Cass Com 8 Octobre 2002

scientifiquement constatées seul l’être humain est à prendre en considération. Distinction entre personne et chose, entre objet de droit et sujet de droit, problème du statut de l’animal. Animal reste un bien dans société archaïque : animaux punis 15 octobre 1958 UNESCO : déclaration des droits des animaux pour assurer leur protection de la cruauté des Hommes Remise en cause de cette distinction traditionnelle entre chose et personne avec les progrès et transformations prodigieuses de la médecine et

pouvoir judiciaire qu’est apparue la nécessité de séparation des pouvoirs. L’article 5 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen du 26 aout 1789 dispose que « tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché ». L’article 8 dispose donc que « nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement ». A coté du principe de légalité apparaissent donc des corollaires, dont fait partie le principe de non rétroactivité de la loi pénale. Le premier

place de la volonté des associés par l'introduction dans les statuts de la loi de la majorité. Il faut attendre 1891 pr que la personnalité morale soit enfin reconnue à la société. C'est un principe posé par un arrêt de la chambre des requêtes de la Cass du 23 février 1891. la haute juridiction dans cet arrêt a énonce qu'« il est de l'essence des sociétés civiles aussi bien que les sociétés commerciales de créer au profit de l'individualité collective des intérêts et des droits propres distincts des

juin 2004 est ainsi venue apporter trois grandes innovations ayant trait réciproquement à l'augmentation de capital, à l’unification du régime des valeurs mobilières composées et à la création des actions de préférence. Le nouvel art. L. 228-11. c. com. dispose ainsi que « lors de la constitution de la société ou au cours de son existence, il peut être créé des actions de préférence, avec ou sans droit de vote, assorties de droits particuliers de toute nature, à titre temporaire ou permanent ».

droit financier Direction des Affaires Juridiques Société Générale Année universitaire 2002-2003 « LE DEMARCHAGE FINANCIER : BILAN ET PERSPECTIVES » MEMOIRE DE HAROUN BOUCHETA AVANT-PROPOS En premier lieu, je tiens à remercier Monsieur le Professeur Alain SERIAUX, Directeur du DEA de droit des affaires de l’Université Paris XII, pour m’avoir donné l’opportunité de faire partie de la promotion 2002-2003 du DEA, ainsi que pour avoir contribué à la création du site internet de l’Association

d’intérêts et comment ces derniers régissent le domaine de la prévention. 1.1. Ce que prévoient les textes pour les associations ou organisations non gouvernementales (ONG) Le Service central de prévention de la corruption avait, dans son rapport 2002, abordé le problème des dérives dans le monde associatif. Le développement qui suit vient compléter cette analyse en abordant le problème du conflit d’intérêts dans ce domaine. En ce qui concerne les associations, les statuts sont là pour mettre en

même développée par Nietzsche, devoir éthique de répondre explicité par Jonas... ou obligation de répondre, évoquée par Ricoeur. Dans la pensée de ces philosophes contemporains, la responsabilité a donc consubstantiellement la couleur de l'avenir (8), celui de l'homme pour Nietzsche, celui des hommes pour Jonas et Ricoeur. Et c'est dans la pensée de ces derniers, suivis par des auteurs de plus en plus nombreux, qu'apparaît le plus radicalement le point de rupture qui se produit lorsque le concept

Premier ministre se reconnaît, donc des règles non écrite sur l'équilibre sont nés comme en Angleterre, le président peut choisir son premier ministre ke dans la majorité à l'assemblée, de même le président peut le forcer a présenter sa démission art 8 pas pareil. Règle non écrite ki vient s'ajouter, elle a conforter le leaderchip présidentiel, mais pas pareil pour la cohabitation -la constitution ici est neutraliser, une application plus littérale par le texte, les présidents acceptent leur neutralisation

395 du COCC abrogé et de la loi n° 77/85 du 10 Août 1977 annule toute vente de fonds de commerce non formalisée par écrit (Cass. civ. 17 juillet 2002, Youniss/SGBS). Immeuble immatriculé : Est frappé de nullité absolue l’acte de vente d’un immeuble immatriculé qui n’est pas passé par devant notaire (CA Dakar, arrêt n° 91 du 25 février 1983, confirmé par CS, arrêt n° 1, du 8 janvier 1986, EDJA, sept-oct. 1987, p. 15). De même, la vente n’est plus consensuelle dès lors qu’elle fait suite à une décision

ARGOUD SEANCE N° 3 - LES VICES DU EANCE N CONSENTEMENT (1) : L’ERREUR L ERREUR SOMMAIIRE OMMA RE I.  LES DIFFERENTS TYPES D’ERREUR A.  LES ERREURS NON SANCTIONNEES 1.  LES ERREURS INDIFFERENTES Civ. 1 , 13 février 2001 : erreur sur les motifs Com., 18 février 1997 : erreur sur la valeur 2.  L'ERREUR INEXCUSABLE Civ. 1ère, 16 décembre 1964 : l’erreur grossière est inexcusable Civ. 3ème, 21 février 2001 : le dol chasse l’inexcusable B.  LES ERREURS SANCTIONNEES 1.  L'ERREUR-OBSTACLE Civ. 3ème