Cartographie des corridors biologiques

aussi Articles connexes Écorégion Écosystème Classification écologique des terres Biome Liste des formations végétales Écologie du paysage, biogéographie Arrêté préfectoral de biotope Habitat Directive habitats Écologie du paysage Cartographie des corridors biologiques Bibliographie Geneviève MASSARD-GUILBAUD, "De la « part du milieu » à l’histoire de l’environnement", Association Le Mouvement Social | Le Mouvement Social 2002/3 - N°200 ISSN 0027-2671 | pages 64 à 72 Lien externe [1] (http://www

aux lézards qui sont la proie des chats. La notion d’organisation du paysage, et pas seulement de la population, est fondamentale. Le paysage se décompose en tâches d’habitat, matrices moins favorables et corridors écologiques. Dans le cas du bocage, la prairie est la matrice, le bois est le corridor. Ce dernier sert d’habitat et d’élément de dispersion mais il constitue aussi une barrière pour certaines espèces (sangliers…). Je précise que les oiseaux ne doivent pas nécessairement bénéficier d’une

07030004,07030005,07030006,07030007,07030008 Description et intérêt du site Cette section de la corniche du Rhône forme une zone de transition entre les secteurs siliceux au nord et calcaires au sud. A ce titre, elle offre une grande diversité biologique et abrite diverses espèces de plantes (Cytise à longs rameaux, Gagée de Bohème…), d'oiseaux, de chauvesouris et de reptiles remarquables (Lézard hispanique…). C’est notamment le cas dans les gorges successives qui entaillent le massif. L’originalité

d’aménagement en milieu naturel dans le Canton de Genève Travail d’analyse et proposition d’aménagement en milieu naturel dans le Canton de Genève Le bois d’Humilly Equilibre entre volonté de protection et liberté de récréation Corridor écologique Salève-Plaine Corridor écologique Salève-Plaine Lucien Guignet et Sylvain Haederli Gestion de la Nature – Semestre 5 Table des matières Table des matières 2 Préambule 3 1) Contexte général du secteur « Salève-Plaine » 3 Situation actuelle :

plus ou moins envasés, qui sont répartis en isolats localisés dans les baies et les estuaires dans des zones peu profondes (0-20 m), et des peuplements de cirripèdes de substrats durs intertidaux, sont illustrés les réponses de ce compartiment biologique aux changements globaux observés depuis plus de trois décennies : pollution par hydrocarbures, changement sédimentaire, introduction d’espèces envahissantes, variation de température. Des revisites récentes de zones plus ou moins étendues (partie

Vergers 23 b. EARL Le Puits 24 c. GAEC Denoue 26 d. GAEC le Grand Moulin 27 e. Exploitation FORGERIT 28 f. Exploitation Patrick COUSSOT 29 2. Protocoles utilisés pour l’étude 30 a. Protocole carabe-limace 30 b. Protocole syrphe-puceron 31 c. Cartographie 32 III- Résultats et discussions 34 1. Résultats carabe-limace 34 a. Diversité et répartition des carabes 34 b. Liens carabes météorologie 39 c. Liens limaces-carabes-dégâts 41 2. Résultats syrphes-pucerons 43 WEBOGRAPHIE 47 RESUME 48

Molière 69960 Corbas Chargé d'Etude : Vincent GAGET Décembre 2011 Mise en page : Gilles BARNOUIN Suivi de l'évolution de la faune sauvage du plateau des Grandes Terres 2011 APUS décembre 2011 2SOMMAIRE I. Introduction P. 4 II. Zone d'étude P. 6 Cartographie de la zone étudiée III. Méthodologie P. 9 IV. Inventaire avifaunistique 2009- 2010 P. 10 1. Tableau récapitulatif des espèces observées entre 1999 et 2009 sur le plateau des Grandes Terres p.10 Graphique de l’évolution de l’avifaune sur le plateau

biologie de la conservation » ne manquent pas. Vague de fond des sciences écologiques amorcée dans les années 1980, portée et amplifiée par les vents du sommet planétaire de Rio de Janeiro (1992) et la ratification de la Convention sur la diversité biologique, la « biologie de la conservation », accompagnée de son fils spirituel (ou stratégique ?), le concept de biodiversité, ont changé la face de l’écologie, science de crise, pour reprendre l’expression de Michael Soulé. Science impliquée, donc science

Grosne amont est un réservoir biologique doté d’un classement « frayère » pour la truite fario encore présente. Cela concerne également la Mouge amont et la Petite Mouge pour les mêmes raisons. C’est pourquoi elles sont classées en liste 2. Par ailleurs ces secteurs possèdent encore des populations d’Écrevisses à pattes blanches propres aux rivières du secteur locales. Enfin la vallée de la Mouge aval possède un réseau bocager intéressant pour favoriser les corridors entre les secteurs boisés.

processus macroévolutifs : évolution d'une espèce, on regarde un continent. Échelle la plus petite : processus microévolutif : dizaine de milliers d'année. Les continents se sont déplacés. Le premier continent s'appelait le gondwana. Les crises biologiques majeures seront revues par la suite. 1.2) l'évolution de l'atmosphère 1.3) évolution des températures terrestres Lors des périodes de glaciations, les glaciers descendent vers l'équateur. Baisse des températures donne une augmentation de