Canon antichar

de la prise de commandement de l’aspirant ( grade de sous-officier) Grange, pendant la « drôle de guerre », de la maison-forte (blockhaus) des Falizes située dans la forêt ardennaise, et finit le 13 mai 1940 après l’attaque allemande : un coup de canon a éventré le blockhaus, tué deux des hommes de sa garnison et blessé Grange, qui s’endort à la fin - peut-être pour ne plus se réveiller. L’aspect réaliste du récit semblait, pour une partie de la critique, laisser peu de place aux élans lyriques

composées chacune de deux régiments de chars de combat et d'un régiment d'infanterie et d'artillerie...la panzer division serait aussi aidée par des unités plus petites comme des groupes de reconnaissance, des sections de combat du génie, de défenses antichars et antiaériennes ainsi que par la transmission et l'intendance. Tous ces éléments devraient être transportés par camions ou par véhicules chenillés. Un corps blindé était composé au moins 2 panzers divisions et si possible, une division d'infanterie

qui lance la 1ère vraie offensive sur Stalingrad le 17 juillet 1942. Paulus dispose de 270 000 hommes, 3 000 canons, 500 chars et 1 200 avions. En face de lieu, Staline déploie 2 de ses meilleurs généraux, Andrei Ieremenko et Alexandr Vassilievski. Un commissaire politique leur est associé, un certain Nikita Khrouchtchev. Les soviétiques disposent de leur coté de 160 000 hommes, 2 200 canons, 400 chars et quelques 700 avions. Les 23 juillet, les troupes allemandes reçoivent l’ordre d’attaquer la

Composition Le 17e GA est composé d'une unité : la 1re batterie de soutien des tirs chargée du soutien des écoles à feu, de l'armement et de la mise en oeuvre de la STGS. Matériels Le régiment est doté de matériels sol-air : SATCP Mistral/SAMANTHA et canons de 20 mm. Le 28e groupe géographique (28e GG) d'Haguenau Le 28e  GG tient ses origines et sa tradition de l'ancien service géographique de l'armée (SGA) qui, avant 1940, avait la responsabilité entière de l'établissement des cartes. En juillet

et campagnes disparut. Le mois de Mars approchait, mois que l’opinion désignait comme terrible ou le dieu de la guerre devait se révéler dans toute sa brutalité. Partout ce dieu imposait sa présence: fils de fer et tranchées, fortins et fossés antichars traversaient nos campagnes, garnissaient la vallée. On rencontrait de nombreux travailleurs chargés de pelles et de pioches, on entendait par place le bruit monotone des bétonnières, on devinait ça et là le nouveau camouflage d’une tourelle blindée

qui ont été très difficiles en particulier pour la première. La première Guerre Mondiale a été une guerre de masse très violente. C’est une guerre industrielle avec des armes de plus en plus perfectionnées et destructrices, en particulier avec les canons à obus qui créent un environnement assourdissant. L’artillerie a la première place dans cette guerre et les armes de chimie tels que les gaz ne représentent qu’un 1% de la mortalité. Après 1917, des tanks font leur apparition. Il s’agit donc d’une

1943-juillet 1944) Les étapes du débarquement en Normandie Pour se protéger d'un éventuelle attaque Alliée, les allemands ont recouverts les plages du Cap Nord à Hendaye d'une ligne continue de blockaus munis de canons et de mitrailleuses, de pièges antichars et antipersonnel : c'est le « mur de l'Atlantique ». Au mois de juin 1944, jugeant toutes les attaques impossibles depuis l'échec de la tentative Britannique de débarquer ses troupes à St-Nazaire, les responsables de la défense

obstacle gap courbe de niveau contour line déception deception dégager, éliminer, neutraliser des obstacles to clear obstacles démolition demolition dissimulation concealment engin explosif improvisé Improvised Explosive Device (IED) fossé antichar antitank ditch gué ford leurre dummy / decoy ligne de crête crest-line / ridge ligne de mines mine row Mémento d’anglais à l’usage des stagiaires de l’école d’état-major Page 20 sur 118 lisière outskirts / edge maintien en état d’un itinéraire

Américains accordent une grande importance à la recherche et à ses applications militaires : apparaissent ainsi de nouveaux moyens de détection, comme le radar ; les Américains inventent de nouvelles armes, comme le bazooka, qui tire des roquettes antichars, et ils mettent au point en 1944 le premier calculateur automatique, ancêtre des ordinateurs. Surtout, ils sont les premiers à faire exploser la bombe ato- mique en 1945, grâce au travail de chercheurs européens ayant fui le fascisme ou le nazisme

La Marraine de Guerre De Catherine CUENCA Chapitre I Verdun, novembre 1916. Étienne et Gaspard montent une garde de nuit dans une tranchée. Les lignes allemandes sont à 200 mètres. Il y a des fils barbelés, des sacs de sable, des piquets antichars et une mitrailleuse. Étienne à 22 ans. Il est Auvergnat. Gaspard en a 35. Il est le plus vieux soldat du bataillon et se permet d'appeler ses camarades « petit ». Étienne s'interroge sur le sens de cette guerre. Il devra abattre des hommes innocents