Catégorisation

Présentation générale Information : suit un trajet, en plusieurs étapes. Etape 1 :perception d'un stimulus => Etape 2 : effort d'attention pour isoler le stimulus => Etape 3 : traitement cognitif du stimulus (traduit en unité de sens) => Etape 4 : catégorisation (stimulus rangé dans catégorie ou "concept" =>Etape 5 : mémorisation + ou – longue => Etape 6 : raisonnement => réponse comportementale => Etape 7 (éventuellement) : communication sur le comportement B. Description des étapes 1. Etapes 1 et

l’expression des influences collectives(groupes, institutions). Autonomie de l ‘acteur sociale. Cette autonomie est présente dans sa subjectivité. C-à-dire que les individus ont des considérations usbjective,. Cela renvoit à l’idée catégorisation. Ici, la catégorisation c’est l’expression des valeurs, dans un cadre normatif. LES valeurs ce sont des choses désirables de faires, de pensé. L’action ind passe par cette sub et donc par ces valeurs. c’est_à-dire que les causes et contraintes extérieure

traite-t-il l’info ? 49 Etapes du traitement de l’information • Etape 1 :perception d'un stimulus • Etape 2 : effort d'attention pour isoler le stimulus • Etape 3 : traitement cognitif du stimulus (traduit en unité de sens) • Etape 4 : catégorisation stimulus rangé dans catégorie ou « concept » • Etape 5: mémorisation + ou – longue • Etape 6 : raisonnement => réponse comportementale • Etape 7 (éventuellement) : communication sur le comportement 50 Etape 1 :perception d'un stimulus

de la première année dans le cas de rappel ordonné. IV) CATEGORISATION ET OUBLI : 1) La catégorisation : C’est un processus cognitif fondamental qui consiste a regrouper ou classer les propriétés, les objets ou les évènement. Ce processus utilise le regroupement d’entités discriminables en utilisant une règle de principe. La catégorisation émerge au cours des premiers mois de vie. Les nouveaux-nés nés ont des capacité de catégorisation primitives pour des propriétés des objets telle que la couleur

croyons que le stéréotype est désagréable est très difficile d'échapper à la catégorisation des personnes dans une certaine mesure. Cela arrive parce que nos systèmes cognitifs et perceptuels ont évolué de telle sorte que les situations peuvent classer rapidement les personnes et les objets. Cette capacité est bénéfique à bien des égards et nous aide à réagir de manière appropriée et rapide. Cependant la catégorisation rapide se applique si bien que nous pouvons mener à préjugés, la discrimination

tout cas indistinguables les uns des autres » Essentialisation et limitation Le raciste considère les propriétés attachées à un groupe comme permanentes et transmissibles, le plus souvent biologiquement. Le regard raciste est une activité de catégorisation et de clôture du groupe sur lui-même. Hiérarchisation Le racisme s’accompagne souvent d’une péjoration des caractéristiques du groupe visé. Le discours raciste n’est toutefois pas nécessairement péjoratif. Le discours raciste peut évoquer

cognitif à faire· Appuyer dès qu’un point lumineux apparait (160 ms le temps de réaction)· Répondre à une tâche de catégorisation (320 ms le temps de réaction)· Plus la tâche est compliquée plus la réponse cognitive est longue, car le cerveau doit identifier le concept· Tache simple :· Le stimulus  traitement sensoriels  décision de réponse  action motrice réponse· Tâche de catégorisation :· Stimulus  traitement sensoriels  identification du concept  identification de l’appartenance à la catégorie

Chomsky (grammaire), Wiener (feed-back), C.Rogers Concepts en lien : Émotions, langage, relation, affectivité, attention 5 MECANISMES DE COGNITION: Cognitivisme, qu’est-ce qui génère le comportement ? (après gestalt) Perception→ Attention→ Catégorisation → Mémoire→ Raisonnement→ Communication : PERCEPTION : La perception est l’activité au moyen de laquelle l’organisme prend connaissance de son environnement sur la base des informations prélevées par les systèmes sensoriels La Gestalt-Théorie

\h 5I.La perception, c’est quoi ? PAGEREF _Toc387604804 \h 5ii.L’introspection PAGEREF _Toc387604805 \h 5iii.Comparaison sociale PAGEREF _Toc387604806 \h 6a.La catégorisation sociale PAGEREF _Toc387604807 \h 7b.L’influence des stéréotypes PAGEREF _Toc387604808 \h 8c.L’influence de la culture PAGEREF _Toc387604809 \h 9Iv.Auto-categorisation PAGEREF _Toc387604810 \h 9v.Observation de la réaction des autres PAGEREF _Toc387604811 \h 10Chapitre III - L’estime de soi PAGEREF _Toc387604812 \h 11I.L’estime

le déclenchement, le déroulement et la fin échappent à la délibération (« processus inconscients ») → Donne lieu aux « modèles en étapes » Par exemple, pour GILBERT, le processus d’inférence attributive se déroule en trois étapes : -étape de catégorisation : automatique. Le sujet identifie ce que fait l’acteur, -étape de caractérisation : automatique. Le sujet avance une explication dispositionnelle en terme de trait -étape de correction : l’observateur corrige, si nécessaire, l’attribution dispositionnelle