Camp de Drancy

de concentration et montre sa force morale. Simone Veil, née Simone Jacob, le 13 juillet 1927 à Nice, mène une vie paisible et aisée jusqu’en 1944, où elle fut, avec ses parents et ses trois frères et soeurs, déportée dans le camp polonais d’Auschwitz-Birkenau. Ce camp de concentration est un enfer pour des millions de juifs, dont elle et sa famille. Malheureusement seules sa soeur et elle en réchapperont. Le début de la fin Sa mère, Yvonne Jacob ( née Steinmetz ), héberge des juifs allemands

Berr est arrêtée à son domicile situé dans le 7ème arrondissement de Paris, le 8 mars 1944, détenue au camp de Drancy, puis déportée à Auschwitz avec son père et sa mère. De ce camp, elle est envoyée à celui de Bergen-Belsen le 27 mars 1944, jour de ses 23 ans. Un matin, ne pouvant se lever à l'heure de l'appel, elle est battue à mort par une gardienne, quelques jours avant la libération du camp par les troupes anglaises Lors de l’occupation elle fit le choix d’écrire un journal, son journal, ou

ce tri ne sera pas fait au domicile mais au premier centre de rassemblement par le commissaire de la voie publique » [2]. Les nazis prévoient de faire arrêter par la police française 22 000 Juifs étrangers dans le Grand Paris, qui seront conduits à Drancy, Compiègne, Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Pour cela, « le service de M. Tulard fera parvenir à la Direction de la police municipale les fiches des Juifs à arrêter (…) Les enfants de moins de quinze ou seize ans seront confiés à l'Union générale

Seconde Guerre mondiale. Lorsqu’il a douze ans il est hospitalisé en raison d’une blessure à la jambe. Ce coup du sort lui permet d’échapper à la déportation, au contraire de ses parents, ses trois sœurs et son frère qui transitent un temps au Camp de Drancy, avant d’être déportés vers Auschwitz. A la libération, le jeune Maurice, alors âgé de quinze ans est le seul survivant de sa famille. L’homme Celio est né à Paris, en 1978, du côté de la rue Saint-Lazare, dans le IXe arrondissement. Son nom

parolier , musicien et chanteur Francais . Chanteur engagé, auteur compositeur , il décrit l’horreur de la déportation et raconte les méfaits de l'éxode rurale. Il a onze ans lorsque son père, juif non pratiquant, est enlevé aux siens, séquestré au camp de Drancy, puis déporté le 30 septembre 1942 à Auschwitz ,il fut élevé par un communiste ce qui va le sensibilisée très tôt à la cause ouvrière. Cependant, ce fut un compagnon de route critique, particulièrement vis-à-vis des positions du parti sur

mémoire des victimes des camps de concentration nazis de la Seconde Guerre mondiale. Nuit et brouillard évoque également pour Jean Ferrat un drame personnel et douloureux, la disparition de son père, juif émigré de Russie, arrêté puis séquestré au camp de Drancy par les autorités françaises, puis déporté (le 30 septembre 1942) à Auschwitz[1], d'où il ne reviendra pas. Le titre fait référence à la directive Nuit et brouillard signée en 1941 par Adolf Hitler, qui stipule que les personnes représentant une

Brouillard de Jean Ferrat Nuit et brouillard Nuit et Brouillard a été chanté et écrite par Jean Ferrat en décembre 1963. Cette chanson évoque la disparition du père de Jean Ferrat qui était un juif émigré de Russie, arrêté puis séquestré au camp de Drancy par les Allemands avant d'être déporté a Auschwitz d’où il n'est pas revenu. Le titre fait référence à la directive Nuit et Brouillard signée en 1941 par Adolf Hitler, qui stipule que les personnes représentant une menace pour le Reich ou

allemands seraient déportés en Allemagne et disparaîtront dans le secret absolu. Nuit et Brouillard évoque aussi pour Jean Ferrat un drame personnel et douloureux : celui de la disparition de son père, juif émigré de Russie, arrêté puis sécrété au camp de Drancy par les autorités françaises, puis déporté le 30 septembre 1942 à Auschwitz, d’où il ne reviendra jamais. La chanson sera interdite en radio et à la télévision car, sous l’influence de l’Elysée, le directeur de l’ORTF (l’office de radiodiffusion

Shoa. Cette chanson commémort les victimes des camps d'exterminations nazis de la seconde guerre mondiale, il évoque aussi pour Jean Ferrat un drame personnel, qui est la disparition de son père, juif émigré de Russie, arrêté puis séquestré au camp de Drancy puis déporté le 30 septembre 1942 à Auschwitz où il est mort. il s’agit de la révolte d’un fils de déporté à l’époque où la Shoah était un thème quasiment tabou. Il a surtout sorti cette chanson à cette époque là, où ils commençaient à oublier

décembre 1930 à Vaucresson (Seine-et-Oise) et mort le 13 mars 2010 à Aubenas, en Ardèche . Le chanteur est fortement marqué par l'occupation allemande. Il a onze ans lorsque son père, Juif non pratiquant, est enlevé aux siens, séquestré au camp de Drancy, puis déporté (le 30 septembre 1942) à Auschwitz, dans le cadre de la Solution finale. L'enfant est caché un moment par des militants communistes et sa famille sera aidée par des résistants. C’est sans doute pour cette raison que Jean Ferrat