Carnage

texte Annonce des axes Dans ce texte, nous aurons 3 axes : peinture de la guerre et de la dénonciation de la guerre La satire de dieu et de la religion la nature   Etude I) Peinture et dénonciation de la guerre Le carnage Ce poème peint l'horreur et la boucherie de la guerre. Il la dénonce sur un ton virulent. Cf. Candide Chapitre 3 "boucherie héroïque" très forte antithèse. Juxtaposition de deux termes antithétique -> dévalorisation de la valeur de l'héroïsme

lexical de la guerre et de la violence. Les mots employés montrent la guerre comme un ravage, et nous décrivent les « effets terribles » (l. 17, texte 2) de la guerre, ses conséquences. En effet, le premier texte nous décrit la guerre comme un « carnage » (l. 37 texte 1) avec des « morts » (l.18 texte 1) et du « sang » (l. 11 texte 1), il dit même que c’est une pratique « sauvage » (l. 40 texte 1). Nous pouvons donc voir que d’après La Fontaine la guerre est concrétisée par une violence sanglante

indigne carnage, Mes pères ont maudit les tiens. Parce que tu mangeais des entrailles de femme, Tu t'engraissais des chairs de tes amis, Et que jamais, chez toi, n'étincelle la flamme, Qu'autour de tremblants ennemis. Va voir, si tu peux, au seuil de nos cabanes, Les pâles et rouges débris Des chevelures et des crânes Qu'en ton sein autrefois ma hache avait surpris. Foule de guerriers sans courage, Je le sais et tu t'en souviens, Parce que tu n'aimais qu'un indigne carnage, Mes pères

pillées par la population pendant les trois jours ce qui enrichie les nombreux pauvres de Paris. De plus, on apprend que ce massacre fut cruelle et sanguinaire avec un chiffre de plus de 7000 personnes connues qui fut tué où massacrer. Ceci montre le carnage que fut la Saint Barthélemy. 3 – Le jugement des protestants Lors de la Saint – Barthélemy, le gendre de l’amiral de Coligny ne fut pas trouver chez lui mais il fut prisonnier deux jour après. On fit leur procès pendant quinze jours et ils ont

"si beau, si leste", "harmonie" | |Les morts ne sont que des coquins dont on débarrasse la planète, la |Mais cette accumulation s'applique à une armée, c'est-à-dire| |baïonnette est élevée au rang de "raison suffisante", le carnage est |une force de mort et de destruction. Les adjectifs choisis (| |associé à l'idée d'"harmonie", l'incendie du village est "justifié" par les|"beau", "leste", brillant", "ordonné" ) impliquent un | |"lois du droit public" (idée courante

du cheval). Contexte : (chloé)2)Pablo touché par ce carnage et l’horreur de cette guerre accepte volontiers la demande de la République espagnole à réaliser un tableau qui dénonce la guerre en générale. Notes :L’oiseau =liberté entrain d’agoniser donc plus d’espoir de paix Tout les personnages ont la bouche ouverte = cris de souffrance bras (dernière diapositive avant les triangles) bras vengeur pour eclairer la société sur le carnage de cette guerre et faire en sorte qu’elle agisse contre

Fiche de Lecture  Yasmina Réza : Le dieu du carnage Biographie : Fille d'un ingénieur juif mi-russe mi-iranien et d’une violoniste juive de Hongrie arrivée en France pour fuir la dictature soviétique, Yasmina Réza étudie le théâtre et la sociologie à l'université de Nanterre. Elle est mère d'une fille, Alta, née en 1988 et d'un fils, Nathan, né en 1993. Auteur à la production très variée (théâtre, récits, romans), Yasmina Réza développe un pessimisme voilé d'humour. Ses pièces mettent souvent

manger de la viande, il doit être relativement aisé. De plus, il n’hésite pas à se mettre souvent en valeur (vers 5 : « Je suis comme Dieu, je n’aime pas », ver 9 : « mes dents ne sont pas pour les asperges ! », ver 17 : « Moi, je veux la vie et ses carnages »). On remarque donc que dans le poème de Norge, Abel a également une attitude de bourgeois et est très exigeant. Les deux poèmes ici fidèles au mythe biblique, se terminent aussi par la mort d’Abel. Dans la deuxième partie du poème de Baudelaire

reflète dans leur regard '' tremblantes, avec un regard plein de douceur et de supplication ''( l.6 ). Mais le thème du sang recommence, aggravé. et alors sa passion pour la chasse ne devient que plus forte devant ce manège '' L'espoir d'un pareil carnage, pendant quelques minutes, le suffoqua de plaisir '' ( l.12) et alors sa tentation de tuer revient en lui '' il descendit de cheval, retrousser ses manches, et se mît à tirer '' (l.13). La réplique '' des voix plaintives '' ( l.15 ) est une personnification

que la personnalité d’un homme est potentiellement destructrice. L’idée est confirmée par l’emploi dans la dernière strophe d’un champ lexical de la violence : « combattez », « carnage », « mort », « lutteurs », « implacables » et d’une affirmation catégorique « vous aimez le carnage et la mort ». Le terme « carnage » renvoie d’ailleurs à une certaine animalité qui était déjà présente dans l’emploi des termes « indomptable » et « sauvage ». 3) L’homme un être fascinant. - Baudelaire ne blâme