Canon alexandrin

tourbillon d’images. La rivière qui chante donne encore plus de crédibilité à ce lyrisme puisqu’elle rend le poème musical. Lorsque je le lis, un flot de notes résonne en moi, j’entends les arpèges d’une harpe faire écho à la rivière qui chante, et les alexandrins viennent rythmer cette mélodie. Pendant un bref moment, les deux quatrains m’ont fait imaginer ce soldat qui semble dormir paisiblement, réchauffé par la nature et bercé par la musique de l’eau. Cette description m’a donné, au départ, une impression

chassait. » vers 1, 2, 3, 4. Durant le romantisme, le poème d’Hugo est composé de quatre quatrains en alexandrins et aux rimes croisées. « […] décoiffée, […] penchant ; […] fée, […] champs ? » vers 1, 2, 3, 4. Durant le surréalisme les poèmes ne respectent plus forcément les règles de la poésie classique et sont plus déstructurés. En effet pour Éluard, son poème est composé de trois quintils : alexandrins (vers 1, 3 & 4), octosyllabe (vers 2) et décasyllabes à partir du 5ème vers. Les rimes sont quant

textes dans le registres lyriques. Puis,les poètes rêvent, il sera donc intéressant d’étudier quelle place il occupe dans ces textes et ce qu’il représente. 1) Tout d’abord, nous pouvons affirmer que les textes A et B sont des sonnetsfrançais en alexandrin et nous savons également que ce type de poème a souvent pour thème l’amour et donc pour registre le lyrisme, ce qui nous permet déjà d’affirmer que ces deux textes font surementpartis du lyrique, ceci est un indice. Puis, nous pouvons souligner

dissyllabe 2 syllabes monosyllabe 1 syllabe tétrasyllabe 4 syllabes trisyllabe 3 syllabes hexasyllabe 6 syllabes pentasyllabe 5 syllabes octosyllabe 8 syllabes heptasyllabe 7 syllabes décasyllabe 10 syllabes ennéasyllabe 9 syllabes alexandrin 12 syllabes hendécasyllabe 11 syllabes Les vers pairs sont les plus employés dans la poésie classique. Les plus courants sont l’octosyllabe, le décasyllabe et l’alexandrin, qui est le vers le plus long ; il tient son nom du titre d’une œuvre

opposition dans la versification : rimes féminine « angevine/fine » et masculine plus grandiose « palatin/latin ». Du Bellay a aussi donné un Humanisme et une grandeur romaine avec notamment au sonnet au rythme majestueux ( forme du sonnet ainsi que alexandrin ), il magnifie Rome, avec un hommage paradoxal sapé par l’impression que procure la grandeur, ainsi que Rome qui va avec les humaniste à travers Ulysse et Jason, des lieux romain et aux allusion caractéristique des humaniste qui connaissent très

Victor Hugo à pour thème principale la fuite du temps alors que le poème de Paul Verlaine se consente plus sur le coucher du soleil. Ensuite la disposition du poème est également différant le poème de Victor Hugo est composé de quatre quatrain en alexandrin, alors que celui de Paul Verlaine n’est composé que de une strophe de seize vers de cinq sil able. Victor Hugo fais tout une strophe sur lui, sur ces sentiment qui peuvent être universel alors que Paul Verlaine lui n’y mais que un ver « Mon cœur

voir même tragique. L'expression "reverrai-je" est répétée dans la strophe : lamento (chant de lamentation) + enjambement (continuité) = longue lamentation. Régularité dans le rythme du poème -> mélancolie -> tristesse rampante Le découpage des alexandrins est un peu brouillé, enjambement brouille le découpage = déstabilisation du personnage. Sonorités en [s] et [z] -> allitération "Hélas" "saison" "maison" -> souffrance [i] -> "petit" "village" "cheminée" -> tristesse [l] -> "village" "Hélas"

syllabes Heptasyllabe Octosyllabe Ennéasyllabe 2 syllabes dissyllabe 3 syllabes trissyllabe 4 syllabes quadrisyllabe 5 syllabes pentasyllabe 6 syllabes hexasyllabe (hexamètre) 10 syllabes Décasyllabe 11 syllabes Hendécasyllabe 12 syllabes ALEXANDRIN* Victor Hugo a écrit un poème dans lequel il s’amuse à faire alterner la longueur des vers à chaque strophe. Ce poème s’intitule « Les Djinns ». (Voir en annexe.) La césure et l’hémistiche La césure est une séparation marquée des syllabes du

Phèdre 1677 Jean Racine(1639-1699) GENRE : tragédie REGISTRE : tragique, lyrique, pathétique STRUCTURE : Pièce en 5 actes, dialogue en alexandrin PERSONNAGES (PRINCIPAUX EN ROUGE) : Phèdre : épouse déçue et trompée de Thésée, amoureuse d’Hippolyte, poursuivie par la haine ancestral de la déesse Vénus Thésée : roi de Trézène et d’Athènes, homme mûr, au passé galant et héroïque Hippolyte : fils de Thésée et d’Antiope, complexé par la gloire de son père et amoureux d’Aricie Oenone : nourrice

l’alexandrin doit être composé en 6/6 => on appelle césure l’accent qui sépare les deux hémistiches (=« moitiés ») de l’alexandrin. Cela crée un rythme binaire. Exemple : Un soir,/ t’en souvient-il ?// nous voguions en silence 2 Coupe 4 Césure 6 Cet alexandrin est découpé en deux hémistiches de 6 pieds par la césure. Le premier hémistiche se compose de deux groupes rythmiques de 2 et 4 pieds, le deuxième hémistiche se compose d’un groupe rythmique de 6 pieds. Il arrive que la phrase ne coïncide par