Campagne des Cent fleurs

les groupes soulignés. Essayez de reconnaître les compléments du nom: Les voyageurs ont attendu le train de 8 h 50 à 9 h 20. – Les voyageurs attendent le train de 8 h 50. Gilbert écoute les disques de temps en temps. – Ils sont rentrés de la campagne avec les provisions pour huit jours. – La voiture a percuté un camion de yaourts. – Les yaourts ont recouvert la chaussée sur deux cents mètres.– On peut, par beau temps, apercevoir le mont Blanc de chez lui. – La décision a été prise en Conseil

En tout temps, en tout lieu, d'un ineffable amour, Regardez à travers ses voiles ; Oh ! Regardez le ciel ! cent nuages mouvants, Un mystère est au fond de leur grave beauté, Amoncelés là-haut sous le souffle des vents, L'hiver, quand ils sont noirs comme un linceul, l'été, Groupent leurs formes inconnues

structures mathématiques, dans la création littéraire 1961 Publication des Cent mille milliards de poèmes : 10 sonnets aux rimes identiques, découpés en 14 bandes horizontales, autant que de vers, et permettant une combinaison de Cent mille milliards de sonnets différents. 1963 Publication de Bords , recueil d'essais sur la science. 1964 Il travaille à une analyse matricielle du langage. 1965 Publications des Fleurs bleues et du Chien à la mandoline. 1966 Publication d'Une histoire modèle.

10 10 10 10 UN HOMME, UNE FEMME UN ARBRE, UNE ROUTE ... ..................................... Le nom et 1’article ................................................. Masculin et féminin des noms ................................ 11 DES ARBRES, DES FLEURS, DES OISEAUX ............. Singulier et pluriel des noms .................................. 12 UNE TOUR, UN PONT, DES BATEAUX LA TOUR, LE PONT, LES BATEAUX .................... « Un » , « une », « des » et « le », « la », «les »....... L’article indéfini

superbe ! N’est-ce pas elle, en effet, qui chaque matin remet sous nos yeux la terre dans tout l’appareil de sa magnificence : les montagnes avec les grands bois dans elles sont couronnées ; les coteaux avec des vignes dont ils sont tapissés ; les campagnes avec des moissons jaunissantes dont elles sont couvertes ; les prairies avec les mille ruisseaux dont elles sont arrosées ? Quelle que soit la fraîcheur de la verdure, c’est le matin qu’elle est la plus fraîche. C’est le matin que les rayons du

! Avril ouvre à deux battants Le printemps ; L'été le suit, et déploie Sur la terre un beau tapis Fait d'épis, D'herbe, de fleurs, et de joie. Buvons, mangeons ; becquetons Les festons De la ronce et de la vigne ; Le banquet dans la forêt Est tout prêt ; Chaque branche nous fait signe. Les pivoines sont en feu ; Le ciel bleu Allume cent fleurs écloses ; Le printemps est pour nos yeux Tout joyeux Une fournaise de roses. Tu nous dores aussi tous, Feu si doux Qui du haut

21 56 84 - email : ecopar@paris.ensmp.fr - http://www.ecole.org 1 http://www.ecole.org AQUARELLE.COM : DES FLEURS PAR L’INTERNET par François de MAUBLANC et Henri de MAUBLANC Fondateurs d’Aquarelle.com Séance du 16 mai 2003 Compte rendu rédigé par Lucien Claes En bref L’un est polytechnicien, l’autre a fait l’ENA ; ensemble ils ont fondé en 1997 Aquarelle.com, une start-up qui vend des fleurs sur l’internet, métier présumé simple et permettant de vivre plus tranquillement que les métiers high-tech

Potentielle) avec notamment François Le Lionnais : atelier littéraire préconisant l'utilisation de structures mathématiques, dans la création littéraire. En 1961, Queneau publie Cent mille milliards de poèmes (10 sonnets aux rimes identiques, découpés en 14 bandes horizontales, autant que de vers, et permettant une combinaison de Cent mille milliards de sonnets différents.) En 1964, il travaille sur une analyse matricielle du langage. En 1970 il quitte le jury Goncourt. Sa femme Janine meurt en 1972, ce

l'amour !… IV Ô splendeur de la chair ! ô splendeur idéale ! Ô renouveau d'amour, aurore triomphale Où, courbant à leurs pieds les Dieux et les Héros, Kallipyge la blanche et le petit Éros Effleureront, couverts de la neige des roses, Les femmes et les fleurs sous leurs beaux pieds écloses ! - Ô grande Ariadné, qui jettes tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots, Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, Ô douce vierge enfant qu'une nuit a brisée, Tais-toi ! Sur son char d'or brodé

est loin. Plus rien qu'un bruit sourd de voitures  Qui meurt, mélancolique, aux plis lourds des tentures...  Formons des rêves fins sur des miniatures. Vers de mauves lointains d'une douceur fanée  Mon âme s'est perdue ; et l'Heure enrubannée  Sonne cent ans à la pendule surannée... Albert Samain, Au jardin de l'Infante, 1893 COMMENTAIRES Albert Samain, né à Lille le 3 avril 1858, mort à Magny-les-Hameaux le 18 août 1900, est un poète symboliste français. Biographie