Candide Un Faux Paradis

auteurs on parle aussi de ces géants : - Victor Hugo « C’était des hommes géants sur des chevaux colosses ») - Voltaire dans Candide « Deux hommes habillés de bleu le remarquèrent: Camarade, dit l'un, voilà un jeune homme très bien fait, et qui a la taille requise; ils s'avancèrent vers Candide et le prièrent à dîner très civilement. -- Messieurs, leur dit Candide avec une modestie charmante, vous me faites beaucoup d'honneur, mais je n'ai pas de quoi payer mon écot. -- Ah ! Monsieur, lui dit

ce qui montre encore une fois un contexte historique où la perception de l’enfance était très différente de notre époque : les enfants étaient représentés comme des adultes miniatures. Cependant, Alice reste l’enfant fantasmée par les adultes, candide, imaginative, insouciante. Sa naïveté fait qu’elle accepte toutes les étrangetés du monde absurde des merveilles. Elle s’étonne de tout, sans remettre en question ce que les habitants du pays des merveilles lui apprennent : quand elle voit le chat

de l'occident = homme pas encore corrompue. ( Louis Sepulveda , le vieux qui lisait des romans d'amours ?) sorte de rêverie où tout est obtenue sans effort, où la nature est bienveillante., une nature encore préservée ( Paul et Virginie) , un paradis perdue. → modèle théorique; imaginaire pour pouvoir penser, état de nature selon Rousseau, un monde avant la civilisation = contre modèle pour penser la civilisation; bon sauvage = toute vertu que l'occidental n'a plus : vie saine, équilibré franchise

Dites, qu'enseignez-vous ? que venez-vous parler D'idéal, de réel, et nous rompre la tête ? Votre réel à vous, c'est la chimère bête, Ou c'est la loi féroce et dure ; ici Baal, Là Dracon ; et l'erreur partout. Votre idéal C'est quelque faux chef-d'oeuvre ou quelque vertu fausse, C'est un roi qu'en rampant la flatterie exhausse, Ou c'est un livre pâle ayant pour qualité De s'ouvrir sans blesser les yeux de sa clarté ; Honneur au grand Louis ! Gloire au tendre Racine ! Ah ! l'idéal

pour moi de vouloir les diriger. Je suis convaincu que je dois leur donner entière liberté et que je ne peux faire rien d'autre que d'obéir à leurs désirs. Je n'aime pas l'écrivain qui aliène la liberté de ses personnages, qui en fait des personnages faux, nourris d'idées toutes faites. Et s'ils ne rentrent pas dans sa conception politique personnelle, qui n'est pas issue des vérités humaines mais simplement d'une idéologie pétrifiée, il les défigurera. Mais la création ne ressemble pas à la dictature

croyant de pénétrer au delà des apparences « externes » des choses et d'atteindre leur réalité « interne ». A cette étape de la croissance de la Vérité dans le cœur, le croyant voit maintenant avec deux yeux, « l'externe » et « l'interne » (Dajjal, le Faux Messie ne voit que d'un œil, « l'externe »). Le croyant qui poursuit un « Jihad fillah » (c.à.d. une lutte "en" Allah) est béni par la croissance de l'Iman vers l'étape de l'Ihsan ; ce qui est aussi appelé Tasawwuf. C'est seulement avec cette lumière

croyant de pénétrer au delà des apparences « externes » des choses et d'atteindre leur réalité « interne ». A cette étape de la croissance de la Vérité dans le cœur, le croyant voit maintenant avec deux yeux, « l'externe » et « l'interne » (Dajjal, le Faux Messie ne voit que d'un œil, « l'externe »). Le croyant qui poursuit un « Jihad fillah » (c.à.d. une lutte "en" Allah) est béni par la croissance de l'Iman vers l'étape de l'Ihsan ; ce qui est aussi appelé Tasawwuf. C'est seulement avec cette lumière

tout à fait un conte», la nouvelle indique l’invention, fictionnelle , le conte lui induit le merveilleux ( fantastique : irrationnel inscrit dans le réel / merveilleux : les actant accepte l’irrationnel comme réalité) ! → conte philosophique ( Candide apologue) avec une morale ne pas ! vouloir obstinément ressusciter le passé faute de ne pas vivre le! ! présent ! ! • Nerval voue un culte à l’Allemagne , Chapitre XIIIème, peut être Nerval à trouver un genre typiquement allemand le Marchën

versé, même lorsqu'ils renoncent, expient, se retirent.Il cherche à répandre les valeurs humanistes de son époque.Bilan :Dans cette œuvre l’auteur se moque mais délivre un savoir précieux (comme décrit dans le prologue), mais ils se moquent aussi des faux savants, des mauvais savants et se permet de comparer leurs façons d’éduquer à celle proposé par les humanistes. Il dénonce le savoir prôner par la religion. Et ce en essayant de faire rire le lecteur. Ce livre entre donc très bien dans le parcours :

qu’il put se donner ; le brutal et hypocrite comédien était fier de ces belles larmes ; il les considérait comme son œuvre et sa propriété littéraire. Il se méprenait sur le sens intime de cette douleur, comme madame de Cosmelly, noyée dans cette candide désolation, se méprenait sur l’intention de son regard. Il y eut là un jeu singulier de malentendus, à la suite duquel Samuel Cramer lui tendit définitivement une double poignée de main, qu’elle accepta avec une tendre confiance. — Madame, reprit Samuel