Cas Biotech

cession d’actifs de propriété intellectuelle. Troisièmement, nous pouvons participer à des opérations de standardisation autour d’un brevet de l’Inria. Ensuite, cela peut prendre la forme de diffusion de nos logiciels en « open source », comme c’est le cas avec Scilab, un logiciel de calcul effectuer un transfert des travaux menésdansnotrecentredeLille.Les prospecteurs, eux, rencontrent des PME pour comprendre leurs attentes. Nous regardons alors si, parmi nos 170 équipes-projets, l’une d’entre elles

des matières premières aux produits finis et aux déchets. Ici le processus est perçu comme un écosystème : les déchets d’une unité deviennent les inputs d’une autre. Dans certains cas, les résidus d’une unité peuvent purement et simplement être utilisés comme matières premières pour une unité différente ; dans d’autres cas c’est la combustion de ces déchets qui produit l’énergie nécessaire au fonctionnement d’une ligne de production. Le développement durable est facteur de réduction des coûts. Lorsque

chimiques et réactifs Bisphénol A, la mélatonine et le diméthylsulfoxyde ont été achetés chez Sigma Chemical Company (St. Louis, MO, USA). D'agarose à faible point de fusion (LMP) et normal point de fusion d'agarose (NMP) ont été obtenus à partir Sangon Biotech Shanghai Co. Ltd (Shanghai, Chine). Ham milieu F-12 et IV collagénase ont été achetés de GIBCO (Grand Island, NY, USA). Polyclonal de lapin anti-SCP3 (ab15093) et monoclonal de souris anti-gamma H2AX (phosphore S139) (ab18311) ont été obtenus à partir

un mode de fonctionnement assez original. Il semble encore difficile de déterminer les facteurs qui différencient les souches virulentes des souches inoffensives. Il semble que des souches inoffensives puissent acquérir les facteurs de virulence en cas de contamination croisée par exemple. Les modes de transmission de patient à patient sont assez méconnus. Face à ce manque de connaissance, le personnel hospitalier doit cependant prendre des mesures pour protéger ses patients. Le choix de confiner

Pour en finir, les multinationales exploitant les mines australiennes tentèrent le même jeu avec l’actuelle première ministre, mais après négociation, les deux partis s’entendirent pour une taxe touchant 30% des revenus et non 40%.21Ainsi, dans ce cas le gouvernement a finalement gagné sa lutte contre les lobbys miniers, mais le tout en créant une énorme instabilité politique et économique pour les marchés australiens et planétaire. Pour répondre à la question du travail, dans cette situation, les

L’apparition de marchés technologiques, saluée dans le rapport, présente un inconvénient majeur dans la mesure où les brevets sont souvent plus intéressants quand ils appartiennent à des “appâts”. Lorsque les entreprises font faillite – comme c’est le cas de la plupart des jeunes pousses –, les brevets sont bradés en tant que derniers actifs. Ces brevets sont mis sur les marchés des brevets où ils peuvent être acquis parce que l’acheteur sait ou spécule qu’ils font l’objet d’atteintes par des tiers

Travaux de groupe • autour de publications, de cas, et en synthèse commune en fin de session – Echange Evaluation – Travaux de groupe lors de chaque session : 40 % – Journée d’étude de cas : 60 % ECP – IT – OSI - P2005 3 Organisation et systèmes d’information Introduction Forme – – – – – – Session 1 : • • • • • • • • • • • Organisation Systèmes d’information & entreprise Architecture des SI Fonction informatique Etude de cas Google eBusiness Introduction aux projets informatiques

plasturgie…) subissent, par effet domino, le ralentissement de l’activité de construction automobile depuis le 2ème semestre 2008. C’est un facteur de vulnérabilité important pour la région. La prise en compte des mutations technologiques à venir (cas de l’automobile et de l’évolution vers le véhicule électrique, par exemple) et de leurs impacts sur l’économie régionale sont un sujet à examiner avec attention, d’autant quand les décideurs sont des groupes dont le siège est hors région. Paradoxalement

sous ses meilleurs atours. Il y avait moins de 200.000 entreprises créées par an juste avant l’an 2000 ; au rythme actuel, on pourrait dépasser, une décennie plus tard, les 300.000. L’interprétation de ces chiffres est difficile, car dans beaucoup de cas, s’installer à son compte apparaît encore comme un choix contraint auquel on se résigne quand on a épuisé tous les moyens de retrouver un emploi salarié. Ce n’est pas une raison pour ne pas se réjouir de cette tendance de fond. En fait, aujourd’hui

différents biens. On ne repère que deux biens pour lesquels la croissance de la production industrielle en France est forte, sur ces dix ans : automobiles, équipements mécaniques ; la pharmacie n’est pas en mauvaise position. La perte de production, dans le cas de la France, est particulièrement importante pour l’habillement, le textile, l’informatique, l’électroménager. L’Allemagne montre une progression relative forte de la production pour l’automobile, les équipements mécaniques et électriques, la métallurgie