Carmen Femme Fatale

Carmen est divisé en quatre chapitres de longueur inégale, mais le récit des amours impossibles de Carmen et de Don José n’occupe que le troisième chapitre. Il s’agit donc à ce moment d’un récit enchâssé ou emboîté, dont le narrateur est Don José, mis en abîme dans le récit-cadre, dont le narrateur est un archéologue. Les évènements racontés par Don José sont antérieurs aux évènements du récit-cadre (analepse narrative). Le récit est en prose et utilise la focalisation interne. Le quatrième et dernier

la femme ? »(1) La façon que la femme a d’agir est profondément liée au sexe. Beaucoup de changement à cette époque, beaucoup de liberté aux gens. Il y a une transition entre bourgeoisie traditionnelle et la démocratie parce qu’on est en plein révolution industrielle…. Dans cette période, il commence à avoir des mouvements féminins, les femmes commencent à prendre des décisions et vivre pour elle-même, la femme n’est pas soumise à un état défini des choses. Ainsi à cette époque là, la femme, plus

et d'un basque n'est pas innocent. Cet envoûtement est la hantise de Mérimée : Don José est présenté comme une victime mais en fait Carmen lui laisse la volonté de partir. En fait Don José est lui-même lié aux préjugés de fidélité de son ethnie (basque) . Alors que les gitans sont des nomades, en instabilité permanente y compris dans le domaine sentimental. Carmen n'est pas fidèle à ses amants. On assiste à un choc de cultures qui ont des principes contradictoires. EXOTISME L’écriture de

« Carmen » Prosper Mérimé Question 1 : Chapitre 1 : Une rencontre pas comme les autres. Chapitre 2 : La rencontre inattendue. Chapitre 3 : Carmen, pas vraiment fidèle. Chapitre 4 : Question 2 : Le narrateur du 1er chapitre est Prosper Mérimée qui est aussi l’auteur de ce livre. Prosper Mérimée Prospermerimee.mes-bigraphies.com On sait de lui qu’il est archéologue. L’homme que rencontre le narrateur est Don José Lizarrabengoa. Question 3 : C’est dans le 2ème chapitre qu’il

souillé : ça fait d’elle la femme fatale, la femme séduisante et sexy qui met l’homme dans l’embarras le plus profond. Les cheveux sombres, les yeux de biche, la bouche savamment colorée, froide, voire sévère, mais généreuse en chair, Violet sait obtenir ce qu’elle veut. Et ce qu’elle veut on le retrouve aussi dans The Big Sleep, il y a Agnès, la petite amie de Joe Brody qui a était présent dans la scène du crime de Geiger. Donc un renvoie au gangstérisme et à la Femme fatale, Car Agnès, avec ses cheveux

Commentaire composé du chapitre XII de La Femme et le Pantin de Pierre Louÿs Personnalité énigmatique, Pierre Louÿs a vécu dans un monde plein de symbolisme. Il a été un écrivain aux tendances subversives qui se traduisent dans ses oeuvres, c’est le reflet d’un univers, d’un thème : celui de la femme fatale sous le regard de la décadence. Pierre Louÿs publie en 1898, ce « Roman Espagnol » et rejoint par là, la veine des artistes fascinés par l’Espagne à la fin du siècle. L’histoire s’ouvre à Séville

Le parcoure de Manon donne au personnage la dimension d’un mythe. Les diverse du lecture du l’œuvre ( qui s’est approprié l’Opéra et qui a popularisé le cinéma) ont fait de Manon le mythe de la femme fatale : Manon appartient avec Carmen, La Dame aux Camélias .. à La famille littéraire des femmes fatales et des amantes maudites. Les autre personnage : ils sont caractériser par leurs nom leurs origine ou leurs fonction sociale, par exemple M.de B ; M de G.M et son fils, représente la société fortuné

Pierre Louys, dès le titre de son roman La femme et le Pantin, attribue à son personnage féminin un pouvoir de manipulation quasi absolu. Au contraire, des titres comme La Princesse de Clèves, La Religieuse ou Madame Bovary dessinent autour du personnage féminin un contexte social qui pèsera dans le déroulement de l'intrigue. S'il est facile de dire que les personnages féminins jouent un rôle important dans les romans, il est moins aisé de dégager une image de ces femmes qui traversent ou hantent

littéraires de Dashiell Hammett et Raymond Chandler. Ce genre sera plus tard identifié comme «le film noir », offrant des œuvres ayant pour cadre un milieu urbain cloisonné, décrivant des personnages évoluant en marge de toute justice et une inévitable femme fatale prétexte à toutes les passions. Durant l’âge d’or du genre, certains auteurs dont la réputation n’était plus à faire, comme Ernest Hemingway, participent à l’écriture des films. De fait, malgré les impératifs formels, ces œuvres s'avèrent avant

moustaches, sa pipe, et ses lunettes, d’un personnage-type, par exemple le commissaire Maigret inventé par Simenon. b) D’autres personnages présents viennent rappeler l’appartenance au genre du film noir : le doulos, les prostituées, la femme fatale évoquée par le biais du portrait de l’ancienne petite amie de Corey. Les costumes participent également de cette identification générique : Mattei, Corey et Vogel portent des imperméables et des chapeaux, ce dernier étant une référence aux films