Cass Civil 16 Novembre 2010

il faut protéger son corps. C’est le choix du droit français aux articles 16 et suivant du code civil : loi qui va poser des principes directeurs dans le code civil, assimilation du corps de la personne vivante à la personne elle-même. Cette consécration se fait par ailleurs par la primauté des personnes sur les choses. 2) La primauté de l’Homme sur les choses Atteintes au corps humain. Article 16 du code civil : la loi assure la primauté de la personne, l’essentiel du chapitre est consacré

enfant des droits spécifiques. *: la Convention Internationales des Droits de l’enfant du 20 novembre répertorie les droits qui doivent être accordés aux enfants. Parallèlement à l’apparition des droits de l’enfant, on a vu apparaitre un droit spécifique aux mineurs délinquants. Mineur en danger et mineur victime. A côté du mineur délinquant,: le mineur en danger et le mineur victime. C’est le droit civil : mineurs en danger : le juge des tutelles en vue de la protection de son patrimoine. Pour

Introduction au droit de la responsabilité civile Section 1 – La notion de responsabilité civile Paragraphe 1 – La responsabilité, source de droits A – La responsabilité civile, un rapport d’obligation Définition de la responsabilité civile : la responsabilité civile est un rapport d’obligation et une source de droit. Comment peux-t-on dire cela ? Il suffit d’ouvrir le Code civil. On va en effet travailler sur les articles 1382 à 1386 du Code civil. Pourquoi c’est un rapport d’obligation

serait remarquable, puisque l’adage serait alors étendu à l’illicéité. En plus des restitutions, la nullité d’un contrat peut être source d’une action en responsabilité civile délictuelle. Si l’un des contrat a été annulé, le contractant de mauvaise foi (qui connaissait les raisons de la nullité) peut engager sa responsabilité civil délictuelle et peut être tenu au payement de D&I si la nullité a causé un préjudice à son cocontractant. Cette solution, jurisprudentielle, serait consacrée par le projet

enceinte). Par la suite la jurisprudence reprend les notions d’impossibilité absolue et d’impossibilité relative en effet, dans une seconde période, la chambre criminelle admet la répression sur le terrain de la tentative. Dans l’arrêt Fleury, du 9 Novembre 1928 : une manœuvre abortive est pratiquée sur l’employé de maison des Fleury : les moyens étaient inopérants, mais les époux Fleury seront condamnés : «L’impossibilité du résultat n’a été qu’une circonstance indépendante de la volonté des auteurs

Semestre 3- Droit des obligations Semestre 3-Droit des contrats Reda Nciri Semestre 3- Droit des obligations Page sur 1 69Semestre 3-Droit des contrats Reda Nciri Mardi 14 septembre 2022 Partiel et galop : - Galop semaine du 14 novembre, commentaire d’arrêt (pas de choix) - Partiel cas pratique ou commentaire d’arrêt - Notes Galop 50% de la note de TD 2 exam durant les TD 3ème note interro surprise (arrêt de la fiche de TD on nous demandera d’expliquer la portée ainsi que la valeur + note

§1 – Classification d'après l'objet de l'obligation L'objet de l'obligation désigne ce à quoi le débiteur est tenu envers le créancier . Selon le Code Civil, cet objet peut consister à donner, à faire ou à ne pas faire. Dépassant les textes du Code Civil, la doctrine contemporaine et la jurisprudence a dégagé deux autres distinctions qui sont : • l'obligation de moyen et de résultat : on parle de l'intensité de l'obligation • l'obligation pécuniaire et l'obligation en nature A. L'obligation

première fois les règles du transport internationaux. 1924 la première loi française concernant l’aviation civile. 1929 Convention de Varsovie qui ne sera amendé qu’en 1999 avec la Convention de Montréal sur le droit des victimes et des usagers. 1944 Convention de Chicago car elle crée l’OACI, organisation de l’aviation civile internationale. 1953 et 1955 création du Code de l’aviation civile. Le droit du transport évolue avec les grandes dates historiques mais aussi avec les grandes dates économiques

dans chaque droit national des solutions. Chaque pays va apporter sa réponse et sa solution dans sa méthode. Si on regarde le droit international privé français, il a peut de source législative. En effet, l’article fondateur est l’art 3 du Code civil qui dispose que « al 1 : les lois de police et de sûretés obligent tous ceux qui habitent sur le territoire. Al 2 : les immeubles même ceux possédés par des étrangers sont régis par la loi française. Al 3 : « les lois concernant l’état et la capacité

Autre question, au période antérieure à l’entrée en vigueur de la loi nouvelle : La loi nouvelle s’applique à certaines situation antérieures à son entrée en vigueur, ou bien, s’applique-t-elle à aucune d’entre elle? Sur ces deux sujet le Code Civile ne dit pas grand-chose, , mis à part l’ART2 ‘’La loi dispose que pour l’avenir, elle n’a point d’effet rétroactif’’ mais ce n’est qu’un point de départ car la réponse est incomplète, et de plus, on peut déroger à ce principe. Comme on sait? On regarde