Cangrande della Scala

fut probablement Commedia, ou Comedìa, du grec κωμωδία (comodìa). C'est en effet ainsi que Dante lui-même nomme son œuvre (Enfer XVI 128, Enfer XXI 2). Dans l'Epistola (dont la paternité dantesque n'est pas absolument certaine) adressée à Cangrande della Scala, Dante confirme le titre latin de l'œuvre : « Incipit Comedia Dantis Alagherii, Florentini natione, non moribus »7 ("Ici commence la Comédie de Dante Alighieri, florentin d'origine mais non de mœurs"). La lecture de cette lettre fournit deux

Vitruvius Cordone gravé dessus ; quelque chose de très rare pour l'architecture de l'époque. Elle fut démolie par les troupes françaises en 1805 et fut reconstruite en 1932. (F4) Le Castelvecchio fut construit au Moyen Age entre 1354 et 1356 par Cangrande II della Scala, d'après le projet des Scaligeri C'est au cours du 20e siècle que le Castelvecchio connut un profond changement. En 1925 le château devint un musée. Le musée de Castelvecchio est un chef d’œuvre de la muséographie italienne d'après-guerre[2]

Boccaccio, Decamerone, Riassunto novelle. Giornata I – Novella I Regina della giornata: Pampinea. Narratore: Panfilo. Tema libero. Ser Ciappelletto è un falsario pronto ad utilizzare tutti i suoi mezzi per contorcere la realtà, un abile bugiardo e uno spietato disseminatore di litigi, traditore della Chiesa: un uomo, quindi, non estraneo al peccato. Egli viene assunto da Musciatto Franzesi per la gestione dei suoi affari sparsi in innumerevoli regioni. Durante il suo viaggio, trova accoglienza

................................................................ Salvador Dali, la Divine Comédie et le Paradis... Texte de référence La troisième des trois parties de la Divine Comédie est le Paradis. Cette partie du texte est dédiée à Cangrande della Scala. Beatrice Portinari, sa muse, fait passer Dante au Paradis, qui est construit à l'inverse de l'Enfer (neuf cercles concentriques dirigés vers le haut). Ici on croise de nombreux saints. Chaque cercle correspond en fait à un ciel (ciel de la

Platone ne’ dialoghi del giusto ad Omero erano difese da Aristotele e da Plutarco non con altra difesa che col mostrar che sotto le cose dannate v’è allegoria. Et ancora che l’allegoria, essendo perfettione accidentale, non possa contrapesare i difetti della imitazione, che son per sè, sì che male in gran parte riman difeso Omero; pur rimane a mio giudicio difeso in alcuna parte, cioè in quella dove l’opposizioni riguardano alcune cose accidentali. (LP XXVIII, 2-7) Évidemment, le Tasse reprend

d’alors. Chant XVII Dante demande à son aïeul de lui éclaircir certains propos prophétiques. Cacciaguida lui annonce les misères de l’exil mais aussi les réconforts qu’il y trouvera grâce à un « prince lombard » et à son fils (Can Grande della Scala), l’exhorte à dire sans crainte tout ce qu’il a vu dans son voyage dans le monde surnaturel. Chant XVIII Dans le cinquième ciel sont présents aussi les héros juifs, les croisés et les paladins des chansons de geste. Béatrice et Dante montent

Mais, si l’on prend l’ouvrage allégoriquement, le sujet en est l’homme en tant que, par les mérites ou démérites de sa vie, étant doué de libre arbitre, il va au-devant de la justice qui récompense et qui châtie. Dante Alighieri, Lettre à Cangrande Della Scala (v. 1316) Le cas des textes littéraires peut être considéré de la même manière que le texte biblique ; ainsi, Dante, ne propose pas moins de quatre niveaux de lecture (sens littéral, allégorique, moral, anagogique) pour saisir complètement

l’on prend l’ouvrage allégoriquement, le sujet en est l’homme en tant que, par les mérites ou démérites de sa vie, étant doué de libre arbitre, il va au-devant de la justice qui récompense et qui châtie. Dante Alighieri, Lettre à Cangrande Della Scala (v. 1316) Le cas de l’œuvre d’art en général (peinture, composition musicale, etc.) est sensiblement le même : derrière le signe matériel il faut retrouver l’intention de l’artiste. On remonte de l’effet vers la cause, de la matière vers