Capitalisme Inégalités

I. Si la contribution de l’école à la réduction des inégalités sociales est toujours effective A. Une dynamique favorable … 1. Une démocratisation en marche depuis le 19ème siècle, socialisation des classes populaires (doc. 2). Entrée des filles à l’école, collège unique… 2. Un constat toujours actuel : l’école réduit les inégalités sociales en s’ouvrant au plus grand nombre (thème de la démocratisation) : quelles soient les CSP, de plus en plus d’élèves entrés en classe de sixième obtiennent

caractéristiques.. Au contraire une inégalité est le caractère de ce qui n'est pas égal. Par exemples, les inégalités sociales désignent les traitements différents qui peuvent avantager une classe sociale, un groupe ou un individu par rapport à d'autres et qui établissent des hiérarchies sociales. Afin d’expliquer au mieux se terme nous allons comparer les inégalités sociales avec la discrimination en se posant comme question : Quelle est la différence entre inégalité sociale et discrimination 

marquées par la domination et ces groupes sont également structurés par des inégalités. Dans les sociétés modernes (cf. cours d’éco), ces groupes ne sont pas étanches (fermes). En effet, on a ce que l’on appelle une « mobilité sociale » Ce qui veut dire que des individus peuvent passer d’un groupe à un autre et les groupes eux-mêmes comme leur système de hiérarchie est très évolutif. Pb: la persistance des inégalités comme la difficulté de la mobilité sociale posent une question fondamentale

institutions : l’école de tous les français, gratuite, laïque et obligatoire, garante des valeurs universelles et humaniste dont l'État républicain se réclame. L’un de ces principes est l’égal accès de tous à l’éducation et à l’instruction par delà les inégalités sociales et les convictions particulière des uns et des autres. L’école est un lieu apportant stabilité et équilibre à l’intérieur duquel les enfants vont pouvoir appréhender et expérimenter les nombreuses transformations physiques, intellectuelles

Dans les années 1960, l'école apparaît aux sociologues comme un observatoire important contenu de l'augmentation du niveau de vie de la population. L'idée est qu'il faudrait se servir de l'augmentation de la croissance pour réduire les inégalités sociales. Avant cette décennie, on appliquait à l'école le principe de l'idéal méritocratie, idéal selon lequel la réussite scolaire résultait uniquement du travail scolaire fourni par l'individu. On excluait donc son origine sociale comme étant un facteur

impression d’échec voire d’impasse, une véritable et profonde désillusion. Pour bien mesurer l’acuité de cette amère désillusion, il faut souligner en effet l’écart entre les faits – marqués par la persistance et surtout la reproduction de fortes inégalités sociales – et l’idéal d’égalité porté par les sociétés démocratiques depuis l’époque des Lumières et l’âge industriel. Ainsi que Tocqueville en particulier l’a soutenu dans son ouvrage sur la démocratie américaine, on peut penser que le projet démocratique

divine. Les contraintes de la biologie furent ainsi invoquées comme garantie scientifique imposant des limites au comportement humain. Car si les performances d’un individu ne font que refléter ses potentialités génétiques, les inégalités sociales découlent directement des inégalités biologiques. Il est alors inutile de songer même à changer la hiérarchie sociale."

sens que donnent les individus à leurs actions) ou de Durkheim (vision holiste de la société). -Dès 1964, avec Passeron, il montrait dans « Les héritiers », les inégalités des chance d'accéder à l'enseignement supérieur pour les fils de cadre et les fils d'ouvrier. En 1970, dans « La reproduction » , il insiste à nouveau sur les inégalités de chance, de réussite sociale, et dénonce même une tendance à la « reproduction » des catégories sociales. Cette tendance à la reproduction s'explique par la

"Les ZEP sont-elles légitimes et efficaces par rapport au principe d'égalité des chances?" introduction: La politique des zones d'éducation prioritaires a été lancée en 1981 afin de lutter contre l'échec scolaire et les inégalités sociales devant l'école. Elle a été définie à partir d'une idée simple: «donner plus à ceux qui ont moins». L'objectif premier est clair: il s'agit d'orienter les élèves pour qu'ils puissent adhérer à une meilleure insertion sociale et professionnelle. On se demande

STRATIFICATION SOC ET INEGALITE Les soc démo déclarent officiellement l'égalité en droits de tous les citoyens.Pourtant, au sein de ces mm soc, les i éco + soc persistent.Est-ce contradictoire ? I)Idéal démocratique et inégalités A)Qu'est-ce que l'égalité ? =principe gé selon lequel les ind au sein d'1 soc doivent ê traité de la m façon.au <3 dep longtemps au centre de vie politique + soc.plusieurs façon de concevoir l'égalité (qui ne st pas tt compatibles) -égalité de droit : au-delà