Carre Noir Malevitch

s’éloignant, revenant… Et bien souvent, pour un peu qu’on s’attarde, on entend autour de nous d’autres spectateurs : « Tu vois, ce tableau, c’est une œuvre de la Renaissance. Et cette forme que tu vois ici, cela signifie… », « Pffffff ! Un carré jaune dans un carré noir ! Non mais franchement ! Ça n’a pas de sens ! », « Je ne comprends pas bien le message, je… ». Voilà. C’est dit. « Je comprends… / Je ne comprends pas… » Tout est là. Que nous partagions ou que nous souriions de telles réactions, il n’en

polémique, la preuve en est que nous sommes en train de disserter dessus. Il est difficile pour certain de concevoir que le carré noir sur fond blanc de Malevitch comme une œuvre d’art à part entière car techniquement il n’y a aucun talent. Tous le monde serait potentiellement capable de reproduire cette œuvre. Ce sentiment est encore plus exacerbé dans des monochromes tels que carré blanc sur fond blanc. Mais c’est entre autre ce questionnement qu’impliquent ces œuvres qui en font des œuvres. Si ces

de donner une contraction du réel ou encore d'en souligner les "déchirures". KANDINSKY (Sans Titre date contestée mais probablement entre 1910 et 1913, Le Jugement Dernier 1912) DELAUNAY (Contraste Simultané : Soleil et Lune 1912-1913) MALEVITCH (Carré noir sur fond blanc 1913-1915) KUPKA (Plans verticaux 1912-1913) MONDRIAN (Composition en rouge, bleu et blanc 1937) -FAUVISME C'est un courant de peinture qui débute au début des années 1908. Le fauvisme est caractérisé par l'audace et la

la surface de la toile. De ce rayonnisme succèdera le suprématisme dont Malevitch rédige le manifeste théorique avec Maïakovski en 1913.La peinture se révèle alors comme pure sensibilité, fait esthétique autonome et libéré de tout fondement de représentation c’est une peinture sans objet, sans notion temporelle où l’objet et le sujet sont réduits au point 0, à la peinture pure (exemple : carré noir sur fond blanc de Malevitch) Les formes géométriques et les couleurs choisies prennent alors toute leur

Hatier ES : texte de Sartre p 483 b) Kasimir Malevitch Peintre de l’avant-garde russe, peintre-phare du XX° siècle : Des œuvres de plus en plus dépouillées jusqu’à ses trois dernières œuvres-icônes : « Carré noir sur fond blanc » (1913) ; « Carré rouge sur fond blanc » ; « Carré blanc sur fond blanc) (1918) ; après quoi, jeune encore (…40 ans), s’arrête de peindre et se consacre à son élaboration d’une théorie picturale : le suprématisme. Avec Malevitch, la peinture abandonne le domaine du sensible

formes géométriques de base: triangles, rectangles, carrés, cercles... Les couleurs utilisées par l'artiste restent tout à fait proches des couleurs primaires: rouge, jaune et bleu, en effet, il paraît que ces couleurs pures sont mélangées avec du noir ou du blanc afin de créer différantes tonalités de couleurs semblables, ces deux couleurs sont aussi utilisées. On remarque que lorsque deux couleurs se superposent la couleur change, il crée un effet de transparences. Le fond de la peinture est flou

de Praxitèle (1er art nu féminin de l’art grec), -400 | Vénus dite de « Milo », -100 | | | | | | | Céramique | Vases à décor marins, -2000 | Décors géométriques, -1050 | | | Apparition de scènes mythologiques, -600 : | Figures noires (début du siècle) par Exekias | Figures rouges (fin du siècle) par Euphronios | | | du bronze, -1500 à -750 | Dépôt d’armes (haches, poignards, pointe de flèches en bronze) | Torques en or | Rares perles en verre | Appartion de la fibule

Kandinsky, « Avec l’arc noir », 1912, huile sur toile, 189 x 198, MNAM, Paris. [pic] Bibliographie Ouvrages généraux La collection du Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, 1986. Dube, Wolf-Dieter, (traduction de l’anglais Léna Rozenberg), Les Expressionnistes, Thames & Hudson, Londres, 1996 (1972). Palmier, Jean-Michel, L’Expressionnisme et les arts, 2 vol., Payot, Paris, 1980. Sources Kandinsky, Wassily, Du Spirituel dans l’art

que l’attitude mentale du spectateur soit au centre, elle aussi, de ce phénomène. Artistes : Huebler, Barry, Yves Deloustal, Marcel Duchamp, Benjamin Vautier. En travaillant sur des figures géométriques déductibles les unes des autres (carré, rectangle, cône, etc.), sur des problèmes de volume, de surface. Ce qui caractérise l’art minimal est sa froideur et sa neutralité. Seules les opérations mentales et logiques qui conduisent à la mise en place de l’objet comptent. Artistes : Tony

agitera en Hélion les idées qui allaient le conduire vers l’abstraction. Les objets des natures mortes sont géométriquement décantés, il réduit la structure graphique surlignée, comme en cubisme synthétique, et utilise la même palette que Torres Garcia (noir et rouge). Torrès construit son tableau non pas en suivant l’ordre des choses, mais l’ordre de l’esprit ; le dessin n’est pas un contour, une boîte pour contenir la couleur, mais est un élément de force qui intervenait dans l’image, n’importe où, n’importe