Carmen Narrateur

de l’autobiographe INTRODUCTION : L’autobiographie se caractérise comme un récit rétrospectif à la première personne du singulier que l’auteur fait de sa propre vie. L’auteur qui est aussi le narrateur et le personnage s’y engage à dire la vérité quand bien même une grande distance sépare le narrateur, «  je » narrant de celui dont il parle : le « je » narré. Philippe Lejeune définit ainsi les termes du pacte autobiographique. Cette distance peut varier de quelques mois à de nombreuses années

le directeur,l’employé des pompes funèbres) et du paysage que des dialogues. Le texte ne suit pas un plan précis parce qu’il s’agit d’une description instinctive,le narrateur décrit immédiatement ce qu’il voit ou pense afin que le lecteur puisse s’identifier au protagoniste. L’atmosphère est grave,on peut remarquer que le narrateur insiste sur la chaleur accablante pour souligner le détachement de la doleur pour la perte de sa mère. Meursault est en effet,plus intéressé au milieu environnante qu’a

un militaire : « une voix […] où apparaissait une considération pour son locataire ». Duroy se dirige alors vers les escaliers, ici dépeint comme ce qui permet au personnage de faire gonfler son anxiété : « il montait lentement les marches ». Le narrateur est en focalisation omnisciente, nous laissant constater que Duroy se focalise sur ses vêtements et l’impression qu’il donnera : « il était un peu gêné », « intimidé », « mal à l’aise », laissant ainsi à l’apparence de Duroy une importance de premier

Chapitre 1 : Le narrateur fait une description d’une petite ruelle dans Paris, il décrit ensuite une petite mercerie de la ruelle. Le narrateur décrit aussi les personnages tenant la mercerie, il les décrit le soir entrain de monter se coucher dans leurs appartements. Chapitre 2 : Le narrateur raconte la vie de Mme Raquin, qui a été Mercière à Vernon. Après la mort de son mari elle vendit sa boutique pour acheter une maison au bord de la Seine où elle emmena son fils et sa nièce. Son fils Camille

qualités (comme la force ou le courage) qui suscitent l’admiration. Le sens du mot s’est atténué au cours des siècles pour finir par désigner simplement le personnage principal d’un roman. On peut citer à titre d’illustration la célèbre intervention du narrateur dans La Chartreuse de Parme de Stendhal au sujet de Fabrice égaré à Waterloo : “Notre héros se montrait fort peu héros en ce moment”. C ’ e s t e n c e s e n s q u ’ o n a p u p a r l e r d ’ a n t i - h é ro s : u n h é r o s d é n u é d e c e

Lecture analytique 3 : Le meurtre de l’Arabe Dans ce passage, le perso-narrateur Meursault est retourné seul sur la plage après une altercation opposant son ami Raymond et deux Arabes. L'un deux est le frère de l'ancienne femme de Raymond. Le narrateur a sur lui le revolver de son ami. Il l'avait forcé à lui remettre pour éviter un débordement. Par hasard, il rencontre un des deux Arabes. Ce texte est poignant car sa progression dramatique semble reposer sur le hasard de la rencontre, et pourtant

extrait: Point de vue omniscient, type de discours description. Quand ? Présent contemporain. Vue du narrateur puis d'un passant. Rupture temporel: Analepse car le lieu change. Nom de l'œuvre = Nom du magasin, éponyme. Nous avons des marques du jugement du narrateur: jaunâtre, blanchâtre et des connotation morbide ---> comparaison « morne «   = les éléments du décor sont soumis au jugement du narrateur. Plans: Une description réaliste Précision spatiales Précision temporelles

Mais ce roman n'est pas représentatif de leur œuvre, comme le précise l'exergue au début : « le récit qu'on va lire est authentique. C'est pourquoi le narrateur, par prudence, a cru bon de modifier tous les noms. Si quelqu'un croyait se reconnaître, en tel ou tel personnage, il revendiquerait par là même une part de responsabilité dans cette étrange histoire »… Cette histoire légère est excellente pour débuter la lecture de policière, différente des romans noirs et témoin des idées débridées qui

ont oublié le chat,Balthazar, L'histoire commence là, Elle est racontée par un double récit : celui du chat qui va être confronté à la vie sauvage, à ses plaisirs et ses inconvénients, qui finira par retrouver le chemin de la maison et celui du narrateur qui rend compte des réactions de la famille face à cette séparation, en particulier du comportement de Rodrigue qui se sent coupable de la perte de son animal, La construction narrative de ce récit, l'alternance de point de vue, associée à un style

Roland : Plus sensible et plus fine que son mari, elle a éprouvé pour Léon Maréchal un amour sincère. Elle souffre cruellement de l’aigreur et des colères de Pierre. Monsieur Roland : L’ancien bijoutier est le modèle du cocu aveugle et satisfait. Le narrateur s’amuse en peignant ce personnage. Il dénonce avec une certaine joie « les manies, les affirmations niaises , les opinions vulgaires et la médiocrité trop visible » du petit-bourgeois. Personnages secondaires : Les personnages secondaires contribuent