Carnaval de Vienne

 3  Op.  90  n°4  Op.  142   Six  Moments  Musicaux  D780  Op.  94   Doppelganger   Der  Muller  und  der  Bach   Frühlingsglaube   Valse  Caprice  n°6  -­‐  Soirées  de  Vienne                         MEDTNER         MENDELSSOHN                   MOMPOU         MOZART              

dignité de notre peuple. », déclare alors Maurice Thorez. Aujourd'hui encore, elle est utilisée comme hymne nationale. Elle a inspiré beaucoup de parodies comme par exemple: -En 1839, Schumann l'a inclus aussi dans le premier mouvement du Carnaval de Vienne -En 1967, dans la chanson All You Need Is Love, les Beatles se sont servis de l'intro de La marseillaise pour illustrer le début de leur chanson. -En 1981, Mel Brooks en a aussi fait une reprise, en introduction, sur son morceau It's Good

Christoph Willibald Gluck Gluck est né d’un père militaire en Bavière (Allemagne) le 2 juillet 1714 et il est mort à Vienne (Autriche) le 15 novembre 1787. Il est l'un des compositeurs les plus importants de la musique de la période classique avec J. Haydn, W.A. Mozart et Carl Philipp Emanuel Bach. Dès son plus jeune âge, Gluck s’intéresse à la musique, en particulier le violon, ce qui ne plait pas à son père. Il continue alors en cachette. A l’âge de 20 ans à peine, il décide de quitter le foyer

production : le personnages pris sur le vif, les paysages (cycle des mois, non réel), puis les tableaux plus grands avec un fond discret, présentant des œuvres centrées sur l´homme. Des exemples très populaires sont par exemples « Le repas de noce », « Le Carnaval ». Ces deux derniers donnent une vision positive du monde et de l´homme qui est capable à répondre aux défis de la vie. Dans ces tableaux Bruegel cherche à peindre les émotions et les sentiments des personnages. Par exemple dans le tableaux de la

autorisée, » Décrit F.Frontisi-Ducroux. Ce rituel autorisé porte le nom de « comos ».On suppose que ces processions sont probablement les premières formes de déambulation, que l’on retrouve ensuite au Moyen-âge pendant les Fêtes des Fous ou le Carnaval. Ce théâtre apparaîtrait vers le Xème siècle : il est né par la religion et pour elle. C’est en effet d’abord dans l’église que surgissent ces premières formes en illustrant des scènes liturgiques. Des moines incarnent des personnages

gravées cette année-là. 1557 Série de sept gravures intitulée Sept Péchés capitaux. 1559 Parution d'une série de sept gravures avec les Vertus. Le peintre change l'orthographe de son nom. Il ne signe plus Brueghel mais Bruegel. Il peint Le Combat de carnaval et carême. Le roi Philippe II d'Espagne, successeur de PASARTIC 2010/2011 Charles Quint depuis 1556, quitte définitivement les Pays-Bas après y avoir résidé pendant quelques années. Il exerce désormais son pouvoir depuis Madrid et nomme sa

Nous poussant à la réflexion. Cette scène se situe à la fin de l’histoire durant le carnaval de Venise dans une sorte d’hôtel (Candide étant à Venise pour retrouver Cunégonde). Candide et Martin s'assoient à une table avec six autres personnes, Candide espérant voir Cunégonde de part la présence de son ancien ami Cacambo est très vite déçu

on remarque le souci de la couleur locale ( volonté de faire vrai), à travers la description des lieux. La couleur locale apparait « les grands palais » « la citadelle » La scène se passe en Italie, c'est pourquoi est importante l'allusion au carnaval et ses coutumes : les personnages sont masqués « joli masque » « avec sa robe de nonne » « vêtu en religieuse ». De plus, sont présentées les principales familles de Florence : les Puccellai, alliés aux Strozzi, les Medicis au pouvoir, et dont Lorenzo

cohésion sociale, elle sécrète aussi la rupture et le désordre. Son dérèglement lui est même propre. Au défilé cérémonieux du 14 Juillet succéde le bal populaire débridé, le « ramdam » de la nuit musulmane compense le jeûne rituel de la journée, Carnaval n'existe que par rapport au Carême à venir. Les « fêtards » transgressent ainsi rituellement les normes de la vie sociale, en même temps qu'ils les respectent. « La fête, écrit Freud, est un excès permis, voire ordonné, une violation solennelle

cohésion sociale, elle sécrète aussi la rupture et le désordre. Son dérèglement lui est même propre. Au défilé cérémonieux du 14 Juillet succéde le bal populaire débridé, le « ramdam » de la nuit musulmane compense le jeûne rituel de la journée, Carnaval n'existe que par rapport au Carême à venir. Les « fêtards » transgressent ainsi rituellement les normes de la vie sociale, en même temps qu'ils les respectent. « La fête, écrit Freud, est un excès permis, voire ordonné, une violation solennelle