Capacité Linéaire

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Optimisation et LMI 2.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . 2.2 Minimisation sans contraintes . . . 2.3 Minimisation avec contraintes . . . 2.4 Optimisation convexe . . . . . . . . 2.5 Programmation linéaire . . . . . . 2.6 Programmation semi-définie - LMI 2.7 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1 2 7 13 23 28 28

1.1.1- Taux moyen de rentabilité (ou taux de rendement moyen) 1.2.1- La valeur actuelle nette 1.2.3- Le taux interne de rentabilité (TIR) III. Le budget des dépenses d’investissement a. La capacité d’autofinancement b. Les fonds propres c. Taux d’intérêt IV. Application Conclusion http://www.ineps-mlz.be/files/Chapitre-5-strategie-financiere.pdf Introduction L’importance de l’investissement peut être ressentie aussi bien au

d’équilibre T3. 2. 2. Méthode de calcul : Pour calculer la constante d’étalonnage du calorimètre on utilise les formules suivantes : Q1 = m ceau T1 avec :  T1 =T3 – T2 (1) Où : Q1 est la chaleur cédée par l’eau chaude. ceau est la capacité thermique massique de l’eau et égale à 1 cal. g-1. K-1. m est la masse d’eau versée. La constante d’étalonnage C du calorimètre s’exprime par : C = - Q1 / T2 avec : T2 = T3 – T1 2 (2) 3. Détermination de la chaleur de dissolution

produits de parfumerie. DOCUMENT N° 1 : AMORTISSEMENTS Informations relatives à certaines immobilisations amortissables Immobilisation Frais de constitution M1 Matériel de M2 transport M3 Valeur d’entrée Date d’entrée Mode d’amortisse ment Linéaire Linéaire Linéaire Dégressif Durée de vie 5 ans 5 ans Cumul d’amortissements Observation avant inventaire au 31/12/2009 150 000 Cédé le 22/06/2009 255 000 105 000 Coefficient 2 ? 250 000 12/03/2006 450 000 ? ? 27/07/2007 200 000 16/04/2008 DOCUMENT N°

elle pour financer pour financer son développement futur ». Pour certains auteurs il s’agit d’un processus d’épargne réalisé au niveau de la société. D’après le PCG (plan comptable générale) sa définition est la suivante : Autofinancement = Capacité d’autofinancement - Dividendes distribuées au cours de l’exercice. L’autofinancement comme toute source de financement suit un cycle de formation dont les éléments constitutifs seront détaillés ci-après. I. Les déterminants de l’autofinancement

Catégories d'investissements. Selon leur impact dans la stratégie d’une entreprise, il est possible de distinguer plusieurs catégories d’investissements : - de remplacement, de renouvellement, de maintien du niveau d’équipement ou d’infrastructure, - de capacité (augmenter la production), de modernisation, de productivité (réduire les coûts), - de croissance interne (acquisitions d’immobilisations) ou externe (prises de participation), - d’expansion (nouveaux marchés), de développement, de diversification

prédilection pour l'écionométrie (enquêtes de satisfaction, etc.). Prenons pour exemple la fonction de consommation : Considérons par exemple la fonction de consommation des ménages liant le revenu et la consommation, sous l'hypothèse d'une liaison linéaire entre la consommation C et le revenu R, on peut écrire : C = aR + b: La consommation C, est dite variable endogène (ou dépendante, ou à expliquer), en ce sens qu'elle est "interne " au modèle. Le revenu R est dit variable exogène (ou indépendante

Actufinance.fr Définition de Billet de trésorerie (BT) Billet de trésorerie (BT) Le billet de trésorerie est un titre de créance émis par une entreprise. Source : Actufinance.fr Définition de Capacité d'AutoFinancement (CAF) Capacité d'AutoFinancement (CAF) Capacité de l'entreprise à dégager des liquidités pour financer l'exploitation et le développement. Elle est égale au résultat avant prise en compte des éléments non monétaires (dotations aux amortissements et provisions)

susceptibles d’être traités à l’aide du même modèle, le modèle de transport, qui constitue une catégorie particulière de Programmeslinéaires. Il serait, bien entendu, possible de résoudre ces problèmes à l’aide des techniques de la programmation linéaire (Méthode de Simplexe), mais la structure très spécifiques des problèmes de transport permet de recourir à des techniques particulières beaucoup plus légères. C’est ainsi que le problème de transport a donc pris une place de plus en plus importante

finale. 4) Remarques sur la solution. IV) Conclusion I Introduction Considérons une barre de longueur illimitée, dans laquelle le chaleur est susceptible de se transmettre seulement par conduction.  La chaleur spécifique linéaire est c (capacité calorifique par unité de longueur) ;  la conductibilité calorifique est , ce qui signifie que si, en un point d’abscisse x, le gradient de température est , la quantité de chaleur qui franchit le point x, de gauche à droite par unité