Capital naturel

fin du pétrole (Le Pic de Hubbert, risques de chaos mondial, conférence d'Yves Cochet : http://www.dailymotion.com/Immodere et son interview sur A2 : http://www.dailymotion.com/) 2050 : fin du lithium 2064 : fin du platine 2072 : fin du gaz naturel 2087 : fin du fer 2120 : fin du cobalt 2139 : fin de l'aluminium 2158 : fin du charbon Ces dates sont bien sûr données à titre indicatif. Elles peuvent en effet varier selon les sources et l'évolution de notre civilisation. Les

chacun de ces cas, on est capable de mesurer leurs dégâts, mais il nous faut une mesure globale qui permette d’avoir une idée concrète : L’empreinte écologique . « L’empreinte écologique est la mesure qui converti la consommation de ressources naturelles les plus diverses, telles que les énergies fossiles, le bois ou les champs cultivés, en unité de surface (hectares globaux). » Pour savoir si l’empreinte écologique dépasse les possibilités de la terre, il faut la comparer à la biocapacité

(Présentation générale du cours) Adel BEN YOUSSEF EDHEC Business School Research Fellow ADIS et Faculté Jean Monnet Université de Paris-Sud CANEGE et ELENE LES PRINCIPAUX PROBLEMES ENVIRONNEMENTAUX (RAPPELS) 1. La Gestion des Ressources Naturelles (Renouvelables + non renouvelables) Exemples : Forêts, Ressources halieutiques, Zinc, Pétrole… 2. La préservation de la biodiversité (Stock génétique, nombre d’espèces, écosystème) Préservation des forêts tropicales humides, préservation des big

L’historique du concept Les trois pilliers du développement durable Le pillier économique: développement économique Le pillier environnemental: Respect de la biodiversité et des écosystèmes, réduction des émissions polluantes, non-destruction du capital naturel Le pillier social: conséquences sociales de l’activité économique, problème des inégalités, conditions de travail et de vie Rémi Bazillier Chapitre 1: Introduction Qu’est-ce que le développement durable? L’historique du concept Les

l'opposition entre durabilité forte ou faible. Selon la conception de la durabilité faible, on n'accorde aux biens naturels que la valeur des services qu'ils rendent, et non une valeur d'existence. Il conviendrait donc seulement de remplacer le capital naturel consommé par des éléments "fabriqués". La question est de savoir jusqu'à quel point on peut substituer des patrimoines naturels par des patrimoines économiques, financiers, technologiques ou de capacité. Ce débat partage les partisans des deux

l'opposition entre durabilité forte ou faible. Selon la conception de la durabilité faible, on n'accorde aux biens naturels que la valeur des services qu'ils rendent, et non une valeur d'existence. Il conviendrait donc seulement de remplacer le capital naturel consommé par des éléments "fabriqués". La question est de savoir jusqu'à quel point on peut substituer des patrimoines naturels par des patrimoines économiques, financiers, technologiques ou de capacité. Ce débat partage les partisans des deux

La soutenabilité forte considère que les capitaux ne sont pas substituables mais complémentaires c-a-d que l'utilisation d'un type de capital implique nécessairement celles des autres types de capitaux. Un stock de capital physique important ne peut pas compenser un environnement devenu invivable. Ainsi, Les phénomènes de natures physique et biologique sont très éloigné de la logique productiviste Comme les Logique physique et biologique sont à l'encontre de la logique monétaire on ne peut pas

Le Capital Naturel et la Demande Sociale pour les biens et les services environnementaux Article à la suite de l’intervention préparée pour les Journées du Programme Environnement Vie et Sociétés du CNRS Lille, 12–14 novembre 2001, sur la thématique « Quelles natures voulons-nous ? » PAR Sylvie Faucheux et Martin O’Connor Professeurs en sciences économiques, C3ED/EGER (UMR No.63, IRD/UVSQ) Centre d’Economie et d’Ethique pour l’Environnement et le Développement Adresse: C3ED

Intro : C’est à partir des années 60 que les États commencent à se préoccuper de l’environnement. En effet, de plus en plus de catastrophe naturelle voient le jour comme par exemple un séisme de magnitude 9,5 sur l’échelle de Richter en mai 1960 au Chili, créant la mort de 2000 personnes. De nombreux mouvements écologiques vont donc être crées. En 1972, le rapport Meadows remet en cause les vertus de la croissance et souligne les dangers écologiques et démographiques de cette dernière. De plus

synthetique qui mesure le niveau de développement de la pop d’un pays. Q 2 Le capital naturel qui est l’esemble naturel utilise dans le cadre du processus de production (ex ; eau ou la terre . Ce sont des ressources ou bien renouvableou non rebouvable . la La croissance se définit comme étant l'augmentation des richesses produites d'un pays pendant au moins un trimestre.En effet il a une relation entre capital et croissance economique La croissance économique va avoir des effets sur la nature