Cap-Haïtien

Collectivités Territoriales. Mais pour garantir la réussite de cette décentralisation, il y a lieu de doter les collectivités de ressources permettant une gestion adéquate, efficace et efficiente de l’administration locale. C’est pourquoi l’Etat haïtien a, au cours des gouvernements précédents, consentis des efforts substantiels afin que l’administration territoriale et en particulier, les conseils d’administration municipale et d’administration de section communale (Mairies, Casecs) soient pourvus

Haïti : respecter les normes parasismiques et paracycloniques Écrit par CJD/HPN Mardi, 31 Août 2010 19:19 La cérémonie officielle de lancement du programme de formation des professionnels haïtiens en construction selon les normes parasismiques et paracycloniques s’est déroulée ce mardi 31 août au Karibe Convention Center. Selon le ministre de l’Éducation nationale, Joël Desrosiers Jean Pierre, ce programme veut promouvoir une nouvelle culture de la prévention des risques et des désastres par

« petit nègre de la fossette »2. Firmin : une vie d’homme d’état Fils d’un père tailleur, Pierre Montrevil Firmin, et d’une mère couturière, Anaïse,  Joseph Auguste Anténor Firmin a vu le jour au Cap-Haitien le 18 octobre 1850. Après ses études classiques au Lycée Philippe Guerrier, il a fait le droit au Cap et y a exercé la profession  d’avocat. Il a été également professeur et inspecteur d’école, journaliste (fondateur du journal « le messager du Nord »), co-auteur de la Constitution de 1889. En termes

Présentation de l’évènement  1.1 Cadre spatio-temporel: La révolution haïtienne Période historique : Époque contemporaine Année initiale : 1791 Épisode initial : Cérémonie des bois caïman Année finale : 1804 Épisode final : indépendance d’Haïti et l’abolition de l’esclavage en Haïti. Pays : Saint-Domingue (Antilles françaises) maintenant connue sous Haïti Continent : Amérique Régions : Cap-Français (Cap Haïtien), Saint Marc, les cayes, Jérémie, Port-au-Prince

liberté retentit partout à travers les plantations de Saint-Domingue. À l’issue d’une cérémonie secrète qui se tient dans la nuit du 14 au 15 août 1791, au lieu-dit Bois-Caïman, non loin du Cap-Français, des chefs esclaves rebelles déclenchent la semaine suivante un soulèvement général. La plaine sucrière du Cap est mise à sac, les plantations incendiées, les habitations détruites et des centaines de planteurs tués. L’insurrection se généralise. L’histoire de Saint-Domingue prend un cours nouveau,

Saint-Domingue, appuyés de quatre mille volontaires de la garde nationale. Après l'arrivée de la nouvelle du 10 août 1792, Biassou se nomma « vice-roi » en attendant la libération du roi de France[1]. Les nouveaux commissaires civils débarquèrent au Cap le 18 septembre 1792, à la veille de la proclamation de la République française. Sonthonax annonça à son arrivée qu’il entendait préserver l’esclavage. Mais c'est lui qui avait écrit un an plus tôt : « Les terres de Saint-Domingue doivent appartenir

deuxième ville du pays qui représente une source en terme de richesse historique qui constitue ce patrimoine. Le département du Nord a pour chef lieu le Cap est riche en monument historique archéologique. La ville du Cap fut fondée en 1670 par Bertrand d’Orgeron. Devenu la capitale économique de la colonie elle a été surnommée le paris de St Domingue. Le Cap garde encore aujourd’hui son tracé colonial et c’est une ville portuaire pleine de vie et de charme. En dépit du tableau sombre de l’environnement

désoccupation américaine fera place nette à un nombre imposant d'initiatives et de regroupements de tous genres où, dans l'euphorie des lendemains qui chantent, assidûment vont s'acharner hommes et femmes, à creuser des sillons nouveaux au quotidien haïtien. D'un apport appréciable se feront les femmes à des moments forts de la longue lutte en faveur de cette désoccupation. Dès la création de l'Union patriotique (juillet 1915) et au fil de l'implantation de ses 41 filiales de province, en effet, nombreuses

Toussaint Louverture Toussaint Louverture, à l'origine Toussaint Breda, né vers 1743 près du Cap-Français (Haïti), mort en captivité le 7 avril 1803à La Cluse-et-Mijoux (Doubs), est un homme politique français1 des Antilles qui a joué un rôle historique de premier plan, en tant que chef de la Révolution haïtienne (1791-1802) : c'est une des grandes figures des mouvements anticolonialiste,abolitionniste et d'émancipation des Noirs. « En me renversant, on n'a abattu à Saint-Domingue que le tronc

(1) RELATION ENFANT/ADULTE: Dans la culture haïtienne, les enfants doivent montrer un important respect à leurs parents ainsi qu’à tout adulte, en fait. En ce sens, ceux-ci font preuve d’une obéissance à leur égard et n’ont pas nécessairement la même liberté de parole que les enfants québécois. De fait, il n’est pas habituel pour un enfant haïtien d’argumenter et de répondre à un parent parce que s’il en va de la sorte, il peut être perçu comme quelqu’un de mal élevé. Dans cette communauté, les