Caractérologie

thérapie brêve sur l'hypothèse d'un inconscient familial. Stephen Gilligan qui développa la « créativité générative », proche des techniques de l'hypnose ericksonienne, et qui reprend l'idée d'un inconscient créateur dont l'expression est le Soi. La caractérologie et la typologie Psychologie analytique Très tôt la psychologie jungienne a intéressé la psychologie expérimentale et la psychométrie, notamment en Amérique. Ainsi, C. A. Neymlann et K. D. Kohlstedt, dans Diagnostic test for introversion-extraversion

Michel. Mais un caractère n’est pas inné dans son ensemble, il se forge au fil des ans. Le comportement de Michel aujourd’hui serait donc ‘’normal’’ compte tenu de son type de caractère. J’ai recoupé l’ennéagramme avec la lecture du traité de caractérologie de R. Le Senne70 ce qui m’a donné des points (vus dans le diagnostic) de concordance tels que l’indépendance, le don d’observation, l’indifférence aux arts, de la compassion et de la serviabilité envers les personnes en demande, la ponctualité

aspects du caractère, de l'inconscient et de la vie dont nous allons voir les traits principaux. 121 Le caractère L'aspect du caractère, mis en avant par Paul Ricoeur, provient, il le reconnaîtra plus tard, de la domination des travaux de caractérologie de son époque. On peut noter le traité d'Emmanuel Mounier , celui de René Le Senne ou les écrits de Gaston Berger. Dans Soi-même comme un autre, Paul Ricoeur, tout en restant fidèle à cet aspect de l'involontaire absolu, lui apporte des nuances

le droit ignore ainsi la règle de droit entretient des rapports plus ou moins étroit avec : La biologie (science de la vie) La médecine (pose questions de responsabilité) La chimie (les brevets) La psychologie (la caractérologie) La géographie La linguistique L’économie politique La démographie Les disciplines traditionnelles : L’histoire : *L’anthropologie et l’ethnologie* juridique : *L’ethnologie est

Le cerveau ou l’hypophyse pour le phlegme ▪ La rate pour la Mélancholia Traits de caractère Très rapidement les proches d’Hippocrate ont pensés que dès qu’il y avait prédominance d’une humeur, il y avait influence sur le caractère. La caractérologie des humeurs, découle en particulier de Galien. Galien a distingué quatre caractères purs déterminés par une des qualités premières soit le chaud, froid, humide et sec. Il y a quatre tempéraments ou caractères composés dans lesquels prédomine

essentialistes plus ou moins fantasmées de Gobineau, de Keyserling ou même, pour l’esthétique, d’Élie Faure, elles se prêtent en e�et à la critique : par leur tendance à idéaliser voire à mythi�er le passé précolonial africain ; par le recours à une caractérologie qui justi�e une stéréotypie raciale contestable sinon dangereuse (« l’ethnotype des Introvertis » porterait par exemple la marque de la « Germanité », celui des « Fluctuants », celle de la négritude) ; par l’usage de formules génératrices de malentendus

tout au long de notre vie, et/ou selon nos environnements ? | Liberté | | Stabilité | | Approche structurale (Foucault, Levi-Strauss) :très connus pendant les 70’sCe courant s’est parfois orienté vers le déterminisme | Changement | | Caractérologie / Dimensions : Décrire les gens en fonction de dimensions de la personnalité.Elle a un intérêt descriptifElle s’oriente vers le changement | | | | Déterminisme | | 1) Une approche dynamique de la personnalité : la conception

humaine. La connaissance des tempéraments remonte à l'Antiquité, elle fut d'abord définie par Hippocrate. Elle a été reprise par Kant puis Wihelm Wundt. Ces dernières années il y a eu des études approfondies telle celle de Verdier dans la caractérologie dans l'enseignement secondaire. Cette connaissance des tempéraments démontre qu'il existe des rapports entre les différents tempéraments, et que l'interaction entre certains constitue une composante fondamentale de la vie psychologique.

mise en rapport avec celle de caractère. Ce dernier désigne habituellement les façons d'agir et les attitudes qui sont propres à un individu et qui permettent de le distinguer des autres. Cette distinction est particulièrement utilisée par la caractérologie. Longtemps synonyme de personnalité, le terme de caractère n'est plus guère utilisé en psychologie et par les auteurs car il est associé à des connotations morales, et fait référence à un jugement de valeur souvent négatif : « mauvais caractère »

relations des sensitifs. Il l'appuie sur une conception dynamique avec une notion de conflits internes. Ce délire touche pour lui surtout des femmes ; c'est parfois difficile de la distinguer de ce qui été appelé avant la folie hystérique. Il y a une caractérologie particulière selon lui : le caractère sensitif (forme de vulnérabilité qui contraste avec un certain degré d'ambition et de ténacité de confiance de soi fière et susceptible). Il conçoit le déclenchement de la psychose à partir d'une expérience