deux est manifestement inacceptable, ce qui nous oblige à devoir accepter l’autre alternative (la thèse). La différence entre un véritable dilemme et un faux dilemme est que le faux dilemme comporte en réalité plus d’alternatives qu’on nous le fait croire. Réfuter un faux dilemme consiste donc à mettre au jour l’une de ces alternatives en montrant

violence des combats a présence des armes voc des armes l 22 motif du sous marin b. l'enfermement l 20  « blindage » fermeture emprisonnement des perso le train comme armure prisonnière ironie tragique « mortelle soulerie » l39 « camisole de force » c. Scène dramatique menace suspendue l 22 Immerssion dans la conscience de Katow angoisse imaginer la future agonie du train affirmation « ne jamais »l30 // tragédie « 30 secondes » présence du temps dernier mot du texte « la mort »

surtout le nom au cours d l’histoire : « cette libération des chaînes a pourtant été reconnue comme te revenant de droit ». Au cours du livre, on a un respect de l’Histoire, on a l’évocation de la création de la guillotine, de la camisole de force (dont le personnage est en parti le créateur) et de la révolution française. La révolution française marque un tournant dans le livre, elle intervient au milieu de celui-ci et l’auteur en dénonce la violence et les massacres qu’il y a eu notamment

chercher. Vision de l'homme sur une route avec un bâton. Puis, devant sa table, fouillant des livres, – couverture d'un livre en gros plan: la Kabbale. Tout à coup on frappe à la porte. Des sbires entrent. On se jette sur lui. On lui met la camisole de force: il est emporté chez les fous. Il devient fou réellement. Vision de l'homme se débattant avec des barreaux. Je trouverai, crie-t-il, le problème central, celui auquel tous les autres pendent comme les fruits à la grappe, et alors: Plus de folie

boucles d’oreilles ou bijoux en forme de punaises de couleurs dorés. Celle de gauche qui est plus jeune (environ trente ans) porte une camisole de teinte unique beige. La camisole ressemble plus à un tee-shirt du genre body ou près du corps qui dessine la forme du personnage. Cette camisole a des motifs de grilles fines. Le personnage porte aussi sur cette camisole un tablier de couleur bleu marine noué au cou et à la taille. L’image a été prise en plan rapproché taille. On peut voir que les personnages

mains=> cette longue vie de travail, - des objets comme les galoches « longues mains à articulations noueuses », des objets sculptés, par lesmultiples tâches « encroûtées, éraillées, durcies» ,« à force d'avoir servi ». la pauvreté du personnage par ses vêtements, de «pauvres vêtements» : une camisole, un tablier, un béguin «sans bordure »,et de «grosses galoches de bois », dont l'auteur met en évidence l'aspect ridicule. Un aspect de son état social: « un demi-siècle de servitude» ; cette servante

établissement psychiatrique par département, de meilleures conditions d’internement des malades et la notion de « placement volontaire » et de « placement d’office ». Londres rencontre également des femmes qui portent la camisole comme nous le prouve l’expression « huit ont la camisole », page 43. Cela montre que dans la plupart des asiles, les « fous » ne sont pas bien traités. Londres, lors de son périple, rencontre l’asile du Docteur Dide qu’il qualifie « d’aliéniste qui tient du merveilleux », page