Cartésianisme

période de « crise de la conscience européenne ». Elle se caractérise avant tout par une remise en cause du principe d’autorité au nom de la liberté de jugement, au nom de la tolérance et ceci dans tous les domaines de la pensée. Influence du cartésianisme. On parle du XVIII ème siècle comme le siècle de la raison ou le siècle des philosophes. Les Lumières c’est bien sûr le triomphe de la raison sur l’autorité et la superstition. C’est un climat d’optimisme dans la connaissance, grande foi. Concept

l’universel : la vérité n’y est plus alors que la vérité de cette langue-ci. Il ne saurait masquer enfin une forme larvée et dérivée de supériorisme ou même de racisme. En France, ce motif a un nom, le-génie-de-la-langue. L’ère classique y a associé un cartésianisme syntaxique, la séquence progressive et logique dans l’ordre des mots, jusqu’à l’ordre naturel des choses. Dans ce discours de l’essence, la clarté et la rationalité se déduisent des qualités du français qui en retour informe les qualités de l’esprit

donné. Métaphysique de la science moderne. Descartes, Spinoza, Leibniz Retour à la table des matières Que la métaphysique ait hésité d'abord entre les deux voies, cela ne nous parait pas contestable. L'oscillation est visible dans le cartésianisme. D'un côté, Descartes affirme le mécanisme universel : de ce point de vue, le mou¬vement serait relatif , et comme le temps a juste autant de réalité que le mouvement, passé, présent et avenir devraient être donnés de toute éternité. Mais d'autre

près de deux mille dossiers dont il soumet les données à une analyse par ordinateur et démontre que la meilleure hypothèse qui ressort de cette étude, reste sans contredit celle de la réincarnation. L’idéologie dominante conditionnée par un faux cartésianisme grotesque à force d’abus, s’est révélée une fois de plus inapte à capter le message. Tout est à repenser à l’heure actuelle dans une vision nouvelle qui ne s’agrippe plus à une conception réductionniste et nihiliste de l’homme, être de hasard,

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la

réalise en réalisant un type d'humanité, engagement toujours compréhensible à n'importe quelle époque et par n'importe qui, et la relativité de l'ensemble culturel qui peut résulter d'un pareil choix ; il faut marquer à la fois la relativité du cartésianisme et le caractère absolu de l'engagement cartésien. En ce sens on peut dire, si vous voulez, que chacun de nous fait l'absolu en respirant, en mangeant, en dormant ou en agissant d'une façon quelconque. Il n'y a aucune différence entre être librement

‘I think, therefore I am’, nor a rejection of arid rationalism, especially materialistic and mechanistic interpretations of human being, but instead an affirmative expression of the emotive life as the basis for the self.19 Wittgenstein’s anti-Cartesianism was hardly original. It is most likely that Wittgenstein was made aware, and perhaps first made aware of these objections, in his early reading of Schopenhauer. Objections to the Cartesian notion of the self are also to be found in Nietzsche (and

lancer dans l’étude du corps : - l’anatomo-physiologie et le savoir bio-médical coupent l’homme de son corps, envisageant le corps comme un « en soi ». C’est une représentation dominante du corps dans nos sociétés occidentales marquées par le cartésianisme. - à l’inverse, certains savoirs ne distinguent pas l’homme de son corps : les médecines populaires dans nos sociétés en donnent encore aujourd’hui un exemple. Les guérisseurs, les magnétiseurs, les barreurs de feu, les ostéopathes aussi plus

mais exemplaire. Son optimisme se voit dans les dénouements heureux. Même la mort du héros n’est pas déprimante (passage à l’immortalité). Cette conception de l’homme est liée à l’époque et à divers courants moraux : stoïcisme, christianisme, cartésianisme. L’art : les deux aspects principaux de l’art de Corneille sont :  L’éloquence : il y a des discours, des monologues délibératifs. Corneille possède toutes les qualités du grand orateur  Le lyrisme : il recourt à la poésie grecque, il veut

de grandes fêtes qui accueillent de nombreux spectacles artistiques comme des pièces de théâtres. Le renouveau catholique qui est la conséquence de la Contre-Réforme du XVIe et XVIIe siècle et la promotion de la raison et de la logique par le cartésianisme créent des valeurs d’ordre en en morale, en politique et dans la société. Ces valeurs seront propices à l’instauration de « règles » dans l’art. Caractéristiques Par de nombreux aspects, le classicisme reprend les valeurs défendues par l’Humanisme