Capitation

Maison du roi et à la Marine. Il cherche à maîtriser les finances mais ne parvient pas à limiter les dépenses engendrées par la cour et les guerres, qui sont alimentées par un alourdissement continu de la fiscalité royale (impôts royaux : la taille, la capitation et le vingtième sont les impôts directs ; les aides, la gabelle et les traites sont les impôts indirects). Mais ces impôts ne suffisent pas et le roi a souvent recours à des ventes d’offices, d’anoblissement et surtout à des emprunts qui endettent

militaire, celui des janissaires (mot dérivé du turc yeniçeri « nouveau soldat »), institué au xive siècle par le sultan Orhan. De nombreux chrétiens pauvres (Slaves, Grecs, Arméniens, etc.) se convertissent à l'islam pour ne plus payer le haraç, la capitation dont les non-musulmans doivent s'acquitter. Ils deviennent Ottomans mais revendiquent une ascendance différente. L'âge d'or L'éducation, les techniques et les universités ottomanes étaient admirées à la fin du Moyen Âge. Ces universités se tenaient

Médecine libérale (de ville) : payée à l'acte. Si le praticien est conventionné acte pris en charge par organismes sociaux et complémentaire santé.  Rémunération fixe : praticiens d'hôpitaux, salariés : limite l'incitation pécuniaire Rémunération par capitation : forfait versé au médecin référent d'un malade grave, il s'engage à suivre le protocole de soin préétablie pour cette maladie (donc éviter la surconsommation).

nécessaire au plan strictement matériel. Il doit s’opposer à toute initiation, augmentation de salaire, affiliation, démission, élection ainsi qu’à la délivrance de titres et diplôme tant que les intéressés n’ont pas acquitté complètement leur capitation. Bijoux : paire de clés croisées (il détient les clés du coffre). L’Hospitalier Veille à la santé humaine des FF.’. de la Loge, s’occupe des FF.’. en difficultés (santé). Responsable du tronc de la veuve (oboles) et du sac aux propositions

l’archevêché, visite pastorale par l'évêque ou son assistant dans les paroisses de son diocèse une fois par an, pèlerinage des paysans dans des cathédrales en ville, procession ou fêtes, …) relations financières (impôts directs qui est la taille puis la capitation et ensuite le dixième, paiement de l'impôt par le tiers état et surtout les campagnes → privilèges de la noblesse, du clergé des officiers, des « bonnes » villes. Redistribution de ces impôts au bénéfice des villes) relations politiques et institutionnelles

Cologne) regroupent l’administration romaine. A l’intérieur des provinces, les villes sont les chefs lieux des « cités ». Elles sont regroupées en trois groupes selon leurs statuts juridiques. Les habitants des cités pérégrines paient l’impôt et la capitation mais un homme libre ne peut pas faire du commerce, plaider en justice ou épouser une femme de droit supérieur au sien. Les habitants des cités de droit latin ont les mêmes droits que les citoyens romains : ils ont le droit d’aller en justice, de

fonda le trésor de l’épargne. -à l’époque contemporaine : Le développement de l’impôt sur le revenu entraine un renforcement des contributions directes. Pendant la période coloniale Ivoirienne, les colons français faisaient payer l’impôt de capitation, c’était un impôt qui était obligatoire. Cet impôt était fixé par rapport aux nombres de têtes humaines par famille et il était payé par le chef de famille. Celui qui refusait de payer cet impôt était conduit chez le commandant de cercle qui lui

fonde sur la solidarité national et qui vas proteger les individus , qui sont exposés a certains risques : maladie , chomage . Mais aussi grace a la redistribution et justice la justice sociale qui reprensente quatre modalités de prelevement : la capitation qui est un impot , l’idée est de prendre la meme somme a tous le monde , l’impot proportionel : il consiste a prendre la meme part de revenu a chacun , ta tipp tax produit petrolier et l’impot progressif : sur le revenu des personnes physiques

brutales des hordes des steppes, d'islam et de byzantinisme. La politique turque consiste, dans un premier temps, à manier la carotte et le bâton dans les territoires conquis. Les chrétiens sont opprimés (statut de dhimmi), soumis à de lourds impôts (capitation ou djizya…) et au prélèvement des Janissaires, tandis que ceux qui se convertissent bénéficient de privilèges ou d'avantages de type féodal (timar ou ziyamet). Certains peuples se convertissent à l'initiative de leurs princes (notamment les Albanais

de la nouvelle administration ont droit à un traitement régulier ('ata), financé par des impôts payés par les populations locales. Les principales taxes consistent en un impôt sur le sol (kharadj), à taux fixe, payé en nature ou en argent, et une capitation (djizya) payée par chaque non-musulman adulte selon ses moyens – les prêtres, les moines et les handicapés en étant exemptés. 2-LA MONNAIE sous le califat d'Abd al-Malik bin Marwan (r. 65-86/685-705) les pièces omeyyades sont du même poids et