Campagnol des Prairies

semblent à être à l'origine de la différence comportementale entre le campagnol des prairies (Microtus ochrogaster) et le campagnol des prés(Microtus pennsylvanius). Le premier est en effet plutôt social et monogame tandis que le second est lui asocial et polygame. En 2004, une modification génétique est opérée sur des campagnols des prés : à l'aide d'un vecteur viral, des copies du gène de la vasopressine chez le campagnol des prairies sont implantées dans le génome des cellules de l'individu étudié

La lutte contre le campagnol terrestre en Auvergne EVE DUROCHER KIM GUIEZE CLÉMENCE MOUYEN MAËVA PETIT Décembre 2014 Référent pédagogique : CONTEXTE  Physiologie du campagnol terrestre • Nom latin : Arvicola terrestris • Spécificité : Forme fouisseuse • Régime alimentaire : bulbes, rhizomes et racines de plantes • Localisation dans le Monde : Ouest de l’Europe à l’Altaï • Localisation en France : Nord-est, Centre-est et SudOuest • Milieu de vie : zones de moyenne montagne, jardins

d'agriculture raisonnée permettant de lutter contre les Campagnols La fauche centrifuge joue un rôle très intéressant dans la préservation de la faune sauvage. En commençant par faucher à partir du centre de la parcelle, cela laisse le temps aux animaux, notamment les Renards, de fuir devant la faucheuse et de trouver un abri dans une parcelle voisine. Car les renards sont des prédateurs naturels des Campagnols. Ces rongeurs dévorent, dans les prairies, les racines des plantes les plus appétantes pour

Seine-Maritime des coniffres. La mésange noire, espéce montagneuse, a fait son apparition, puis s’est sédentarisée pour former une population propre 3 la Seine- Maritime. . Afin de pourvoir & V’alimentation des animaux d’élevage, beaucoup de prairies, milieux naturels des vanneaux huppés, ont été mises en culture pour produire du mais. Cet oiseau s’est mis & nicher dans les labours, ce qui entraine une forte mortalité des poussins. A Paide des informations apportées par ces

Transect à partir de la roselière. Tableau : Végétaux, leur abondance et leur lieu : Carex panicea, fréquent, dans la prairie hygrophile Baldingère, fréquent, dans la prairie hygrophile Roseau, abondant, dans la prairie hygrophile Succisse des près, abondant, prairie mésophile Centaurée, rare/fréquent, prairie mésophile Pissenlit, fréquent, prairie mésophile [pic] [pic] Atelier : Transect à partir de la vigne. Tableau : -Feuilles, leur abondance et leur milieu :

exister dans des conditions particulières, mais qu'il faut être prudent. Matériel et méthode Site d'étude : Buthiers (70). Soit 6 parcelles s'intégrant dans un contexte paysager typique (ouvert et bocager). On retiendra 4 thèmes d'occupations du sol: prairie fourragère, grande culture, petit étang et autre (bosquet-lisière de bois feuillus-haies avec/sans arbres, jardin). Cf. Annexes « Parcours » Modèle faunique : le choix des falconiformes/corvidés s'explique par la facilité (relative) de mise en évidence

organiques sont assimilés dans l’année qui suit l’épandage ; > Odeur agréable ; > Faible feutrage en prairie ; > Petite couche de mousse dans les prairies en hiver qui diminue durant la bonne saison. Petits problèmes qui se résolvent facilement. Bonne santé des plantes et des animaux. > Matières organiques mal assimilées, des débris sont visibles dans le profil ; > Mauvaise odeur ; > Feutrage important en prairie ; > Couche de mousse importante et qui reste stable au cours des saisons Problèmes importants

transportant vin, céréales, chaux, rouche (jeune roselière fauchée) et denrées diverses. En 1830, les travaux hydrauliques reprennent : des douves latérales sont notamment créées, pour faciliter l’exondation du marais et l’exploitation des prairies humides à la belle saison par fauche et pâturage de la rouche. Des saules sont plantés pour délimiter les parcelles. En 1850, une construction est faite au bord de la Loire : la digue de la Divatte et des vannes à Basse-Goulaine et Embreil)

l’agriculteur lorsqu’elle accueille des prédateurs des ravageurs des cultures. En Auvergne, un des ravageurs les plus problématiques est le rat taupier (campagnol terrestre). Son prédateur principal est l’hermine. Or, celle-ci ne s’éloigne jamais à plus de 300 m d’un abri (haie, muret). La présence de haie facilite donc la pénétration des hermines dans les prairies et facilite leur rôle de prédateur. Les haies abritent aussi des vipères, renards et offrent des sites de reproduction ou de perchoirs pour les

femelles (135 - 271 ha). e) Régime alimentaire technique de chasse Son régime alimentaire est nettement carnivore, avec une nette préference pour les petits rongeurs (campagnol terrestre, surtout) . Bien qu’excellent grimpeur, il chasse ses proies à terre, en terrain découvert, dans les clairières, les prairies mais également en forêt. Il pratique l’affût et l’approche. La vue et l’ouïe lui servent plus que l’odorat ; son adresse et sa rapidité lui permettent un taux de réussite proche