Cas Pratique Droit Du Credit

assez variable selon les pays, il serait intéressant d’analyser plus spécifiquement le cas de la France. Nous étudierons dans un premier temps les raisons pour lesquelles le banquier est soumis au secret professionnel, ensuite nous décrirons de quelle manière ce secret est mis en œuvre et enfin nous constaterons l’existence de nombreuses exceptions à ce secret. I/ Les raisons II/ La mise en œuvre III/ les cas de rupture de secret I/ Les raisons I.1 Les raisons d’ordre privé Le banquier détient

laquelle l’un s’oblige à livrer une chose et l’autre à la payer. 3 éléments : une chose qui doit être donnée, un prix à payer et enfin, un accord à trouver. La vente est une convention. Quand une chose doit être donnée, on parle d’un droit réel, différent de droit personnel. C’est juste la différence entre une vente et une location. S’il y a une remise de la chose sans paiement du prix, on appelle ça une donation. On distingue le contrat de dépôt. La formation de la vente Des

Droit Des Suretés Introduction La notion de sureté renvoie à un mécanisme qui ajoute à la créance une sécurité destinée à réduire le défaut de paiement. Il y a sur le plan étymologique même un lien entre notion de sureté et sécurité, le créancier qui doit être payé à terme a besoin d’une sécurité, de s’assurer que sa créance sera réglée à terme. Lorsqu’un paiement est immédiat, bien entendu il n’y a pas de problème, la sureté n’est une nécessité qu’en cas de paiement à terme, par exemple

Plan Introduction I- Du droit de faire marche arrière : Le droit de rétractation des consommateurs. 1- Des vertus de la loi 31-08 concernant le droit de rétractation 2- Des effets de la rétractation II- Le droit de rétractation et la théorie générale des obligations. 1- Des exceptions apportées à l’article 230 du D.O.C. 2- Des limites et des conditions d’exercice des exceptions à l’article 230 du D.O.C Conclusion Bibliographie Introduction Jadis le contrat était et a toujours été considéré

DIFFERENTS PRODUITS D’ENDETTEMENT Crédits à court terme Les conventions de crédit Notion de crédit Il y a crédit au sens large dès lors qu’une personne accepte que son cocontractant diffère dans le temps l’exécution des prestations dont il est débiteur à son égard quelque soit la nature de ces prestations. Compte tenu de la pratique, on ne peut plus limiter l’opération de crédit à un simple contrat et dans beaucoup de situations, l’opération de crédit est la conséquence d’un ensemble de

Bâle II Les normes Bâle II (le Nouvel Accord de Bâle) constituent un dispositif prudentiel destiné à mieux appréhender les risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ces directives ont été préparées depuis 1988 par le Comité de Bâle, sous l'égide de la Banque des règlements internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I en 1988 et

UNIVERSITE JEAN MONNET SAINT-ETIENNE FACULTE DE DROIT LE TRAITEMENT DU CONTENTIEUX BANCAIRE Thèse pour le doctorat en droit privé de l’université de Saint-Etienne (loi du 26 janvier 1984 – arrêté du 7 août 2006) tel-00700056, version 1 - 22 May 2012 Présentée et soutenue publiquement le 24 mars 2011 Par ERIC NEMADEU DJUITCHOKO Sous la direction de M. Pascal ANCEL Professeur à l’université de Saint-Étienne Jury : M. Pascal ANCEL Professeur à l’université de Saint-Etienne M. Hervé CAUSSE Professeur

 Traitement fiscal Préambule juridique  1-Support fiscal  Droit commun  Note circulaire 669 (Convention DGI / GPBM du 3 décembre 1984) : Projet  2-Supportcomptable  Taux de l’IS appliqué aux banques  Taux de TVA  I- Cas d’ordre pratiques en matière d’IS 1- Provisions pour créances en souffrances rejetées 

cette vente est entièrement régie par le droit civil ; 2 La vente d’un commerçant à un particulier, ou d’un particulier à un commerçant (vente à caractère mixte) : le particulier demeure protégé par le droit civil, tandis que le sort du commerçant est aggravé par les règles du droit commercial ; 3 La vente entre commerçants (vente commerciale au sens strict) : le droit commercial déroge sur plusieurs points au droit commun que constitue le droit civil (=le droit commercial qui s’applique). Ci-après

15/10/14 Anastazja Czerkies 4 cas pratiques Le cas numéro 1. La situation de Monsieur Jean conduit à envisager le cas de taxe d’intérêt d’un crédit qui s’étale sur 10ans. Il y a quelques mois, Monsieur Jean a contracte un crédit pour financer le local dans lequel il a ouvert la galerie d’art. Avant, le taux d’intérêt était de 4%. Le 1er octobre dernier, une loi est venue élever le taux d’intérêt à 5,5%. L’article 2 du Code civil indique que la loi n’a point d’effet rétroactif. Alors, si Monsieur