Carex

de grands lacs. | 6 000 ans av. J.-C. - Hiver doux, été chaud et sec | Un lac s'étend dans la dépression abandonnée par le glacier et tapissée d'une couche d'argile.Ses berges sont colonisées par la végétation des marais : nénuphars, laîches (carex), saules...Les végétaux morts ne se décomposent qu'en partie dans l'eau, qui devient de plus en plus acide. Leur accumulation forme une couche de vase puis une couche épaisse de tourbe blonde.Les forêts environnantes de bouleaux et de pins donnent

la ville américaine de Louisville. L'iris des marais est commun en Europe, en Afrique du Nord et au Proche-Orient, dans les lieux humides1: fossés, mares, étangs, marécages, cours d'eau, ceinture de roseaux. Il est parfois associé aux laîches et carex, toujours en eaux peu profondes. Peu exigeant quant à son exposition, l'iris se développe cependant mieux à la chaleur et à la lumière. Il est utilisé dans les systèmes de lagunage pour son pouvoir purifiant. Ses feuilles sont robustes et larges

feuilles) ; en zone humide. 2- A peu près partout ; zone d’ombre. 3- Sous un bois ; en zone humide. 4- Dans la terre ; en zone humide. [pic] Atelier : Transect à partir de la roselière. Tableau : Végétaux, leur abondance et leur lieu : Carex panicea, fréquent, dans la prairie hygrophile Baldingère, fréquent, dans la prairie hygrophile Roseau, abondant, dans la prairie hygrophile Succisse des près, abondant, prairie mésophile Centaurée, rare/fréquent, prairie mésophile Pissenlit

aquatiques. Les conditions d’humidité et d’acidité empêchaient la dégradation de la M.O. qui, en s’accumulant, a progressivement comblé la dépression. Les joncs et les laîches ont progressivement remplacé les plantes aquatiques, suivis des mousses ou des carex et des graminées en milieux moins acides. Ces sols sont donc excessivement riches en M.O., celle-ci pouvant représenter jusqu’à plus de 90 % de la matière sèche (Browne, 1951). Dans leur rapport pédologique, McKibbin et Stobbe (1936) indiquaient que

poilue qu’il maintien à la surface de l’eau permet notamment de le différencier. Le vison vit le long des cours d’eau, dans les forêts inondées ou dans les marais tourbeux. Passée la journée en toute quiétude, il cherche refuge dans les touffes de carex, les souches et les troncs creux. Son corps allongé et ses pattes courtes lui permettent de circuler aisément dans ces zones quasi impénétrables pour l’homme. Très prudent et craintif, c’est généralement le soir venu qu’il sort de son repère. Dans

vesca) Nous avons identifié un spécimen de fraiser des bois (Fragaria vesca), donc l’espèce était minoritaire dans le carré d’observation. Plantes intermédiaires Balsamine de l’Himalaya (Impatiens glandulifera Royle) Laîche (Carex) Mousse  (Bryophyta) Sur l’ensemble du carré, n’avons trouvé qu’une seule espèce invasives ; la Balsamine de l’Himalaya (Impatiens glandulifera Royle). Nous pouvons dire que c’était une espèce intermédiaire dans notre zone d’observation

s’est accumulée au fond d’une cuvette creusée par le glacier et imperméabiliser par les débris de roches arrachés au relief (couche d’argile). 6 000 ans av. J.-C., ses berges sont colonisées par la végétation des marais : nénuphars, laîches (carex), saules... Les végétaux morts ne se décomposent qu'en partie dans l'eau, qui devient de plus en plus acide. Leur accumulation forme une couche de vase puis une couche épaisse de tourbe blonde. Les forêts environnantes de bouleaux et de pins donnent

période d’élevage des jeunes, le tétras-lyre à besoin d’un habitat bien structuré. Les nichées recherchent des faciès de végétation qui présentent un bon couvert au sol : 25 à 50 cm de haut, riche en insectes avec des pelouses à laîche toujours vert (Carex sempervirens), des prairies à dactyle (Dactylis glomerata), à fétuque rouge (Fastuca rubra), des prairies à géranium (Geranium situaticum), et à fenouil des Alpes (Meum athamanticum). Les tétras-lyre apprécient aussi des éricacées entrecoupées de

système climatique TP4 SVT Tableau 1 : Pourcentage des différents pollens dans les différentes strates Espèce Lame - 20 cm Lame - 120 cm Lame - 270 cm Nombre % Nombre % Nombre % Sapin Pin Saule Aulne Bouleau Noisetier Hêtre Chêne Tilleul Apiacées Carex Poacée Non identifiés Total Mme DEL BIONDO 2Terminale Enseignement scientifique Thème 1: Science, climat et société Chapitre 2: La complexité du système climatique TP4 SVT QUELQUES DONNÉES SUR LES ESPÈCES 1 – SAPIN (Abies alba) Répar77on (actuelle

2. Le stade pionnier Au début de grosses touffes de Carex forment une ceinture végétale, puis des Sphaignes s’installent entre ces bombements de végétation.  C’est le point de départ d’une colonisation qui va former un tapis végétal non enraciné sur le fond mais fixé aux rives et progressant en surface. Peu à peu, des plantes à longs rhizomes (tiges souterraines horizontales) vont venir consolider ce premier radeau. Les Laiches ou Carex et le Trèfle d’eau constituent ce groupement pionnier