Carl Theodor Dreyer

------------------------------------------------- Nationalité Française Année 1927 ------------------------------------------------- Réalisateur Carl Theodor DREYER Producteur ACE ------------------------------------------------- Scénariste Carl Th. DREYER et Joseph DELTEIL Dialoguiste - ------------------------------------------------- Image Rudolph MATE

(Poésie/ Gallimard) Sarraute (Nathalie), Le Silence, Le Mensonge, L’Usage de la parole Shakespeare (William), Macbeth Vercors, Le Silence de la mer Woolf (Virginia), Mrs Dalloway III- La parole au cinéma Bergman (Ingmar), Le Silence Dreyer (Carl Theodor), Ordet Eustache (Jean), La Maman et la Putain Kechiche (Abdellatif), L’Esquive Rohmer (Éric), Les Nuits de la pleine lune, Le Rayon vert, Conte d’été… IV- Pour l’oral • La Culture générale de A à Z, Hatier, 1998 La Philosophie de A

figuration et de fournir de nouvelles propositions esthétiques, il crée un univers complexe, sombre et volontiers provocant, dont les préoccupations métaphysiques et la vision allégorique sont influencées par les maîtres de l'école scandinave, Carl Theodor Dreyer et Ingmar Bergman et par le réalisateur soviétique Andreï Tarkovski à qui son film Antichrist est dédié2. L'individu, l'intimité, la peur et la menace d'accidents dramatiques constituent la matière première de son inspiration1. Ses réalisations

entre ces nuées, au milieu de ces lagunes on voit la silhouette du navire qui passe et repasse noir sur le fond blanc des villes, blanc sur ces décors de visions qui tournent soudainement au noir »[réf. nécessaire]. Engagé en même temps par Carl Theodor Dreyer pour son film La Passion de Jeanne d'Arc, Artaud délaisse le rôle du clergyman qui lui était dévolu et ne suit que par intermittence la réalisation de La Coquille. Le soir de la première projection au Studio des Ursulines, le 9 février 1928

entre ces nuées, au milieu de ces lagunes on voit la silhouette du navire qui passe et repasse noir sur le fond blanc des villes, blanc sur ces décors de visions qui tournent soudainement au noir »[réf. nécessaire]. Engagé en même temps par Carl Theodor Dreyer pour son film La Passion de Jeanne d'Arc, Artaud délaisse le rôle du clergyman qui lui était dévolu et ne suit que par intermittence la réalisation de La Coquille. Le soir de la première projection au Studio des Ursulines, le 9 février 1928

Impossible» (Texte final du film « Europa ») Fascinant, hypnotique , cauchemardesque, envoûtant : bienvenue dans l'univers des films du Danois Lars Von Trier. Lars Von Trier est né à Copenhague le 13 avril 1956, au Danemark donc, la patrie de Carl Theodor Dreyer (Ordet, Jeanne d'Arc). Très tôt, il dévore les films de celui-ci, de Tarkovski (Le Miroir est son film préféré) et d'Orson Welles, qu'ils considèrent comme ses maîtres. En 1971, il réalise des petits films en 16 millimètres avec une caméra super

envisageait sérieusement d’en faire une adaptation cinématographique qui n’aboutira jamais. D’ailleurs, pour l’anecdote, il n’est pas anodin de rappeler qu’Artaud avait joué le rôle de Massieu dans le film La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Theodor Dreyer en 1927 : Massieu n’était autre qu’un… moine. En rejetant le concept d’adaptation et de traduction, Artaud se rend bien compte de l’originalité de son projet. Ainsi, le 16 septembre 1930, il écrit à Jean Paulhan : « C’est assez différent

Charlie Chaplin avec la large distribution du long métrage, et Nanouk l'esquimau de Robert Flaherty en 1922 permit aux spectateurs de découvrir le monde inconnu mythique, inconnu du Grand Nord; jusqu’à qu’en 1928, La Passion de Jeanne d'Arc de Carl Theodor Dreyer rencontre une admiration escompté. Dans les années d’instabilité politique et financière qui touche l’Europe, le cinéma connaît, malgré de nombreuses inaugurations comme la création de la cinémathèque française, des studios de Cinecittà

personnages meurent lentement et dans d'atroces souffrances. Lars Von Trier, producteur, scénariste et réalisateur danois né en 1956, réalise Medea, un téléfilm réalisé en 1988 pour la télévision danoise, sur la base du script écrit par Carl Theodor Dreyer. De par son statut de téléfilm, Medea n’est pas souvent cité dans la filmographie du cinéaste et reste un film rare, peu vu et peu commenté. Il aurait souhaité tourner avec Maria Callas en tant que Médée, mais faute de financement, ce projet

l'époque puise abondamment son inspiration dans la littérature (un phénomène loin d'être cantonné à l'horreur, en cette période où le 7e Art tente se donner une légitimité artistique publique). Ainsi, Le Golem (1920 | Der Golem, wie er in die Welt kam | Carl Böse & Paul Wegener) reprend le roman fantastique de l'écrivain autrichien Gustav Meyrink ; le roman de l'écrivain allemand qui inventa la littérature d'horreur, Hanns Heinz Ewers, L'Étudiant de Prague sera porté à l'écran à deux reprises, en une décennie