Canaux parisiens

– pk 346,00) est de 78 650 km², soit 14 % de la superficie nationale (Guezennec et al, 1999). Figure 1. Carte du bassin versant de la Seine (Dupont, 2001) b. La géologie Les méandres du fleuve s’inscrivent dans la bordure ouest du Bassin Parisien (figure 2). Le fleuve correspond à la limite le sud du Pays de Caux (Bessineton et al, 1996) . Le bassin versant continental de la Seine et de ses affluents draine une grande partie du bassin de Paris, formé de terrains crayeux datés du Crétacé.

aspects : les plaines de la Flandre et du Languedoc sont des plaines littorales récentes ; les vallées enserrées entre les montagnes, comme celles du Massif central, le couloir du Rhфne et la plaine de l’Alsace sont des plaines d’effondrement. Le Bassin parisien n’est qu’une suite de bas plateaux séparés par de larges vallées. Les plaines sont reliées par des seuils, comme par exemple celui de Bourgogne entre les plaines de la Saфne et de l’Alsace, puis celui de Poitou qui nfacilite la communication

Développement territorial et voie fluviale : Comment harmoniser le développement local autour et grâce au canal de l’Ourcq ? Gaëlle des Déserts / master 1 / IUP janvier 2012 / cours de développement territorial / S. Guelton INTRODUCTION Elément structurant du territoire francilien, le canal de l’Ourcq offre aux territoires qui le bordent un atout non négligeable, et une valeur ajoutée supplémentaire aux activités économiques implantées sur ses berges. En effet, il rayonne sur le territoire

Amérique du sud, ➢ le Danube en Europe, ➢ le Mékong en Asie. C) La plaine. Un relief presque plat sur lequel les cours d'eau ne sont pas encaissés (ex: la plaine de Sibérie, les grandes plaines des U.S.A. ; en France: le bassin parisien) D) Le plateau. Un relief plus ou moins plat sur lequel les cours d'eau sont encaissés (Le limousin). II°) Des reliefs humanisés. A) Reliefs attractifs et répulsifs. Les vallées, les plaines et les plateaux sont des espaces

Figaro (16 mars 1914) 14 Histoire des médias 6/9 1871- IIIème République (1871-1918) Quatre principaux journaux – Le Matin (4 à 6 pages): 900000 ex. – Le Journal: 1 million ex. – Le Petit Journal, presse populaire: 1 million ex. – Le Petit Parisien, presse populaire: 1,5 million ex. 15 Histoire des médias 7/9 IIIème République (1918-1940) •  Principaux journaux (entre les deux guerres) •  Aux quatre grands journaux précédents s’ajoutent «l’Echo de Paris » puis le développement rapide

bien évidemment partie de la stratégie de vente. Mais la demande est forte et, bientôt, d'autres journaux entreront dans la course au récit de crime. Le plus important d'entre eux, qui supplante en matière de tirage Le petit Journal, est le Petit Parisien. Ce dernier est, en 1900 le premier quotidien du pays8(*). La stratégie éditoriale s'adapte très vite au contexte social, puisque les récits de faits divers augmentent du double en vingt ans9(*). Les affaires retentissantes - l'affaire Vacher

montant dépend de la fortune du prévenu. C) La peine de mort est-elle une divergence de culture? En France, la peine de mort a été abolie en 1981 par François Mitterrand. Avant l’abolition, des sondages ont été réalisés : - En 1908, le Petit Parisien publiait un sondage dans lequel 77 % des interrogés se déclaraient en faveur de la peine de mort. - En 1968, un sondage de l'Institut français d'opinion publique (IFOP) montrait que 50 % des Français étaient contre la peine de mort et 39 % pour

industrielle du Nord (foyers d'industries lourdes de Creil-Montataire et de Chauny-Tergnier), forte de traditions locales vivaces (verrerie de Saint-Gobain, serrurerie et métallurgie du Vimeu), la Région a bénéficié de la décentralisation d'activités parisiennes (automobile, chimie, pneumatiques, matériel de bureau, électro-ménager) qui ont diversifié le tissu industriel. Le tourisme ne joue qu'un rôle modeste, les stations importantes du littoral de la Manche étant extérieures à la Région. La Picardie

constat : le récit de crime connaît un essor fulgurant, continu et multiforme de 1880 à 1914. Tout d’abord dans les journaux sous la forme de faits divers. Ces bribes se développent dans les journaux populaires de masse pendant longtemps. Le Petit Parisien, Le Petit Journal ou le Matin lui accordent ainsi un espace impressionnant. Mais dès le milieu des années 1880, ces faits-divers envahissent aussi les journaux à tirage plus limité et même la presse militante qui semblait pourtant très réticente

Petit Parisien, "Lettre de soldat", 22 mai 1915 "L'inefficacité des projectiles ennemis est l'objet de tous les commentaires. Les shrapnels éclatent mollement et tombent en pluie inoffensive. Quant aux balles allemandes, elles ne sont pas dangereuses : elles traversent les chairs de part en part sans faire aucune déchirure." in KUPFERMAN, Fred, « Rumeurs, bobards et propagande », in L'Histoire n° 107, janvier 1988, p. 99 Ces articles de presse sont parue en 1915 dans le petit parisien en plein