Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg

les dimanches, conduit par madame ou par monsieur Lepître, qui, ces jours-là, sortaient et me reprenaient le soir en revenant chez eux. Singulières récréations ! La marquise de Listomère était une grande dame cérémonieuse qui n’eut jamais la pensée de m’offrir un écu. Vieille comme une cathédrale, peinte comme une miniature, somptueuse dans sa mise, elle vivait dans son hôtel comme si Louis XV ne fût pas mort, et ne voyait que des vieilles femmes et des gentilshommes, société de corps fossiles où

les dimanches, conduit par madame ou par monsieur Lepître, qui, ces jours−là, sortaient et me reprenaient le soir en revenant chez eux. Singulières récréations ! La marquise de Listomère était une grande dame cérémonieuse qui n'eut jamais la pensée de m'offrir un écu. Vieille comme une cathédrale, peinte comme une miniature, somptueuse dans sa mise, elle vivait dans son hôtel comme si Louis XV ne fût pas mort, et ne voyait que des vieilles femmes et des gentilshommes, société de corps fossiles où

Dumas 1858 1863 ᕩ Rangez dans le tableau les mouvements littéraires et les romans qui leur correspondent. ¨ Le naturalisme ¨ Les Lettres persanes de Montesquieu ¨ La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette ¨ Les Lumières ¨ Notre-Dame de Paris de Victor Hugo ¨ Le Colonel Chabert d’Honoré de Balzac ¨ Le romantisme ¨ Le réalisme ¨ L’ Assommoir d’Émile Zola Siècles XVIIe siècle Mouvements littéraires Romans représentatifs de ce mouvement Le classicisme

œuvres littéraires et les textes officiels étaient alors rédigés en latin, la langue des savants et des lettrés. • Les romans courtois, comme ceux de Chrétien de Troyes, contaient les prouesses des chevaliers de la Table ronde, entièrement dévoués à la dame à qui ils avaient juré fidélité. Ils étaient écrits en octosyllabes. • Le mot roman prend son sens actuel à partir du XVIe siècle. Deux tendances se manifestent, au e siècle : le roman précieux, avec Honoré d’Urfé (L’Astrée), qui raconte les interminables

des Ardennes. Victoire des Alliés et la capitulation des forces de l'Axe (1945) Le Palais du Reichstag détruit après la bataille de Berlin. Affiche du 9 mai 1945 du général De Lattre de Tassigny annonçant la victoire (photographiée à Strasbourg en 1979). Articles détaillés : Bataille de Berlin et Actes de capitulation du Troisième Reich. Écrasée sous les bombes, assaillie de tous côtés, l’Allemagne nazie voit sa capitale Berlin investie le 30 avril par les Soviétiques. Hitler s’y donne

carolingienne. Il faut être chrétien pour faire partie de la société. On y rentre avec le baptême. Les églises sont les centres de la vie sociale, et cela à tous les niveaux c’est-à-dire de l’église de village jusqu’à l’église dite majeure, comme les cathédrales. C’est surtout de ces églises majeures que les carolingiens ont voulu faire des foyers rayonnant sur une région. Ils y voient une façon de développer la justice ou de relever l’économie. Mais développons cela plus avant sans tarder au travers

Martel …/… 14 © Groupe Eyrolles Survol de la période En « France » Dynastie carolingienne 754 800 Sacre de Pépin le Bref Sacre de Charlemagne, empereur d’Occident. Refonte des règles bénédictines par saint Benoît d’Aniane Serments de Strasbourg Traité de Verdun. Partage en trois de l’empire de Charlemagne (Francia : part de Charles le Chauve) Invasions normandes Hérédité des charges publiques, première étape vers la féodalité Fondation de l’ordre de Cluny Sédentarisation des Normands après

explicitement prévu lors de la première campagne de rédaction du roman. Ce débat avait du 3. Note de Hugo du « Dossier des Misérables », volume « Chantier », p. 739. 4. Ibid., p. 733. 5. P. Albouy, Hommage à Victor Hugo. Centenaire des « Misérables », Strasbourg, 1962, p. 103 ss. ; J. Seebacher, dans : Victor Hugo, Œuvres complètes, Édition chronologique, t. XII, p. 3-8. Voir également, de J. Seebacher : « Évêques et conventionnels ». Europe, févriers-mars 1962, p. 79-91. ( « I l faut voir dans ce livre

il avait fait une rencontre déterminante à Fontainebleau. Dans son “Dictionnaire philosophique”, il s'en expliqua ainsi : «En 1725, on amena quatre sauvages du Mississipi à Fontainebleau. J'eus l'honneur de les entretenir ; il y avait parmi eux une dame du pays à qui je demandai si elle avait mangé des hommes ; elle me répondit très naïvement qu'elle en avait mangé. Je parus un peu scandalisé : elle s'excusa en disant qu'il valait mieux manger son ennemi mort que de le laisser dévorer aux bêtes, et

rosaire irlandais de Llanymthefry, qu’on appelle aussi Llanandiffry. 35 On eût également pu remarquer, s’il y avait eu moins d’obscurité, une Nuestra-Señora, avec le niño, sculptée et dorée à l’avant de l’ourque. C’était probablement la Notre-Dame basque, sorte de panagia des vieux cantabres. Sous cette figure, tenant lieu de poupée de proue, il y avait une cage à feu, point allumée en ce moment, excès de précaution qui indiquait un extrême souci de se cacher. Cette cage à feu était évidemment