Capitaines Des Sables Jorge Amado

• L'auteur Jorge Amado est né en 1912 à Ferradas, dans une plantation de cacao du sud de l'État de Bahia. Toute son enfance est marquée par la rudesse de cette « terre violente » que les planteurs se disputent arme au poing. C'est à Bahia qu'il commence ses études. Il s'enfuit à treize ans d'une école religieuse, pour courir la campagne. À quinze ans, il travaille dans un journal. Puis il part pour Rio de Janeiro où il publie, en 1931, alors qu'il n'a que dix-neuf ans, son premier roman Le Pays

enfuis), ou peut-être dans les chevaux de bois. Entre eux, il y a un canard où peuvent s asseoir les plus petits. Oui, il a sa beauté, parce que l opinion unanime des Capitaines des Sables c est qu il est merveilleux. Qu importe qu il soit vieux, brisé et de couleurs effacées, s il plaît aux enfants. Jorge Amado, Capitaines des Sables, Gallimard, 1986. p. 60. 2009 . 11 Questions 1- Quel est le thème de cette description ? 2- Relève dans le texte un adjectif qualificatif, une proposition

cheval. A partir de ce moment, les Indigènes et le cheval ne feront plus qu’un. Garay fonde donc pour la deuxième fois Buenos Aires le 11 juin 1580, sous le nom de Santísima Trinidad qui perdurera officiellement jusqu’à l’Indépendance de 1810. Jorge Lanata relève ironiquement -et aussi anachroniquement- que cette fondation, organisée depuis Asunción,96 était très majoritairement composée de Guaranis, faisant ainsi de Buenos Aires une ville paraguayenne : en effet, des soixante-cinq colons,

du cheval. A partir de ce moment, les Indigènes et le cheval ne feront plus qu’un. Garay fonde donc pour la deuxième fois Buenos Aires le 11 juin 1580, sous le nom de Santísima Trinidad qui perdurera officiellement jusqu’à l’Indépendance de 1810. Jorge Lanata relève ironiquement -et aussi anachroniquement- que cette fondation, organisée depuis Asunción,96 était très majoritairement composée de Guaranis, faisant ainsi de Buenos Aires une ville paraguayenne : en effet, des soixante-cinq colons, seuls

victimes de contraintes extérieures les empêchant de parler. ” Tout n’est pas noir ou blanc. Jorge Miranda se montre optimiste dans sa lecture de la réalité du pays : “Les libertés constitutionnelles sont garanties. La liberté d’expression et de réunion, la liberté politique et syndicale existent. Il y a aujourd’hui une conscience civique qui n’existait pas à d’autres époques. Pour Vasco ” Lourenço, un des capitaines de la “révolution des œillets” [qui mit fin à la dictature en avril 1974], “la plupart

encore des souvenirs de bonheur 18. Ce fut, une fois encore, l’En-ville qui le cueillit. Cette fois, je sus laquelle puisque j’allais y naître. Alors je lui disais : Tu as pris ce vapeur qui chaque jour du Bondieu quittait l’En-ville perdu. Le capitaine te connaissant, n’a pas voulu d’argent. Je te vois assis sur un bordage du pont, parmi les marchandises, faisant comme ceux qui répudièrent Saint-Pierre fascinée par sa mort. Avec toi, ceux-là suscitèrent l’élan d’un saut sur Fort-de-France.