Cartographie de la végétation

les variations de la structure du paysage le long du gradient et les variations de la structure du paysage à 600 mètres. Il semble que les variations des communautés d’oiseaux soient essentiellement liées aux variations de la qualité de l’habitat (végétation du bois). L’effet est totalement inverse pour les coléoptères qui sont sensibles aux capacités de cheminement et donc aux modifications de la structure du paysage à 600 mètres. Cette étude n’a pas été étendue aux micromammifères et aux lézards qui

circulaire dans le sens contraire des aiguilles d’une montre (fig. 3). Il pensait qu’il s’agissait là d’une forme d’adaptation nécessaire aux conditions écologiques difficiles. La Mache et autre rechercheurs (Jachmann 1991 et Niagité 1995 ) ont cartographié la route avec l’aide des informations fournies par les habitants du Gourma, mais aussi, dans le cas de Jachmann, en suivant la piste des excréments prélevés sur les transects le long du parcours des éléphants. Le suivi des éléphants par radiopistage

2 Niveaux de bruit et caractéristiques de terrain............................................................46 IV.2.1 Influence de la nature du sol ou « effet de sol » ..................................................46 IV.2.2 Influence de la végétation ....................................................................................48 IV.2.3 Influence de la topographie du sol .......................................................................50 IV.2.4 Niveaux sonores résiduels ........

autour d'un cours d'eau. Un cours d'eau présente: -un lit mineur dans lequel l'eau est en permanence située -un lit moyen soumis à de fréquentes inondation en raison des crues qui le recouvrent à un intervalle de plusieurs années et occupé par une végétation qui borde les rivières -un lit majeur qui n'est recouvert que lors de très rares inondations. a) -l'inondation par débordement direct: Dans ce cas le cours d'eau déborde et sort du lit mineur pour occuper le lit majeur et submerger la

des Ressources en Eau : Aujourd’hui et Demain. Dans cette table ronde, il y a eu trois communications sur l’utilisation des images satellitales sur la gestion de l’eau en Afrique du Sud , sur les besoins en données pour des indications sur la végétation, sur l’évolution du potentiel d’écoulement, sur l’humidité des sols, sur l’irrigation des terres, sur l’évaporation des sols, etc. en Namibie et sur les applications de la technologie spatiale sur la recharge des nappes souterraines au Nigeria.

touristiques et activités « normales ». L’eau devient alors un frein au développement du tourisme, certains pays doivent même aller chercher dans leurs « eaux fossiles ». - La végétation ➢ A la fois facteur d’attractivité et contrainte. ➢ Attractivité : beaux paysages, attrait naturel… ➢ Contrainte : la végétation participe aux équilibres géologiques, elle peut provoquer des catastrophes (glissement de terrain…) et subit l’érosion. Le fait de toucher à l’écosystème provoque des déséquilibres

combinées a une forte évaporation, l’aridité règne sur une majeure partie du Moyen-Orient. Elle est permanente en péninsule arabique, saisonnière ailleurs, sauf sur les rivages du nord de la Turquie et de l’Iran. L’aridité marque les paysages. La végétation se traduit par la précarité des écoulements et la pauvreté des sols, cela impose à l’Homme et à ses initiatives de dures contraintes. L’été compte de quatre à cinq mois secs et l’ensoleillement est considérable : plus de 3000 heures par an. La pluviosité

portées par l'intermédiaire de l'attelage à trois points. Le phénomène de labour peut dégrader les sols surtout s'il sont fragiles. La déforestation accentue également l'érosion. Comme il y a moins d'arbres, les pluies sont moins freinées par la végétation et donc ces pluies emportent l'humus. L'humus désigne la couche supérieure du sol qui absorbe l'eau. Cette couche est donc très importante en partie pour éviter les inondations. Les méthodes de culture ou d'élevage mal adaptés comme le surpâturage

canton. Merci également à Philippe Fallot, du bureau privé Le Foyard à Bienne, pour avoir partagé son temps et ses idées. Un grand merci à Nicolas Wyler, des Conservatoire et Jardin Botaniques de Genève, pour sa disponibilité et pour la carte de végétation du canton. Du Centre Universitaire d’Ecologie Humaine de l’Université de Genève, j’aimerais remercier Alain Dubois pour la mise à disposition des nombreuses couches d’information du SITG, François Bornicchia pour les interprétations satellitaires

par le bassin fluvial de l’Ogooué et recouvert sur près de 85% de son territoire par la grande forêt équatoriale, relativement plat et ouvert sur l’océan atlantique par un bassin côtier de 800 km de long sur 20 à 300 Km de large (Géographie et Cartographie du Gabon : Atlas illustré, 1983). Le territoire, délimité à 267667 km², comprend trois grands ensembles de relief : vieux socles (plateaux cristallins du Nord-Est, massifs montagneux du Chaillu, du Mayombe, et monts de cristal),vieux bassins