Cas Lafarge Question 3

ch Livre de référence: Simon H., Jacquet F. et Brault F. (2011), La stratégie prix, Dunod, 3ème éd. Evaluation: Contrôle continu Rapport à remettre lors de la dernière séance Présentation orale lors de cette séance Examen écrit Questions ouvertes Questions à choix multiple INFORMATIONS PRATIQUES Assistante: Sandra Marmoux Sandra.Marmoux@unil.ch Dates des séances: Vendredi 07 octobre Vendredi 14 octobre Vendredi 21 octobre Vendredi 28 octobre Vendredi 11 novembre Vendredi 09 décembre

? 3 SOMMAIRE Avant propos : - Les canaux en France : Quelle activité suscitent-ils aujourd’hui ? - Le canal de l’Ourcq : l’infrastructure publique au service du développement local I - Déclin de l’activité industrielle originelle sur les rives du canal de l’Ourcq 1) Changement de regard sur le canal : la technicité et les fonctionnalités du canal s’effacent au profit d’un cadre de vie et de bien être 2) Inconvénients de la voie d’eau et satisfaction des entreprises l’empruntant 3) Désuétude

Humaines, dans le paragraphe « Rémunération des Dirigeants ». Par ailleurs, conformément aux dispositions de l’article L. 225-100-3 du Code de commerce, les éléments susceptibles d’avoir une incidence en cas d’offre publique sont exposés dans la Partie 8 « Informations sur la Société et le capital », dans le paragraphe « Éléments susceptibles d’avoir une incidence en cas d’offre publique » du présent document de référence. Le présent rapport a été approuvé par le Conseil d’Administration du 29 août

d’investissements à M L T / PME (CM LT/PME) 5.3.4 Le crédit bail ou leasing A – Origines et réglementation B – Le crédit bail mobilier C - Le crédit bail immobilier D – Cas particulier du lease back E - Avantages et inconvénients du crédit bail 5.4 .Les crédits de fonctionnement 5.4.1 Les crédits par caisse A- les différents crédits par caisse 5.4.2 Les différents crédits finançant

Sandra Palméro & René Teboul Les causes et les conséquences de la crise financière asiatique sur la croissance, les échanges et l’emploi CEFI-CNRS Château Lafarge – Route des Milles 13290. Les Milles Tel 04 42 93 59 93 – fax 04 42 38 95 85 Email teboul@romarin.aix.univ.fr - sandra.palmero@caramail.com Les causes et les conséquences de la crise financière asiatique sur la croissance, les échanges et l’emploi ____________________________________________________________________________________________

de l’entreprise par ses partenaires Section 3 : L’approche de l’entreprise par les théoriciens § 1 - l’approche des juristes § 2 - l’approche des économistes § 3 l’approche des théoriciens de l’entreprise Section 4 : l’approche système Chapitre I : Les typologies d’entreprises Section 1 : La classification selon la taille ou analyse dimensionnelle § 1 - L’effectif employé § 2 - Le chiffre d’affaires § 3 - Les autres critères Section 2 : la classification

Cogema Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts Comptables Danone Deloitte & Touche École des mines de Paris EDF & GDF Entreprise et Personnel Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l'Homme France Télécom FVA Management IBM IDRH IdVectoR* Lafarge PSA Peugeot Citroën Reims Management School Renault Saint-Gobain SNCF Socomine* THALES TotalFinaElf Usinor *pour le séminaire Ressources Technologiques et Innovation **pour le séminaire Vie des Affaires (liste au 1 er février 2002) VERS UNE GESTION

http://www.fineprint.com Straté gie d’ entreprise1 : Sommaire Pré ambule 1. Introduction 1.2. 1.2. 1.3. 2. Analyse et dé cisions straté giques Le cadre gé né ral et les objectifs de l'analyse straté gique Du diagnostic àla formulation de la straté gie 3 4 4 6 8 10 12 15 19 26 26 26 26 28 29 30 31 34 36 40 40 40 41 41 43 45 48 49 53 54 56 59 61 Le diagnostic straté gique 2.1. 2.2. 2.3. L’identité de l’entreprise La segmentation straté gique L'analyse des systè mes concurrentiels 2.4. L’analyse

secret du roi Attentif à ses intérêts, Hassan II a toujours veillé à ce que la famille royale – et d’abord lui-même – bénéficie de revenus financiers conséquents. Mais, omniprésent dans le champ politique, il se désintéressait fondamentalement des questions économiques. Son successeur, lui, demeure une véritable énigme politique : inexistant sur la scène internationale, souvent absent de la scène intérieure, il n’a jamais accepté d’être interviewé par un journaliste marocain, n’a jamais accordé la

cadre, rien n’est imposé. C’est une méthodologie qui doit être adaptée aux innombrables cas particuliers résultant de l’activité, de la taille et de l’organisation des entreprises concernées. Bien qu’étant dans la même ligne, cette nouvelle édition apporte des améliorations considérables au cadre de référence de 2007. Elle tient compte de l’évolution législative et règlementaire intervenue depuis 2007. La loi du 3 juillet 2008 et l’ordonnance du 8 décembre 2008 ont transposé en droit français les directives