Cass Crim 27 Janvier 2010

TD8 intro PP - copieTD8 PROCÉDURE PÉNALE Commentaire d’arrêt : Cass. ass. plén., 7 nov. 2014, n°14-83.739 : La prescription qui serait adossée sur le seul temps écoulé depuis les faits serait- elle autre chose qu’abandon par la justice de ses devoirs, indifférence et déni d’une reconnaissance des victimes ? C'est ainsi que se questionnait Xavier Salvat sur la question de la prescription de l’action publique. La jurisprudence a créé par ailleurs des exceptions qui complexifient le régime de

la commémoration d'un événement. Hormis le 1er mai qui fait l'objet d'un régime particulier, sont considérés comme des jours fériés aux termes de la législation française en vigueur (article L 3133-1 du Code du travail) : • le jour de l'an (1er janvier), • le lundi de Pâques, • le 8 mai, • le jeudi de l'Ascension, • le lundi de Pentecôte, • le 14 juillet, • l'Assomption (le 15 août), • la Toussaint (1er novembre), • le 11 novembre, • le jour de Noël (25 décembre). En principe, (à l'exception

................................................ 3 Document n° 3. Cass. crim., 24 janv. 2012, n° 11-84045, Bull. crim., n° 20 ; LPA, 6 août 2012, n° 156, chron., p. 6, obs. M. Boursier......................................................................................... 3 Document n° 4. Article 2 du code civil ................................................................................................ 6 Document n° 5. Cass. ass. plén., 23 janv. 2004, n° 03-13617, D., 2004, p. 1108, note P

pratiques telles que le défaut de communication des conditions générales ou les abus au stade du règlement ne le sont pratiquement jamais (V. Faculté de droit de Montpellier, Bilan des décisions judiciaires : Les études de la CEPC, période du 1er janvier au 31 décembre 2011, p. 2 [site de la CEPC]). Absence de définition légale de "pratiques restrictives" – Il n'existe cependant aucune définition légale des pratiques restrictives. Le chapitre, qui leur est consacré, regroupe un ensemble de pratiques

dépendance. Inégalité car la condition de l’homme a longtemps était associé à son rôle dans la société mais aussi à ses fonctions dans la société. Dépendance car l’esclavagisme a perduré jusqu’au 19e siècle. Il a été abolit en France par un décret du 27 novembre 1848. B- Pour les personnes morales L’évolution n’a pas du tout était la même. Elle a débuté à l’époque romaine avec le système d’universitas. Dans ce système, certaines villes se sont vues reconnaitre une existence juridique autonome

Fondement[->21] 2° Domaine de l'effet immédiat[->22] a) Situations en cours de constitution[->23] b) Situations en cours d'effets[->24] B. - Questions propres à la matière contractuelle[->25] 1° Survie de la loi ancienne[->26] a) Domaine[->27] b) Fondement[->28] 2° Exceptions en faveur de l'effet immédiat[->29] C. - Propositions doctrinales de relecture[->30] Bibliographie[->31] Introduction 1. – Pragmatisme jurisprudentiel – Le pragmatisme de la jurisprudence contraste avec

l'effectivité des politiques de l'Union = établissement de règles a minima pour certaines infractions et sanctions. -Mouvement de dépénalisation de la vie des affaires = trop de droit pénal dans la vie des affaires, ça gêne la compétitivité, ... Loi 25 janvier 1985 sur la banqueroute : on passe de 15 cas de banqueroute à 5. Années 2000 : loi 15 mai 2001 NRE qui supprime des infractions Commission mise en place en octobre 2007 : groupe de travail chargé de réfléchir à la dépénalisation de la vie des

décidé que les crimes de terrorisme seraient jugés par une Cour d’assises sans jury alors que le jury populaire est le principe en matière d’assises. C’est pourquoi le législateur avait décidé que cette Cour d’assises ne serait compétente que pour les crimes postérieurement aux 9 septembre 1986. Devant les pressions pesant sur les jurés, le législateur est intervenu par une loi du 30 décembre 1986 et a décidé que les cours d’assises sans jury jugeraient dorénavant tous les crimes de terrorisme quelle

préjudice virtuel fut posé par trois arrêts de principe du 1er Juin 1932. Plus tard la chambre criminelle a énoncé le principe de réparation de la perte d’une chance (Crim. 18 Mars 1975). Position confirmée par la cour de cassation en ce qui concerne la responsabilité civile contractuelle, la perte de chance doit alors être réelle et légitime (Cass 1er 23 novembre 2004) Aussi en ce qui concerne uniquement la responsabilité délictuelle, le dommage n’est réparable que si la victime a été lésée dans un intérêt

le royaume. Pour les révolutionnaires, c’est trop dangereux (monarchie juste terminée), et à l’époque on ne peut concevoir que ce pouvoir appartienne à un organe qui ne serait pas l’expression de la volonté générale, législatif en somme La loi des 27 novembre et 1 décembre 1790 va trouver la solution en instituant une juridiction suprême pour unifier l’interprétation du droit par tous, c’est le tribunal de cassation à qui on donne le pouvoir d’unifier l’application de la loi par les tribunaux. Ses