Carmen Narrateur

Un texte neutre : Le narrateur dans cet extrait reste neutre, objectif. L’esclave, la victime informe le lecteur de la vérité sur l’esclavage, vérité qu’il connaît. C’est le représentant du code noir. Au début, les apparences sont décrites, les détails sont objectifs : "caleçon de toile bleue" (l.2). Le texte est brutal, froid : toutes les informations sont données en bloc. Elles sont toutes mises au même niveau : les vêtements et la jambe en moins. Mais le narrateur reste neutre, il présente

désirs de son père Lorenzo renonce à ces propres désirs. La fin de texte est comme une mise en garde à tous ceux qui comme Lorenzo ne faut qu’obéir au détriment de leur bien. Domiga en plus d’être désagréable par sa voix, d’être laide et sotte, le narrateur en rajoute et nous indique qu’elle se révèle être en plus peu charmante et orgueilleuse ; au contraire Paula en plus d’être plaisante, devient l’unique héritière d’une prestigieuse propriété. C’est un coup de théâtre qui renverse toute les attentes

véritable nom, narrateur du récit, finira par donner la mort à son double qui s’écriera en mourant: «Tu as vaincu, et je succombe. Mais dorénavant tu es mort aussi, - mort au Monde, au Ciel et à l’Espérance! En moi tu existais, - et vois dans ma mort, vois par cette image qui est la tienne, comme tu t’es radicalement assassiné toi-même! » (E.A. Poe, « William Wilson» in « Oeuvres en prose », La Pléiade p. 310) Mais il y a Max Work, lieu du « travail » de Quinn. Max Work est le narrateur des romans

La personnalité des personnages est passé sous silence, il n'y a aucun signe de psychologie. Une complète objectivité. L'étude des temps et personnes conduit à parler de focalisation interne ( chaque événement est vu à travers les yeux du narrateur ). Cependant, l'absence de description s'accompagne d'absence totale de subjectivité, d'implication personnelle de Meursault. → Il exprime sa pensée et ses choix, mais sans jamais s'impliquer de façon affective. « J'ai dis oui pour ne plus avoir

toujours autour de son personnage. Ainsi nous voyons un retrait du héros dans le Nouveau roman du début du XXème siècle, qui s'occulte pour laisser place à un personnage de plus en plus anonyme. Dans La Peste, de Albert Camus, nous savons qui est le narrateur -le docteur Rieux- qu'à la fin. Il en devient donc le personnage principal, mais plus par la force des choses que par sa dimension héroïque. Le lecteur, ne pouvant se transporter dans le personnage pour en retirer la sensation d'évasion espérée dans

francaise (l’auteur utilise presque toujours la première personne ce qui rend impossible pour le lecteur de déceler si il s’agit d’un homme ou d’une femme) vivant dans une petite ville en France pendant le temps de la Deuxième Guerre mondiale. Le narrateur, professeur d’allemand à un lycée de jeunes filles mène une vie plutôt lamentable. Il habite une maison avec sa mère et sa soeur cadette, qui a comme propre plaisir de coucher avec l’occupant. Son père est retenu prisonnier en Allemagne. Le protagpniste

dont l’inspiration prend ses sources dans l’Antiquité gréco-latine, notamment dans l’art de la fable (Esope, Phèdre) = apologue = récit à visée morale - la particularité de cette fable : la prise de parole respective des animaux et celle du narrateur/moraliste, le registre comique/ironique - la problématique : comment LF s’y prend-il pour dénoncer un défaut humain à 2 faces : l’incapacité à se remettre soi-même en cause et la critique des défauts d’autrui ? = 2 parties = a) la mise en récit

roman. Il sert à donner des informations sur l’histoire que l’on va lire : - Qui ? Le narrateur (= Jean adulte) - Personnage principal : le narrateur enfant (Jean, dit Brasse Bouillon) - Où ? Quand ? Dans le Craonnais, l’été L’incipit fournit aussi un certain nombre d’informations qui peuvent mettre le lecteur sur la piste de ce qui va se passer ensuite. II. Le statut du narrateur On relève certains de ses commentaires sur l’événement avec l’emploi du présent de l’indicatif

donc plus important que l'objet. Les grands artistes nous permettent de vivre à travers leur œuvre et les métamorphoses qu'elle permet. Il y a un "double enrichissement entre la vie et l'Art". Un exemple important : lorsque le jeune Marcel (le narrateur) comprend, à propos de la Charité de Giotto, que l'oeuvre du maître italien n'a rien à voir avec l'idée que l'on pourrait se faire de la Charité ; la valeur que les figures représentent , au lieu d'être exprimée symboliquement est comme "effectivement

essayer de résoudre l’énigme. Ils ont lu différents livres comme des manuels d’instruction qui les ont menées à la réponse. C’est pourquoi cette remarque résume bien le rôle des livres dans ce roman de Jacques Poulin. 6) Aux pages 109 et 110 le narrateur nous dit que pour Jack la découverte de l’Amérique par les grands explorateurs fut un rêve pour l’humanité. Un rêve, car selon lui le monde avait besoin d’un « paradis terrestre » pour atteindre le bonheur dans la vie. Ce paradis terrestre et l’Amérique