Cas Bio Food

ans. Définir le marché Le marché du Fast Food dépend de la part des revenus des consommateurs consacrée aux repas extérieurs loisirs. Il est évident que si ceux-ci augmentent, le marché augmentera. La restauration rapide est donc un secteur qui progresse dans une conjoncture normale. Il est clair qu’elle est victime comme tout autre secteur d’éventuelles crises telle que crise alimentaire ou baisse du pouvoir d’achat. Le marché du Fast Food  se compose d’une multitude de concurrents de

rapide en France dans les années 1970, le marché a bien changé. L'heure n'est plus à la malbouffe mais bien au contraire à la recherche d'équilibre, d'alimentation saine et variée obligeant les mastodontes du secteur à innover (quitte à opter pour le bio !). L'objectif : répondre aux attentes des consommateurs du XXIème siècle. Un avenir radieux ? C'est bien connu : aujourd'hui, tout va plus vite. Y compris les repas, notamment les déjeuners, qui se prennent sur le pouce. Cette évolution de la société

le terme d’environnement. On va dans un premier temps analyser les facteurs susceptibles d’influencer le marché dans lequel nous opérons. |Facteurs Politiques et légaux |Normes et réglementations très présentes dans l’industrie de la Pet Food dans le domaine vétérinaire, de | | |l’étiquetage et de la publicité | | |Le recours aux OGM doit être signalé

PROJET PROFESSIONNEL TUTORE Master 1 Langues Étrangères Appliquées Spécialité Commerce International UFR Langues et Civilisations Les Cosmétiques Bio Pour Hommes en Norvège Sous la direction de Mme Sanchez et M. Richardson Justine PROD’HOMME Année Scolaire 2014-2015                                            AVERTISSEMENT     « L’Université Paris-Est Marne-La-Vallée n’entend porter aucune approbation ou improbation aux opinions

Présentation PowerPointComment la FoodTech révolutionne notre alimentation : analyse du cas Frichti Audit sémiologique et culturelREMARQUES PRÉLIMINAIRES 2 • POURQUOI LA MARQUE FRICHTI ? Nous avons pris l’initiative d’appliquer cette méthodologie à la marque Frichti, qui nous semblait intéressante à plusieurs titres : • C’est une marque jeune et ambitieuse, qui a besoin de bases solides pour se déployer • C’est une marque créative, qui a su développer une identité différenciante

III – Contexte de la consommation bio L'agriculture biologique est un mode de production agricole qui met l'accent sur la protection de l'environnement et la production d'aliments sains. Non seulement l'utilisation des produits chimiques de synthèse est interdite (engrais, herbicides, pesticides, fongicides), mais la production biologique repose en plus sur de grands principes, dont: • La préservation des sols et de la qualité de l'eau • L'élevage des animaux de façon moralement acceptable

par des «primes bio», c'est-à-dire des prix plus élevés par rapport aux produits alimentaires conventionnels). Une autre contrainte principale dans le court à moyen terme (un à trois ans) est le temps nécessaire pour achever la phase de conversion, ce qui signifie que la majorité de la surface enregistrée comme étant de production biologique au Royaume-Uni se trouve actuellement en conversion plutôt qu’en production. Enfin, les incertitudes sur le niveau futur des «primes bio» des produits biologiques

synthétique de chacune d’entre elles. Ce dossier permet également d’accéder à la base d’intelligence sectorielle du groupe Xerfi à travers le sommaire d’une sélection d’études. 1. Les grandes tendances : marché des produits biologiques, marché du convenience food, marchés de la minceur, produits régionaux, cuisine ethnique 2. Les circuits de distribution : circuits courts dans l’alimentaire, stratégies de différenciation dans la restauration, stratégies digitales des marques et enseignes dans l’alimentaire

procédés de production ou de conservation (pouvant faire appel aux technologies douces), en vue de conserver les qualités organoleptiques, d’accroître la durée de conservation des produits et de substituer les additifs (axe 2). 3. Le développement des bio-emballages à usage alimentaire réalisés à partir de ressources renouvelables et biodégradables (axe 3). 4. Le développement de filières d’industrie alimentaires durables, par une gestion durable des sous-produits et des intrants, par une efficacité

du livre devenu un « best seller » la Vérité sur les Cosmétiques de Rita Stiens4 grâce à l’émission Envoyé Spécial, diffusée sur France 2 fin 2005. Enfin, la dernière raison est mon intérêt et ma conviction personnelle que le marché de la cosmétique bio est un secteur porteur qu’il faut déloger de la perception désuète, confidentielle et onéreuse qu’en ont les consommateurs. L’observation terrain a joué un rôle clef puisque j’ai constaté, depuis peu, l’émergence de nouvelles marques en linéaire