Camp d'internement français

aux yeux de l’Europe, déterminé à agrandir son « espace vital ». Mais lorsqu’ en 1939, il décide d’envahir la Pologne, c’en est trop : la France et la Grande-Bretagne lui déclarent la guerre. C’est le début de la « drôle de guerre » : les soldats français sont mobilisés, mais ne se battent pas et restent derrière la ligne Maginot, véritable muraille défensive. En fait, l’armée française n’a pas les moyens d’une offensive, et veut gagner du temps. La population, encore traumatisée par la Première Guerre

effectif le 25. Entre temps des centaines de milliers de soldats français sont fait prisonniers. Le 18, De Gaulle a lancé son appel depuis Londres : « cette guerre est une guerre  mondiale…  la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas » - Les clauses de l'armistice : l'Alsace-Moselle redevient allemande, donc les jeunes alsaciens seront mobilisés dans l'armée allemande (les "malgré nous") et un camp de concentration y est installé (Strutthof). Zone nord et ouest

déclaration de guerre à l’Allemagne en septembre 1939, la France est vaincue puis occupée dès juin 1940. Alors que le Maréchal Pétain s’engage dans la collaboration, à Londres le général de Gaulle lance un appel à la Résistance. Pendant six ans, les Français vont subir les affrontements entre les deux camps, l’occupation et les exigences de l’Allemagne, la terreur et la survie quotidiennes.  En 1945, les défis sont multiples : reconstruction du pays, restauration de l’autorité de l’Etat, de

cinématographique Elle s'appelait Sarah contribue t-elle au travail d'histoire sur le sors des enfants juifs en France pendant la seconde guerre mondiale et éclaircie t-elle les enjeux de mémoire sur la shoah? Matières associées à ce travail : Histoire et Français SOMMAIRE Introduction Rubrique actualité I "Sarah" une petite fille au Vel d'Hiv a) les faits b) le vel d'hiv c) la politique de vichy ( l'état de vichy, le statut des juifs, l'étoile jaune,) II "Sarah" une rescapée de la

gauche sous la Ve République peut s’étudier en deux phases, une période d’opposition et d’adaptation au régime, jusqu’en 1981, puis un tournant avec le retour de la gauche au pouvoir. I - La gauche sous la IVe République a) Le Parti communiste français, premier parti, mais perpétuel opposant Avant la Seconde Guerre mondiale, le PCF refuse toujours de participer à l’exercice du pouvoir. S’il soutient le gouvernement de Front populaire de Léon Blum, aucun ministre communiste n'y participe. Mais

Nom du professeur : Mme Fauquembergue Document destiné aux centres d’examen pour les journées de préparation |Références des manuels : | |Terres littéraires, Français 1ère, Hatier | | | |Références des œuvres intégrales :

caractéristique est d’être à la fois urbaine, très longue (presque 8 mois), visant autant les civils que les militaires. B. Une volonté d’extermination : le génocide des Juifs et des Tsiganes 1) Auschwitz-Birkenau : d’une logique de mise à l’écart et d’internement… L’invasion de la Pologne pose un problème aux nazis, car ce territoire comporte 3 millions de Juifs (sur 11 millions en Europe), qui représentent plus de 10% de la population polonaise. Dans un contexte de répression contre les opposants polonais

menacé de prison et de camp d'internement, il commence une « émigration intérieure » dans le sud-ouest de l'Allemagne. En 1937, ses œuvres sont déclarées « dégénérées » par les nazis. Quelque 170 d'entre elles sont retirées des musées et une partie est brûlée ; d'autres sont exposées lors de l'exposition nazie « Arts Dégénéré». Il participe par obligation à la Seconde Guerre Mondiale. Il sert sur le front occidental en 1944-1945. Il est fait prisonnier en Alsace par les Français. À la fin de la guerre

conduit Félix Nussbaum en Belgique. Arrêté après la défaite de la Belgique, le 10 mai 1940, en tant que ressortissant du Reich, il est déporté en tant qu’ « étranger ennemi » au camp de Saint-Cyprien dans les Pyrénées-Orientales. Le 3 août, il demande à la commission chargée de l’inspection des camps d’internement français son rapatriement vers le Reich ; en septembre, à la faveur de son transfert à la caserne de Bordeaux, il parvient à s’enfuir en compagnie d’un camarade et regagne, via Paris, Bruxelles

trouve dans une situation particulière : bien qu’alliée aux Anglais, elle sort officiellement du combat . Mais les Français ? qu’en pensent-ils ? si, majoritairement, à cette date, les Français sont reconnaissants à Pétain d’avoir mis un terme à la guerre, quelle va être leur attitude face à l’occupation et au nouveau régime ?Très vite, de Gaulle rejoint Londres et appelle les Français à la résistance ; vont-ils répondre ? les nouvelles autorités , allemande comme française, vontelles laisser se