Carla Del Ponte

Kosovo ? 2ème partie : Il y a-t-il du trafic d’organes en France ? 3ème partie : Quel impacte a ce trafic à l’échelle mondiale ? Première partie : Le trafic d'organes au Kosovo : Au Kosovo un énorme trafic d'organe a été révélé par Carla Del Ponte ex procureur du Tribunal Pénal de l'ex Yougoslavie , il s'agissait de prisonnier(es)d'origines serbe et d'autre ressortissant slaves transportés au courant de l'été 1999 depuis le Kosovo jusqu'en Albanie où ils étaient tués pour s'emparer de leurs

mené une campagne de terreur et de violence contre les civils albanais du Kosovo. Sous la direction de Milosevic et bénéficiant de son soutien et de son encouragement. Le second acte d'accusation intitulé Croatie a été rédigé par la Procureure Carla del Ponte, successeurs de Mme Arbour, et a été confirmé le 28 juillet 2004. Selon cette dernière, Milosevic aurait participé à une entreprise criminelle commune par le contrôle ou l'influence qu'il exerçait sur les forces armées serbes en Croatie. Entre

particulier de ceux concernés par leur action. Par exemple, chacun voit bien que le Tribunal Pénal International pour le Rwanda ne peut accomplir efficacement sa mission si l’Etat rwandais ne lui apporte pas sa pleine coopération. Le Procureur Carla Del Ponte n’a pas manqué de le souligner, au moment de quitter ses fonctions auprès de cette juridiction le 14 septembre 2003, déclarant : « Pour ce qui est des enquêtes, le manque de coopération du Rwanda m’a beaucoup frustrée. Au début de mon mandat,

actes immoraux ne sont pas qualifiés d’inhumains. Pour être inhumain, un acte doit être une atteinte à l’humanité de deux façons : il disqualifie son auteur comme être humain et il déshumanise sa victime. Ex.: Les crimes contre l’humanité. Carla Del Ponte, procureur du Tribunal pénal international de La Haye a ouvert le procès de Slobodan Milosevic par ces mots : « Le crime de génocide, les crimes contre l’humanité (…) touchent chacun d’entre-nous, où qu’il vive, parce qu’ils offensent nos principes

processus est désormais irréversible et constitue inexorablement un pas en avant dans la lutte contre l’impunité dans et pour l’histoire de l’humanité. Les Tribunaux pénaux internationaux sont une preuve tangible du succès de cette justice ». Carla Del Ponte, l’ex ex-procureure des tribunaux pénaux internationaux pour le Rwanda et l’ex-Yougoslavie, Conférence à l’ENA, le 06 juin 2003, cité par Hervé Marcquart : « Thèmes d’actualité Géopolitiques », Ed. Vuibert, aout, 2006, p.137. [ 4 ]. L’idée

INTERNATIONAL)1 INTRODUCTION Lorsque, le 6 juin 2003, s’adressant aux énarques, ainsi qu’aux actuels pensionnaires de l’Ecole nationale d’administration à Paris, le Procureur des Tribunaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda, Carla Del Ponte, mentionnait avec véhémence que « le concept de justice internationale n’était pas tout à fait neuf »2, elle n’avait nullement ignoré que l’intérêt que suscite aujourd’hui cette notion est directement lié, pour le commun des mortels, à l’avènement

a travaillé pendant onze ans au journal Le Monde, couvrant notamment les conflits en ex-Yougoslavie. De 2000 à 2006, elle fut la porte-parole et la conseillère Balkans du procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) Carla Del Ponte. De 2000 à 2003, elle fut également la porte-parole du parquet du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR). Elle a publié, en septembre 2007, Paix et châtiment, Les guerres secrètes de la politique et de la justice internationales, un

commis en Bosnie entre 1991 et 1995 d'autre part. Dans les deux cas, il est accusé de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre, et pour la Bosnie, il est en outre accusé de génocide. Cependant, le 2 février 2002, à la demande du procureur, Carla Del Ponte, la Cour d'appel du Tribunal de La Haye a décidé que ces trois inculpations donneraient finalement lieu à un seul procès qui s'est ouvert le 12 février. - Le premier volet du procès, limité à l'examen détaillé de l'acte d'accusation "Kosovo"

au mieux les rouages de ce processus. En effet, alors que Dragisa Cancarevic, Serbe de Croatie, a été condamné le 14 avril 2001 par le tribunal de Vukovar pour les crimes de guerre perpétuer à Vukovar pendant l’épuration ethnique, le Procureur Carla del Ponte a contraint la justice yougoslave à se dessaisir du cas Slobodan Milosevic et ce afin qu’il soit déféré devant le TPIY (d’ailleurs une mise en accusation y était déjà lancée). Enfin, les interactions juridiques entre les tribunaux internationaux

par bulletin secret ou suivant une procédure équivalente assurant une liberté de vote. » Le procureur : Le discret procureur du Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie Serge Brammertz, qui a succédé à la très médiatique Carla Del Ponte pour la fin des travaux du TPI, se retrouve au cœur d'un des procès vedettes du Tribunal contre Radovan Karadzic. L'ancien chef politique des Serbes de Bosnie, qui semble décidé à utiliser son procès comme une tribune politique, est, depuis