Cardin Le Bret Traite De La Souverainete

parlementaires défendant leurs privilèges. Il y eut de nombreuses discussions à ce sujet, surtout sous Jacques Premier Stuart, qui prétendait imposer l'absolutisme. Cependant, on ne voit pas apparaître pour autant une doctrine cohérente de la souveraineté populaire. En quelque sorte, la doctrine suivra la révolution. Il y a pas mal de théoriciens qui sont dans cette ligne, tels que Francis Bacon. Francis Bacon Partisan de la prérogative royale, mais pas de l'absolutisme, il a des idées de patriote

- Pizarro au Pérou (1531-1533) - Almagro au Chili - De sôtô dans le bassin du Mississippi - Coronado en Californie C’est hommes sont vu par leur peuple comme courageux, inconscient, et chanceux. Portugal Depuis 1494 un traité de Tordesillas permet au Portugais d’aller an Amérique. Le portugais Cabale explore la cote brésilienne à partir de 1500, mais il existe une forte concurrence de la part des Hollandais dans la première moitié du XVIIème siècle. Jacques Cartier explore

pour arriver au Traité de Verdun de 843 – il ne reste que trois fils de Louis le Pieu. Le traité sépare en trois le royaume de Charlemagne : francia media, francie occidentalis, francia orientalis. Traité source principale des différentes guerres. Cette volonté de reconstituer l’empire carolingien dans une entité politique homogène. C’est NB qui lorsqu’il défait les troupes à Austerlitz va faire disparaitre le Saint Empire Romain Germanique pour créer l’Empire français. Avec le traité, il n’y a plus

ne peut être fractionné. Le roi peut certes déléguer ses fonctions mais seulement partiellement et à titre temporaire. Coquille : « le roi n’a point de compagnon en sa majesté royale » Loyseau : « La souveraineté n’est point si quelque chose y fait défaut » Cardin le Bret : « La souveraineté est par nature non plus divisible que le point en géométrie » B. Le droit divin Licence Droit, S1-NZ Histoire du droit et des Institutions depuis 1789 -2014- L. 1/ S. 1 - 4 = Justification religieuse

un traité des seignories et tratés des orders et simple dignité Loyseau fait une coparaison de la souveraineté et de la couronne au sens physique de meme quil nest plus possible de parler de couronne. La souveraineté nexiste plus il lui mank un de ces attribu……”la couronne ne peut etre si son cercle est entiere aussi al souveraineté nest point si qqc y fait defaut” * cardin le Bret, magistrate, conseiller de Richelieu……”le roi est seul souevrain dans son royaume et la souveraineté nest

28/09/12 Leçon 2 : La souveraineté La notion de souveraineté apparait avant celle de l’Etat qui apparaît au 16ème siècle. L’Etat est l'institutionnalisation de la souveraineté, ce qui signifie que cette souveraineté est donc antérieure à l’Etat. Cornu nous dit que la souveraineté est le «Caractère suprême d’une puissance qui n’est soumise à aucune autre.» Burdeau : «Puissance, c’est le pouvoir de commander de telle sorte que l’on soit obéi.» On trouve la notion de souveraineté dés l’antiquité.

politique du moment. Il publie « Le discours de l’histoire universelle ». L’absolutisme peut être également politique on peut le trouver sous la plume d’un juriste comme Cardin LE BRET qui publie en 1632 un ouvrage, un traité intitulé « De la souveraineté du roi », il est conseiller d’Etat et avocat et il a dit « la souveraineté n’est pas plus divisible que le point en géométrie »  Cette absolutisme politique est évidement lié à ce que l’on nommera plus tard de manière systématique la raison d’Etat

législatif A la fin du XVI, le pouvoir de créer la loi est reconnu unanimement comme la marque, l'attribut essentiel de la souveraineté (souverain législateur). Cette valorisation du pouvoir législatif mérite d'être soulignée car au Moyen Age c’était différent: le roi était le souverain justicier. Pour Jean BODIN, auteur d'un traité de science politique (1576), le critère de la souveraineté est « la puissance de donner et de casser la loi ». En pleine crise d'autorité monarchique, JB souhaite, voir s'établir

l’origine est désigné par ses guerriers. Avec la conquête des gaules ont va passer progressivement à une hérédité de la place royale. L’église encourage cette pratique pour assurer la stabilité du royaume. Cette conception patrimoniale du pouvoir a été le trait marquant de la royauté mérovingienne ce qui explique la grande fragilité de cette royauté et la grande faiblesse de ces derniers rois mérovingiens (les rois fainéants). B. La royauté carolingienne. Au VIIIe siècle, le pouvoir va

se retrouvent donc vider et se dispersent, jusqu'à que la plupart rejoignent Henri IV. Cependant ces idées monarchomaques vont connaître une continuité notable en Europe, avec des régicides (Marie Stuart, Henri IV, Buckingham…). Théorie de la souveraineté populaire de John Lauck. On recherche dans l'Histoire, des tyrans (César par exemple). Le tyrannicide se développe de manière considérable en Europe au XVIII et XIX siècle. "Sic semper tyrannis", c'est la phrase qu'a prononcé John Wilkes Booth