Cass Civ 1er Juillet 2010

Cours de droit des obligations, licence 2, 2010-2011 Pr. D. Mainguy BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE A. Bénabent, Droit civil, Les obligations, Montchrestien, 10ème éd. 2005. Ph Brun, Responsabilité extracontractuelle, Litec, 2005. R. Cabrillac, Droit des obligations, Dalloz, Coll. « Cours », 6ème éd., 2004. Ph. le Tourneau, Droit de la responsabilité et des contrats, Dalloz, 2006. J. Carbonnier, Droit civil, Les obligations, 18 ème éd.1998. E. Chevreau, Y. Mausen et C. Bouglé, Introduction historique

Le second peut être tiré des modes de réalisation du vol. a. - Fondement général 15. Protection des immeubles par le droit civil. - Le vol figure sous un titre du code pénal intitulé « Des appropriations frauduleuses » (C. pén., livre III, titre 1er) et, on le verra, il peut se commettre en usant sans droits de la chose d'autrui (sur le vol d'usage, V. infra, no 166 et s.). A priori donc, un vol par usage sans droits de l'immeuble d'autrui est concevable. Toutefois, la propriété immobilière n'est

défavorables à la lex mercatoria. Le droit positif a été assez timide pour la juridicité de la lex mercatoria. On soulève souvent la jurisprudence rendue en matière d'arbitrage. On s'est demandé si l'arbitre statut en droit ou en équité. Cass Valenciana 22 octobre 1991 Civ 1ère : l'arbitre qui appliquait la lex mercatoria avait statué en droit. Contre la lex mercatoria : la convention de Rome prévoit les règles en matière de loi applicable au contrat empêche le choix de la lex mercatoria. Les arbitres

qu’il existe des liens entre les différents contentieux et qu’il y a des différentes aussi. Par conséquent, il semble intéressant de mettre en évidence ces règles, procédures et liens. C’Est-ce que ce propose de faire le droit processuel. • 1er objectif: conforter, perpétuer ce qui rapproche ces procédures • 2e: tenter d’effacer, de gommer les différences qui paraissent les moins insurmontables ou tenter de mieux les expliquer ou de mieux les fonder En définitive, il s’agit de faire

question de savoir comment remédier à cette insécurité. L’écrit en a été la réponse. La jurisprudence acceptait parfois les écrits fournis par les parties alors même qu’aucun texte ne régissait leur régime. C’est pourquoi le décret n° 2010-1165 du 1er octobre 2010  a été adopté et a eu pour objet la consolidation des écrits des parties dans le cadre des procédures orales. L’évolution du droit judiciaire a-t-il conduit au déclin des principes directeurs des procédures orales ? Nous allons voir

mariage (ex : un homme pas encore divorcé pouvait passer un contrat de mariage). Une fois marié le RM était immuable. Ainsi certains ont pu divorcer pour se remarier et ainsi changer le RM. Les choses ont évolué en trois temps : * Loi du 13 juillet 1965 : maintient à l’art 1396 le principe d’immutabilité du RM (une fois choisi on ne bouge plus) mais assouplit l’art 1397 en reconnaissant la possibilité pour les époux, passés 2 ans d’application du régime, de changer le RM dans l’intérêt de la

2289 Code Civil : Le cautionnement ne peut exister que sur une obligation valable. Si le contrat ayant fait naitre l’obligation principale est nul alors caducité du cautionnement. ------------------------------------------------- 2290 alinéa 1er : le cautionnement ne peut point excéder ce qui est dû par le débiteur ni être contracté sous des conditions plus onéreuses La caution est obligée au paiement de la dette du débiteur principal. Il y a unicité de la dette. Il se « soumet à satisfaire

Californie, et ont recours à une mère porteuse. L’enfant né, et ils reviennent en France avec l’enfant et des actes civils américains. Ils demandent que ce soit transcrit dans les registres français. Est-ce que le pb est le mm que la 1ère hyp ? La cass a dit que cette situation ne peut pas être connu car contraire à l’ordre public international français. §1. L’objet du DIP. Le DIP porte sur l’ensemble des règles applicables aux pers privées impliquées dans les relations juridiques internationales

B) Choses consomptibles, et choses consomptibles Distinctions reposent sur les conséquences physiques résultant de l’utilisation de la chose. 1) Choses consomptibles  Ce sont des choses qui se consomment, utilisée au 1er usage. L’usus se confond avec l’abusus. Ce qui entraine soit la destruction de la chose soit son aliénation. Ex de chose consomptible : un paquet de spaghetti, en l’utilisant on le mange, les combustibles, on s’en sert, on consomme. Essentiellement

l'art 515-8 : " le concubinage ... " . Cet article a une histoire et une seule utilité c'est qu'il illustre le rapport en la législation et la jp , la législation peut combattre une jp injuste ou contraire la légiférer . Le 17 dec 1997 , la ccass 3ème civ avait rendu un arrêt de rejet qui avait été approuvé par la doctrine . La ccass rejette un pourvoi formé contre la CA de Paris qui avait donné gain de cause au bailleur pour expulser le concubin de locataire décédé qui voulait continué a vivre dans