Casimir Perier

chargée de proposer une loi constitutionnelle. Celle-ci fut cependant durant toute l’année 1874 pratiquement paralysée du fait de la peur d’inscrire de manière définitive le principe républicain dans la constitution. Lorsque le député modéré Casimir Perier dépose un amendement en ce sens, cet amendement est repoussé. La commission parvient à mettre en discussion un projet en janvier 1875 seulement, en insistant encore sur le caractère non définitif de la solution retenue. Mais le 30 janvier 1875

orléanistes rejoignant les légitimistes, et cinq gouvernements se succèdent de 1893 à 1896. Cette instabilité gouvernementale se double d'une instabilité présidentielle : au président Sadi Carnot, assassiné le 24 juin 1894, succède le modéré Jean Casimir-Perier qui démissionne le 15 janvier 1895 et est remplacé par Félix Faure. Suite à l'échec du gouvernement radical de Léon Bourgeois en 1896, le président nomme Jules Méline, homme du protectionnisme sous Ferry. Son gouvernement prend acte de l'opposition

puisque c’est la chambre des députés qui lui a conféré sa fonction. Cette question de légitimité annonce au sein de l’opinion libérale une fracture durable entre deux tendances : le parti de la résistance ou de l’ordre ss l’égide François Visot et Casimir Périer qui désire figer l’Histoire dans un Etat terminal et le parti du mouvement (Barrot) hostile à toute personnalisation du pouvoir et qui ne voit en 1830 qu’un point de départ vers de plus amples réformes. Après un bref intermède, le parti du mouvement

catholiques français se rallient à la République : après la laïcisation, le processus de ralliement semble enclenché. De ce fait, la République offre une reconnaissance à cette Eglise qui semble avoir commencé à l’accepter, en minorité certes. En effet, Casimir Périer, à la tête de la Chambre des Députés inaugure en 1893 l’ère de « L’esprit nouveau », qui consiste à considérer l’Eglise avec davantage de tolérance, au vu de l’étape franchie par Léon XIII dans l’acceptation de ce mode d’organisation de l’Etat

français soupçonné d'espionnage au profit de l'Allemagne. Décembre : Dreyfus est condamné à la déportation. 1895 [modifier&action=edit&section=26)] Article détaillé : 1895 en France. 15 janvier : démission du président Jean Casimir-Périer. Félix Faure est élu président de la République le 17. ler octobre : traité de protectorat sur Madagascar. Création de la CGT (Confédération générale du travail). 1896 [modifier&action=edit&section=27)] Article détaillé

Modène, François IV doit s'enfuir, il en est de même pour la duchesse Marie-Louise à Parme. Le 26 février, une assemblée des délégués des régions révoltées proclame les Provinces Unies d'Italie mais le nouveau gouvernement français présidé par Casimir Périer (mars 1831) retire son soutien aux Italiens, laissant la voie libre à une intervention autrichienne. Les ducs sont rétablis sur leurs trônes. Des révolutionnaires, dont Menotti, sont exécutés. À Rome, le pape Grégoire XVI et le cardinal Bernetti

cause républicaine à cause des agissements de son gendre mais le procédé a été aussi employé pour contraindre Casimir Périer dont on redoutait l'autoritarisme et qui n'a pu tenir que 6 mois à l'Élysée parce qu'il avait été mis en quarantaine, on ne les communiquait plus aucune des pièces importantes, ni les dépêches des ambassadeurs, ni les rapports des préfets et en pleine déprime, Casimir Périer a démissionné en déplorant officiellement que le président de la république ne soit qu'un maître des cérémonies

monarchie de Juillet, ppalement pendant les périodes de crise auxquelles il ne parviendra jamais à faire face. Ensuite le second parti : le parti « de la Résistance » (centre droit échiquier politique de cette époque). Dirigé par des hommes comme Casimir Périer, le Duc de Broglie, et François Guizot. La charte de 1830 est un point d'aboutissement selon eux donc inutile de le changer : ils s'opposent donc à toutes réformes qu'elles émanent de la droite ou de la gauche. Leur objectif est de maintenir l'ordre

seulement organiser les pouvoirs d'un seul homme, Mac-Mahon ; les républicains défendent le second, qui vise à établir pour un temps indéfini une institution, celle de « président de la République[14] ». Une proposition est ainsi déposée par Jean Casimir-Perier en juin, rejetée, par de faibles majorités toutefois, car elle contient une formulation trop provocante pour les monarchistes : « le gouvernement de la République se compose de deux chambres et d'un président[13],[12] ». Le 30 Janvier, la Commission

« Soumis avec sincérité à la grande loi du régime parlementaire, je n’entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale, exprimée par ses organes constitutionnels ») o Mais en 1894 : déplacement à droite confirmé avec l’élection de Jean Casimir-Perier (orléaniste rallié) o Position de la gauche pendant l’affaire Dreyfus : la plupart des radicaux + peu de socialistes (car la plupart ne se sentent pas concernés) sont « dreyfusard » o Les dangers courus par République + crainte de