Cancún

du Nord. Les Conférences sont depuis celle de Seattle en décembre 1999, sous les critiques des pays en développement et de la société civile. Les débats échappent toujours majoritairement sur les questions agricoles, et par deux fois (Seattle et Cancun en 2003), n’ont pu se conclure. A Doha en 2001, comme à Hong Kong en 2005, les pays se devaient de trouver un accord : parce que c’était la première réunion internationale après le 11 septembre 2001 pour l’une, parce que l’OMC aurait été très décrédibilisée

décisions relatives au bien commun mondial (ex : bien public mondial). Les différentes questions sont donc traitées distinctement par différentes institutions qui peuvent être : - Les Etats (conférence internationale type G20, sommet type Cancün sur le développement durable, accords…), - Les organisations officielles internationales (ONU, OMC, FMI …), - Les autorités indépendantes (Forum pour la stabilité financière), - Les ONG (Greepeace, Croix rouge, Attac…). La

entraîne en septembre 1981 à la Conférence de Paris, la mise en place d’un plan d’action en faveur des 31 pays les plus pauvres du monde ou P.M.A. (Pays les moins avancés). En 1981, le premier et dernier sommet Nord/Sud réunissant 22 pays a lieu à Cancun. Il est resté sans lendemain. En août 1980, l’ONU a proposé que les pays développés consacrent 0.7% de leur budget national à l’aide au Tiers-Monde. Peu de pays ont fait l’effort. De plus aujourd’hui, l’aide accordée fait l’objet de violentes critiques

de ratifier le protocole de Kyoto. Actuellement, les institutions internationales ont de plus en plus de mal à jouer leur rôle de régulateurs de l'économie mondiale. L'OMC est l'exemple le plus révélateur. Les réunions de Doha en 2001 et de Cancún en 2003 ont échoué, s'ajoute l'échec de celui de Hongkong. L'OMC est devenue une institution où il est devenu quasiment impossible aux Etats de se mettre d'accord sur l'organisation des règles du commerce international. De plus, les négociations touchent

assurer sa croissance future et son intégration dans l’économie mondiale.  La question essentielle reste de savoir à quelle vitesse cela se fera. 2-Relancer le cycle de DOHA La réunion de Cancun s'est tenue à mi-parcours du cycle actuel de négociations commerciales entamées à Doha (Qatar) en 2001. A Cancun, l'Afrique s'est surtout attachée à demander des réformes du commerce agricole visant à éliminer les subventions qu'accordent les pays industriels et à lui assurer un meilleur accès aux marchés

Dans le cadre de l’OMC s’est ouvert en 2001, un cycle de négociations au Qatar qui devait libéraliser les échanges de services, s’interroger sur la propriété industrielle et qui devait avancer sur l’agriculture. Ce cycle de négociations a échoué à Cancun au Mexique en 2003 sur la question agricole ce qui fait qu’on n’a pas réglé les autres domaines. Le groupe de cairns voulait que les USA et l’UE ouvrent leur marché a leurs produits agricoles. L’UE et les USA disaient oui mais en contrepartie,

consommateurs et d’ONG européennes opposées à l’utilisation des OGM. A une échelle plus générale, l’action des ONG hostiles à la mondialisation néolibérale s’est illustrée de manière spectaculaire avec le blocage des sommets de l’OMC à Seattle en 1999 et à Cancun en 2003. A l’inverse, l’organisation de rencontres comme celle de Porto Alegre (depuis 2001) est significative de la volonté de promouvoir un autre type de mondialisation que la mondialisation néolibérale. C’est pourquoi le mouvement anti-mondialisation

droits de la Terre-Mère en 2011 comme faisant partie du processus de construction du Mouvement mondial des peuples pour la Terre-Mère et en réaction aux résultats de la Conférence sur le changement climatique qui se tiendra à la fin de cette année à Cancún au Mexique.

international par des négociations valorisant le libre-échange) ex : (doc 7 p23) ECHECS Uruguay Round->Cycle donc blocage (1986/1994) sur l’agriculture. A Seattle en 1999 -> échec du lancement du cycle millénaire. A Doha en 2001-> échec du sommet de Cancun. Il y a des blocages parce qu’il faut que tt se fasse par la négociation. Remarque : on pensait au départ que c’était un outil contrôlé par les USA pour imposer le libre-échange. Ils ont pourtant le rôle d’arbitre. L’OMC a montré sa réelle indépendance

mathématicien Maurice Audin et le porteur de valise Francis Jeanson, et, non dans le porteur de sac de farine médiatique, Bernard Kouchner, le soutien affairiste des dictateurs africains. Dans la France du discours de Pnom Penh (Charles de Gaulle) et de Cancun (François Mitterrand) et non dans la France du discours de Dakar sur l’homme africain (Nicolas Sarkozy) et du discours de Tunis sur la division raciale du travail entre Français et arabes sur le pourtour méditerranéen (Nicolas Sarkozy ibidem). Dans