Casimir Perier

élections complémentaires du 8 juillet suivant, où, soutenu, par l'Union de la presse parisienne, il devint député de Paris. Il alla siéger alors au centre gauche et ne cessa d'appuyer de ses votes la politique de Thiers. Lorsque, en novembre 1872, Casimir Périer provoqua une scission dans le centre gauche et créa la réunion dite de la République conservatrice, il fit partie des membres qui constituèrent cette nouvelle portion de l'Assemblée. Il fut nommé président de la commission chargée de réorganiser

vote, et d’accéder à l’élection (200 francs pour être électeurs, et de 500 francs pour être éligibles). On observe que le régime parlementaire commence à se mettre en place et à se consolider, et notamment dans la pratique, puisqu’en 1831, il (Casimir Perier) est appelé à former un gouvernement, et va se comporter en véritable chef, et cela va conduire à écarter Louis Philipe des décisions ministérielles, et il va aller jusqu’à défendre sa politique devant les chambres, il va aussi inaugurer la pratique

ces hommes tout au long de leur vie. Pour les fils du manufacturier isérois Claude Perier qui ont fondé la banque Perier à Paris, la prospérité des affaires rime avec l’accès aux plus hautes fonctions publiques sous la Restauration : l’aîné, Augustin, qui a repris la fabrique de toiles de son père à Vizille, est ainsi président du tribunal de commerce de Grenoble et député de l’Isère à partir de 1826, tandis que Casimir est député de la Seine depuis 1817, régent de la Banque de France à partir de 1822

le nom de sœur Marie-Françoise, mais continue a écrire. 1872 : Son veuvage et l'effondrement consécutif des ventes de ses livres l’oblige à vendre Les Nouettes et à se retirer à Paris, au 27, rue Casimir-Périer, à partir de 1873. 1874 : elle y meurt à 75 ans, entourée de ses enfants et petits-enfants d. Son ambition à écrire l’œuvre A cause ou grâce à l’absence de son mari, la comtesse de Ségur reporte toute

Louis-Philippe Ier, roi des Français. -14 août 1830: Charte constitutionnelle (pacte, initiative des lois partagée, cens abaissé, Parlement renforcé) Monarchie de Juillet (9 août 1830 24 février 1848) Louis-Philippe Ier -mars 1831-mai 1832: ministère Casimir Périer; gouvernement fort. -1833: création de lʼenseignement primaire public -1836: ministère Thiers, renversé par le roi. -1836-1839: ministère Molé, fidèle au roi. -1840-1847: ministère du maréchal Soult -loi du 11 juin 1842: établissement des grandes

Louis-Philippe a bien été poussé sur le trône par les barricades de 1830, mais il doit son titre aux bourgeois, entre autre aux députés de l’opposition libérale sous Charles X et à la nouvelle commission municipale (avec les banquiers Jacques Laffitte et Casimir Périer). De fait, il devient incontestable qu’il y a eu une victoire de la bourgeoisie sur l’aristocratie, ce qui permet à la bourgeoisie de conquérir le pouvoir législatif. En effet, sous Louis-Philippe Ier la Chambre des Pairs n’est plus héréditaire

d’une réelle popularité liée à son passé. Il apparaît donc comme un roi-citoyen libéral, ni rétrograde ni révolutionnaire. Dès le départ précipité du roi Charles X et à l’instigation d’Adolphe Thiers, de La Fayette, de Jacques Laffitte et de Casimir Perier, la lieutenance générale du royaume lui est proposée (30 juillet). Pour l’avoir acceptée, le 31 juillet, Louis-Philippe est solennellement présenté au peuple de Paris depuis le balcon de l’Hôtel de Ville. Ce « couronnement populaire », judicieuse

faire face à plusieurs crises qui auraient pu renverser la République. De plus, durant un laps de temps très court se sont succédés de multiples hommes au poste de président de la République, et ne restaient guère longtemps. Par exemple, Jean-Casimir Perier, républicain modéré remplaçant Sadi Carnot (assassiné le 24 juin à Lyon par l’anarchiste italien Caserio) démissionne six mois et dix-huit jours après son élection. Mais à partir de 1901, la République s’installe véritablement au pouvoir,

République « La Présidence de la République, dépourvue de moyens d’action et de contrôle ne peut puiser que dans la confiance de la nation la force morale sans laquelle elle n'est rien  ». Cette phrase tirée de la lettre de démission de Jean Casimir-Perier, Président de la République de juin 1894 à janvier 1895, nous montre bien que le Président ne dispose en réalité d’aucun pouvoir réel. En effet, bien qu’il semble disposer de pouvoirs étendus sous la III° République, ceux-ci vont être neutralisés

inéluctable. Partisans d’un roi qui règne sans gouverner. Journal Le National. Pour la résistance, anciens députés libéraux de la restauration (Thiers, Guizot) 1830 pt d’arrivée = pas de modification politique nécessaire. Journal des Débats. Chef Casimir Perier « La Charte, toute la Charte, rien que la Charte ». Entre les deux, poignée de députés indécis (le Tiers Parti), emmenés par l’avocat Dupin. Position qui les rend indispensable lors des coalitions ministérielles. Préfiguration des petits partis