Carnage

ôta du meilleur des mondes ” ou encore “ renversèrent ” qui fait penser à une bataille de petits soldats de plombs. L'horreur de la guerre est cachée, atténuée. C'est le jeu de la guerre. L'oxymore “ boucherie héroïque ” rend compte à la fois du carnage sanglant comparé à une exécution d'animaux dans un abattoir, et du côté épique soit-disant glorieux. Cette vision déshumanisée de la guerre est d'autant plus efficace qu'elle frappe et touche le lecteur. On peut donc conclure que dans cette première

chapitres Chapitre 1 Présentation de Lawrence et de Mercier, en train de guetter des loups. Chapitre 2 Le commissaire Adamsberg devant sa TV à Paris découvre les images du carnage des loups. Chapitre 3 Lawrence aide le vieux loup Augustus. Présentation de Camille, qui apprend à Lawrence la nouvelle du carnage, devant la TV. Chapitre 4 Portrait du couple de Lawrence et Camille. Lawrence descend au village (chez le boucher) voir les bêtes égorgées, puis rentre. Chapitre 5 Lawrence

la tirade 1, on retrouve le champ lexical du feu « palais brûlant-flamme-étincelantes » et celui de la mort violentes « sang-carnage-cris mourant-étouffés-expirant-ces horreur ». Ces champs lexicaux peignent la barbarie de la prise de Troie par les Grecs. Le portrait de Pyrrhus apparait également dans ce souvenir « yeux étincelants-de sang tout couvert-échauffant le carnage. Pyrrhus est décrit comme un fou déchainé à la tête des barbares grecs. Ce lexique traduit le sentiment d’horreur et de haine

Le registre pathétique Andromaque multiplie les évocations terribles du massacre, pour renforcer la pitié du spectateur qui peut le visualiser. La mort est vue comme une violence extrême. ( Un vocabulaire fort : vers 1 : " cruelle ", " carnage " (vers 6), " mourant " (vers 7), " expirants " (vers 8), " horreurs " (vers 9), " crimes " (vers 13), " victimes " (vers 14). Andromaque voit tout par rapport à Pyrrhus ; tous ces termes sont associés à Pyrrhus (ou presque). Le vocabulaire montre

la dimension tragique donc la pitié. Le champ lexical de la mort « morts » (v.1001) « sang » (v.1002) « crimes » (v.1010) marque l’univers tragique du texte donc la pitié. On observe aussi le champ lexical de l’horreur « ensanglantant » (v.996) « carnage » (v.1002) « victimes » (v.1010), qui font naître chez le lecteur de la compassion pour Andromaque, ils ont pitié d’elle. Un autre champ lexical s’inscrit dans ce texte, celui de la famille « père » (v.995) « frères » (v.1001) « époux » (v.1008).

Cette tirade fait revivre le saccage de Troie a) Le tableau : hypotypose Racine réussit à nous faire « voire » la scène, à nous faire imaginer le siège de Troie. * Champ lexical de l’horreur : « ensanglantant », « cruelle », « mort », « carnage », « mourants »… * Parallélisme de construction : « songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants » → les deux hémistiches sont construits selon le même model (→ répétition, insistance) mais les deux derniers mots s’opposent : vainqueurs

L'absurdité de la guerre est dénonce au nom de l'humanité. Mais Voltaire se sert également du registre épique : le nombre hyperbolique de mort, les actes commis pour dénoncer la mort . Mais c'est l'oxymore "boucherie héroïque "qui montre le mieux le carnage le carnage engendré par la guerre puisque cette expression associe l acte sanglant et aussi le privilège de la force la de l'âme. Ce qui révèle la véritable intention de Voltaire : dénoncer la barbarie. Par ailleurs cette dénonciation est également marquée

s'offre à nous dans le portrait d'une femme furieuse. Médée se trouve donc dans une grande colère. Le ton violent de ces répliques témoigne de cette colère comme le suggère les champs lexicaux de la mort: "membres dispercés" (v.8); "sanglant; meurtres; carnage"(v.17); "Déchirer par morceaux"(v.21); "crimes"(v.23) et de la vengeance: "Ma rage"(v.11); "haine"(v.15); "colère"(v.22). La colère de Médée repose aussi sur le fait qu'elle a été trompé par son mari: elle a trahi son père et tuer

l’ami et correspondant de Voltaire et de Diderot. A ce titre, il rédigea certains articles de l’Encyclopédie . Ce qui frappe dans l’article « Paix » qui décrit, en réalité, presque exclusivement la guerre, c’est la violence des critiques contre ce « carnage inutile » résultant des « passions aveugles » des princes. 1.1: 5. 10. 15. 20. 25. 30. 35. La guerre est un fruit de la dépravation des hommes ; c'est une maladie convulsive et violente

faufilé dans le bâtiment et avait effectué un vrai carnage. Aucune vie n’avait été épargnée à part la sienne et sa sœur était morte sous ses yeux. Pourquoi lui et pas elle ? Tout simplement car il avait trouvé une cachette sûre et elle non. Cruel n’est-ce pas ? Alors ne pensait –vous pas que ce petit ne voudrait pas rejoindre sa sœur et ses parents maintenant, vu qu’il n’avait plus rien, plus personne et qu’il était encore le dernier survivant d’un carnage. Il aurait supplié l’assassin si celui-ci l’eut